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A. Benbitour sur Radio M : "L’Algérie va tout droit vers une explosion sociale"

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  • A. Benbitour sur Radio M : "L’Algérie va tout droit vers une explosion sociale"

    "Le style...... c'est l'homme": King Hassan II

  • #2
    seul dieu peut le savoir, en tout cas moi je dirais non , les Algériens vivent bien , ils ont tous des voitures, de l'argent, un logement ; de l'eau h24, ils mangent bien, ils ont tous un pc et une connexion internet ; par conséquent je ne vois bien cette explosion que voit cet homme ; quand il était au gouvernement il disait que tout va bien , donc un autre langage aujourd'hui parce qu'il ne fait plus partie du gouvernement , est-ce une crise de jalousie qu'il est entrain de vivre .

    benbitour se base uniquement sur les problèmes de ghardaia et du m'zab en ce moment.
    Dernière modification par ACAPULCO, 03 juillet 2015, 20h24.
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      seul dieu peut le savoir, en tout cas moi je dirais non , les Algériens vivent bien , ils ont tous des voitures, de l'argent, un logement ; de l'eau h24, ils mangent bien, ils ont tous un pc et une connexion internet ; par conséquent je ne vois bien cette explosion que voit cet homme ; quand il était au gouvernement il disait que tout va bien , donc un autre langage aujourd'hui parce qu'il ne fait plus partie du gouvernement , est-ce une crise de jalousie qu'il est entrain de vivre .
      Le problème c'est que l'algérien s'est habitué à un certain niveau de vie, alors qu'on sait que tout ça est superficiel et uniquement du à la rente pétrolière.
      "When I saw the Hoggar Mountains, my jaw dropped. If you think of Bryce, or Canyonlands National Park, you're close, but the Hoggar Mountains are more spectacular." David Ball, Empire of sands

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      • #4
        Le problème c'est que l'algérien s'est habitué à un certain niveau de vie, alors qu'on sait que tout ça est superficiel et uniquement du à la rente pétrolière.
        La rente pétrolière est un don de dieu , les Algériens en profitent pourquoi pas ; nos moudjahidines ont libéré ce pays pour que nous profitions aujourd'hui des richesses naturelles; le jour où ces richesses s'épuiseront, à ce moment-là nous devons tous petits et grands , femmes et hommes retrousser les manches pour travailler la terre du nord mais surtout celle du grand sud pour devenir exportateur des produits agricoles.
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #5
          A. Benbitour sur Radio M : "L’Algérie va tout droit vers une explosion sociale"
          avec tous les problèmes que nous connaissons à tous les niveaux, le contraire m'aurai étonné !
          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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          • #6
            A. Benbitour sur Radio M : "L’Algérie va tout droit vers une explosion sociale"
            une opposition incapable de comprender son peuple ...l'algerie ce nest pas le quatar ni la turquer ...ellle seras jamais comme le modelle d'égypet ni la tunisie
            dz(0000/1111)dz

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            • #7
              le jour où ces richesses s'épuiseront, à ce moment-là nous devons tous petits et grands , femmes et hommes retrousser les manches pour travailler la terre du nord mais surtout celle du grand sud pour devenir exportateur des produits agricoles.
              En gros, il faut donc attendre que le cyclone touche nos côtes pour commencer à ériger des barricades ?
              Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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              • #8
                La rente pétrolière est un don de dieu , les Algériens en profitent pourquoi pas ; nos moudjahidines ont libéré ce pays pour que nous profitions aujourd'hui des richesses naturelles; le jour où ces richesses s'épuiseront, à ce moment-là nous devons tous petits et grands , femmes et hommes retrousser les manches pour travailler la terre du nord mais surtout celle du grand sud pour devenir exportateur des produits agricoles.
                Acapulco
                On n'attend pas que la tuile nous tombe sur la tête pour bouger.

                Talleyrand disait que "lorsqu'il est urgent c'est déjà trop tard."

                La rente pétrolière devait servir à bâtir une économie diversifiée et pérenne et non à tout acheter même la paix sociale

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                • #9
                  Benbitour : “Une très forte austérité est imposée à la population”
                  En dépit d'importants excédents financiers

                  Meziane RabhiPublié dans Liberté le 15 - 01 - 2008
                  Pour l'ancien Chef du gouvernement, “le pays s'est appauvri de 92,65 milliards de dollars”.


