La consultation de l’édition de votre journal en ligne du 30 juin 2015 me permet d’apporter quelques éclaircissements.
D’abord l’Autorité de régulation de l’Audiovisuel n’est pas chargée de surveiller ou de censurer les médias audiovisuels.
Elle a pour mission de faire appliquer la loi et la réglementation dans la mise en forme des programmes des nouvelles chaînes.
Depuis sa création, l’Autorité de régulation de l’Audiovisuel, représentée à ce jour par son président, s’est constamment souciée du respect de cette législation.
Nos interventions depuis la série de rencontres avec les cinq chaînes autorisées jusqu’à nos jours, ont concerné tous les aspects de dérives (violence, charlatanisme, discours religieux extrémistes, atteinte aux valeurs et aux personnes… ) et pas seulement, comme vous le prétendez, sur des actes de censures d’émissions politiques.
Pourtant, j’ai maintes fois clarifié ce point.
Jusqu’à présent aucune mesure n’a été prise dans ce sens.
Il y a eu des orientations, des rappels du respect de la loi (El Djazairia, Radio FM, Echourouk, KBC…) Jamais de prise de mesures de censure .
Et vous conviendrez que cette course effrénée vers l’audimat est aujourd’hui source de confusion et de course (pas fuite) en avant .
Et il convient donc, comme dans tous les pays du monde, qu’il y ait un organe régulateur.
Quand à Monsieur M. CHORFI, je rappelle qu’il n’a pour seule protection que la loi de son pays et que, jusqu’à présent, personne ne lui a dicté ce qu’il devait faire .
Et pour paraphraser un autre Algérien, CHORFI n’est qu’un patriote au service de son pays.
*Président de l’Autorité de régulation de l’Audiovisuel
Par Miloud Chorfi
D’abord l’Autorité de régulation de l’Audiovisuel n’est pas chargée de surveiller ou de censurer les médias audiovisuels.
Elle a pour mission de faire appliquer la loi et la réglementation dans la mise en forme des programmes des nouvelles chaînes.
Depuis sa création, l’Autorité de régulation de l’Audiovisuel, représentée à ce jour par son président, s’est constamment souciée du respect de cette législation.
Nos interventions depuis la série de rencontres avec les cinq chaînes autorisées jusqu’à nos jours, ont concerné tous les aspects de dérives (violence, charlatanisme, discours religieux extrémistes, atteinte aux valeurs et aux personnes… ) et pas seulement, comme vous le prétendez, sur des actes de censures d’émissions politiques.
Pourtant, j’ai maintes fois clarifié ce point.
Jusqu’à présent aucune mesure n’a été prise dans ce sens.
Il y a eu des orientations, des rappels du respect de la loi (El Djazairia, Radio FM, Echourouk, KBC…) Jamais de prise de mesures de censure .
Et vous conviendrez que cette course effrénée vers l’audimat est aujourd’hui source de confusion et de course (pas fuite) en avant .
Et il convient donc, comme dans tous les pays du monde, qu’il y ait un organe régulateur.
Quand à Monsieur M. CHORFI, je rappelle qu’il n’a pour seule protection que la loi de son pays et que, jusqu’à présent, personne ne lui a dicté ce qu’il devait faire .
Et pour paraphraser un autre Algérien, CHORFI n’est qu’un patriote au service de son pays.
*Président de l’Autorité de régulation de l’Audiovisuel
Par Miloud Chorfi
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