                  “L'avenir de la nation est hypothéqué. L'avenir du pays est en danger” n'a cessé de marteler, hier, l'ancien Chef du gouvernement M. Ahmed Benbitour lors d'une conférence, ayant pour thème : “Politique de développement et perspectives d'évolution du niveau de vie en Algérie”, organisée hier par la confédération des cadres de la finances et de la comptabilité en partenariat avec le Snapap. M. Ahmed Benbitour affirme que “l'Algérie s'installe dans la trappe de transition permanente et avance inexorablement vers la trappe de misère permanente”. “Il faut bien se rendre compte qu'il y a une différence entre régner sur un pays et gérer les affaires d'une nation” souligne l'ancien Chef du gouvernement, en faisant “le parallèle entre la République centrafricaine où le maréchal Bokassa a régné sur un pays et la Corée du Sud où le général Park a géré les affaires de la nation. L'un a enfoncé son pays dans la misère, l'autre l'a fait passer de 365 dollars de revenu par habitant à 10 000 dollars, c'est un pays extrêmement avancé (la Corée du Sud)”. M. Ahmed Benbitour, chiffre à l'appui, démontre qu'une très forte austérité est imposée à la population et mise au service de la thésaurisation. Dans les relations de l'Algérie avec le reste du monde (les échanges commerciaux avec l'étranger), l'ancien Chef du gouvernement constate “une exportation nette de richesse” au profit de l'extérieur. “L'Algérie est aussi un exportateur net du capital humain” relève-t-il. Démonstration :
                  “Pour mesurer l'austérité imposée à la population, on calcule la part de la consommation des ménages dans le PIB”, explique M. Ahmed Benbitour. Autrement dit, répondre à la question : sur 100 DA de richesse produite, combien de dinars ont été affectés à la consommation des ménages ?. En 2006, soutient l'ancien Chef du gouvernement, cette part a représenté 31,6%; en 2002 elle était de 43,8%.
                  La moyenne des pays à revenu intermédiaire dans lesquels se classe l'Algérie, c'est 61%. Constat : il y a une nette transformation de la structure de distribution du revenu au détriment des ménages.
                  Pour 100 DA de richesse produite en 2006, seulement 31,6 DA, moins du tiers seulement, sont allés à la consommation des ménages. “C'est une très forte austérité imposée à la population. Bien entendu, en contrepartie de cette austérité, il y a l'épargne importante réalisée” souligne M. Ahmed Benbitour. En 2006, le taux d'épargne était de 57%. La moyenne des pays à revenu intermédiaire est 23%. À quoi a servi cette épargne ? s'interroge Ahmed Benbitour. Sur 100 DA de richesse produite en 2006, 57 DA ont été épargnés et seulement 29,9 DA ont été investis, partagés entre 22,8 DA d'accumulation brute de fonds fixes (augmentation effective du capital d'équipement du pays). C'est un gaspillage de ressources puisque la richesse thésaurisée n'est ni investie ni consommée. Concernant les devises, Ahmed Benbitour explique que “l'exportation de richesse se mesure par l'excédent de la balance commerciale”. Entre 2002 et 2006, l'excédent cumulé de la balance commerciale s'est élevé à 92,65 milliards de dollars US. “Donc, le pays s'est appauvri de 92,65 milliards de dollars” regrette-t-il. Sur les 92 milliards de dollars 53,35 milliards de dollars ont été stockés et “n'a servi à rien” et la tendance est toujours à la hausse.
                  “Avec ce type d'excédent, on continue à appeler les Investissements directs étrangers (IDE)”, s'étonne l'ancien du gouvernement. En évoquant les IDE, Ahmed Benbitour, les deux années où les IDE nets (flux net) ont dépassé le milliard de dollars, c'est en 2005 (1,06 milliard de dollars) et 2006 (1,76 milliard de dollars). “Si nous mettons en face les rapatriements des bénéfices des seules sociétés associées à Sonatrach, nous constatons que sur un total de 2,82 milliards de dollars de flux nets d'IDE en 2005-2006, le rapatriement des bénéfices des seules sociétés associées à Sonatrach s'est situé à 10,03 milliards dollars”, souligne M. Ahmed Benbitour. L'ancien Chef du gouvernement affirme que l'économie algérienne dépend essentiellement de ressources non renouvelables que sont les hydrocarbures. La question de prévoir la fin du pétrole, en 2018 ou 2050, “est une fausse question”, estime M. Ahmed Benbitour. “Le problème, c'est lorsque vous commencez à réduire vos exportations. Et c'est bientôt, en 2015 ou 2020 au plus tard”, souligne-t-il.
                  Le professeur Lamiri, P-DG de l'Insim lui affirme que l'Algérie est un pays sans stratégie et donc sans politique salariale. “Quand on n'a pas de stratégie et pas de politique salariale, on ne peut que cafouiller”, regrette-t-il. Le professeur Lamiri relève que de 1985 à 1995, le niveau de vie a baissé de plus de 59% en Algérie. En d'autres termes, les prix ont évolué plus vite que les salaires. De 1998 à nos jours, une légère baisse de l'ordre de 5 à 10%. Le professeur Lamiri, avec le relèvement du SNMG, il y a eu un tassement vers le bas des salaires. Mais en parallèle, la productivité a baissé chaque année de 1 à 1,5%.
                  Les salaires en grande partie sont financés par la rente pétrolière, “parce que nous n'avons pas créé une économie efficace, productive”. Pour le professeur Lamiri, “il n'y a pas de pays sous-développés. Il n'y a que des pays mal gérés. Et l'Algérie est un pays superbement organisé pour demeurer sous-développé”. Comment peut-on penser qu'en injectant 150 milliards de dollars dans l'économie, avec un système de formation sinistré, on se développerait ? s'interroge le P-DG de l'Insim. “C'est une équation impossible”, souligne-t-il. Contrairement aux chiffres officiels, le professeur Lamiri démontre que l'économie algérienne va mal.
                  La productivité en Algérie diminue depuis 10 ans. En d'autres termes, l'économie algérienne devient de moins en moins compétitive par rapport au reste du monde. La recherche et le développement représentent moins de 0,3% du PIB. Le taux de création d'entreprises est faible. En Algérie, il est créé 40 entreprises pour
                  100 000 habitants. La moyenne internationale est de 180 entreprises. Il y a des pays qui arrivent à 350 entreprises. Les exportations hors hydrocarbures ne couvrent que 5% des importations. “Les ressources ne sont pas canalisées vers l'économie productive”, souligne le professeur Lamiri, concluant que “l'économie algérienne est fragile et non compétitive”.
                  La solution est dans la mobilisation de l'intelligence, propose le professeur Lamiri, en regrettant que l'Algérie ne fasse pas appel à une sommité comme Tayeb Hafsi, expert en stratégie, alors que celui-ci aide le gouvernement chinois à mettre en œuvre des réformes économiques.
                  Meziane Rabhi
                  Heureusement que l'Algérie a capitalisé à l'époque ou ce monsieur nous demandait d'augmenter la masse salariale. Ca permet à ce monsieur de nous annoncer avec ses prédictions de malheurs et son ton peromptoire que l'Algérie en 5 ans épuisera ses réserves de change. Juste un indicateur, le déficite de la balance commerciale de 6,3 milliars $ en 5 mois. On peut raisonnablement penser qu'avec l'entrée en vigueur des restrictions des importations, ca tournerait entre 10 à 12 milliards de dollars de déficite commercial, ca donne un peu plus de 5 ans, voir 15 ans...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    Talleyrand disait que "lorsqu'il est urgent c'est déjà trop tard."
                    Il est beaucoup plus sage de dire qu'il vaut mieux tard que jamais.

                    Avec toutes nos ressources humaines et nos richesses naturelles, l'Algérie est encore en mesure de relever le défi pour prouver qu'elle peut sans grands efforts rejoindre les pays les plus développer au monde.
                    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                    • #11
                      Larmes de crocodiles

                      Benbitour à desormais un autre masque...qui le revele avec une véhémence confuse...a t'il demissionné de son etat de vassal
                      hereditaire des puissants ?
                      Hier à peine ,il l'etait encore, avec toutes ses ambiguités et le lendemain il brise le verre dans lequel il a savouré la liqueur...
                      Vers quelle autre vénération à t-il devié avec ses mauvais penchants ? Deja quand il etait chef du gouvernement , nous avions eu droit aux pires tartuferies de sa politique bananiére...

                      Que veut-il nous vendre aujourd'hui ?

                      On dirait ce saint bizantin cousant le derriére des poules...avant d'annoncer la fin des omelettes à ses Ouailles !
                      Veux t'il nous aider à regler des problémes qu'on aurait jamais eu sans lui ?
                      Quand on vois les dégats que font les pigeons avec leur dejections aériennes ...on remercie Dieu de ne pas avoir donné des ailes à pareils politiciens !...

                      ____________________________TEO.
                      Dernière modification par tayeb el Ouatani, 04 juillet 2015, 11h41.
                      "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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                      • #12
                        Parlant de Benbitour, il en est où et quoi de l'alliance politique qu'il a scellé avec les islamistes ?..

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                        • #13
                          La rente pétrolière est un don de dieu , les Algériens en profitent pourquoi pas ; nos moudjahidines ont libéré ce pays pour que nous profitions aujourd'hui des richesses naturelles; le jour où ces richesses s'épuiseront, à ce moment-là nous devons tous petits et grands , femmes et hommes retrousser les manches pour travailler la terre du nord mais surtout celle du grand sud pour devenir exportateur des produits agricoles

                          T as pas honte ? Tu veux profiter et les enfants de tes enfants ?

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                          • #14
                            ça fait longtemps qu'il prédit ça ...C'est le Bonatiro des finances !
                            L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

                            Commentaire


                            • #15
                              ça fait longtemps qu'il prédit ça ...C'est le Bonatiro des finances !
                              molker
                              Si seulement il était le seul à prédire la cataclysme post-hydrocarbures si rien n'est entrepris..


                              Algérie: des lanceurs d'alerte veulent préparer l'après-pétrole

                              De nouveaux centres d'analyse s'efforcent d'appeler les autorités à changer de cap et à préparer l'après-pétrole en Algérie. Pour l'instant, la rente énergétique tue dans l'oeuf tout projet de réforme.

                              Ils se comptent sur les doigts d'une main. De nouveaux laboratoires d'idées - les think tanks chers au monde anglo-saxon - ont fait leur apparition, depuis peu, dans le paysage algérien. Les deux plus importants, Nabni (Notre Algérie bâtie sur de nouvelles idées) - un acronyme qui peut être compris aussi comme le mot arabe correspondant à "construire" - et Care (Cercle d'action et de réflexion autour de l'entreprise), ont des noms qui désignent bien leur vocation. Il s'agit de groupes de réflexion issus du patronat privé, de l'université et de la technocratie locale. En se créant une place dans le débat national depuis le milieu des années 2000, ils tentent de convaincre le pouvoir de prêter attention à leur effort de prospective.

                              "Algérie Titanic"

                              Pour ce faire, ils ont adopté la formule "Algérie Titanic": le pays est assimilé à un navire qui, s'il ne change pas de cap et n'entreprend pas à temps les changements nécessaires à sa survie, heurtera l'iceberg qui le fera couler. "Avec une réserve de change de 200 milliards de dollars et une dette inexistante, l'Algérie a tout l'air d'être à flot pour longtemps. Or, en réalité, elle risque de faire naufrage", affirme Slim Othmani, fabricant de jus de fruits et animateur de Care. Pour cet entrepreneur, il est urgent que les Algériens préparent enfin l'après-pétrole et constituent un vrai tissu économique, aujourd'hui quasi inexistant. "Nous n'avons que 220 petites et moyennes entreprises dont le chiffre d'affaires dépasse les 2 millions d'euros", déplore-t-il. "Il est urgent, renchérit Abdelkrim Boudra, porte-parole de Nabni, que nous inversions la tendance actuelle, qui consiste à importer ce que nous consommons."

                              image: http://static.lexpress.fr/medias/3034/1553609.jpg


                              Le 26 janvier dernier, ce collectif a rendu public un important rapport, intitulé "Algérie 2020". "Nous avons, explique Abdelkrim Boudra, dressé le bilan de l'évolution de l'Algérie entre 1962 et 2012, et nous l'avons positionnée, dans un benchmark [comparatif] international de 15 pays comparables." Leur analyse porte non seulement sur l'économie, mais aussi sur l'ensemble des questions de gouvernance. A lire ce texte, si rien n'est entrepris en 2013 pour redresser la barre, il sera difficile de le faire par la suite. Reste à savoir si ces projections seront prises en compte par un gouvernement que la rente pétrolière n'incite guère à agir...
                              Ouvrir un corridor économique entre l'Algérie et le Maroc?

                              D'autres alertes ont déjà été sonnées, à l'occasion des 50 ans de l'indépendance. Des économistes comme le Français Joël Ruet ou le Péruvien Hernando de Soto ont été récemment invités par Care. Ils ont notamment expliqué tout l'intérêt qu'aurait l'ouverture d'un "corridor économique" entre l'Algérie et le Maroc, en attendant une hypothétique réouverture des frontières. Ils ont aussi prodigué des conseils pour résorber les activités "extralégales" qui épuisent l'économie du pays. Mais le débat a fait long feu.
                              Les nouveaux think tanks ne parviennent pas encore à se faire entendre auprès des autorités, qui n'apprécient pas d'être critiquées, mais l'écho de leur réflexion commence cependant à atteindre les bureaux de certaines administrations. La baisse régulière des revenus pétroliers et l'insistance du ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, auprès des parlementaires, pour qu'ils adoptent un projet de loi sur les hydrocarbures faisant la part belle au gaz de schiste, commencent à susciter de vives inquiétudes sur l'épuisement annoncé de l'immense champ pétrolier de Hassi Messaoud.

                              L'Express

                              Il n'y a nul aveugle que celui qui ne veut pas voir .
                              Dernière modification par Serpico, 04 juillet 2015, 18h02.

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