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Une résolution des Nations-Unies condamnant les crimes de guerre d’Israël

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  • Une résolution des Nations-Unies condamnant les crimes de guerre d’Israël

    Le Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies (UNHRC) a adopté vendredi à Genève, à une écrasante majorité, une résolution condamnant les crimes de guerre israéliens lors des massacres de Gaza de l’été 2014.

    Le Conseil compte 47 membres, soit une partie seulement des Etats membres de l’ONU.

    Un total de 41 membres ont voté la résolution, 5 se sont abstenus, et 1 seul a voté contre, les Etats-Unis.

    A noter que tous les membres de l’Union Européenne représentés au Conseil, à savoir la France, l’Allemagne, l’Irlande, les Pays-Bas et la Lettonie, ont voté la résolution.

    Le texte, qui entérine les conclusions d’une commission d’enquête indépendante, dénonce l’extrême violence de l’armée israélienne contre la population palestinienne des territoires occupés (Jérusalem-Est inclus) en rappelant le terrible bilan de l’opération dite « Bordure Protectrice » : plus de 2.000 morts, dont les trois quarts de civils, parmi lesquels 551 enfants et des centaines de femmes et vieillards (la mort de 6 civils israéliens, tués par des roquettes tirées par la résistance palestinienne, est parallèlement déplorée).

    Il constate les violations répétées par Israël du droit international, et notamment des Conventions de Genève, en soulignant que toutes les « Hautes Parties Contractantes » à ces Conventions –dont des pays comme la France, par conséquent- ont l’obligation, non seulement de les respecter, mais tout autant de les faire respecter.

    Le texte, qui réclame la fin de l’occupation israélienne des territoires palestiniens conquis en 1967, regrette ensuite la honteuse impunité dont Israël a bénéficié jusqu’à présent.

    Il observe cependant que la Palestine (qui a désormais le statut d’Etat observateur non membre de l’ONU) a adhéré au début de l’année au « Statut de Rome » lui permettant d’engager des procédures auprès de la Cour Pénale Internationale.

    Sans surprise, et sur le thème de « personne ne nous aime, le monde entier est anti-sémite », les dirigeants israéliens ont dénoncé le rapport de l’organisation internationale.

    L’adoption d’une telle résolution ne fera pas à elle seule bouger les lignes. Elle constitue néanmoins un encouragement, pour tous les citoyens du monde épris de justice, à poursuivre et amplifier la campagne internationale BDS (Boycott – Désinvestissements – Sanctions) tant qu’Israël violera les droits les plus élémentaires du peuple palestinien.

    CAPJPO-EuroPalestine

  • #2
    C'est une nouvelle victoire contre le colonialisme et le sionisme en Palestine, un grand encouragement pour la poursuite et le renforcement du Boycott contre l'entité sioniste, entité illégale, illégitime et criminelle en Palestine.

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    • #3
      et que ce que ca change !?

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      • #4
        .............
        Dernière modification par absente, 10 septembre 2015, 19h39.

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        • #5
          Un total de 41 membres ont voté la résolution, 5 se sont abstenus, et 1 seul a voté contre, les Etats-Unis.
          Et comme par hasard, c'est le pays amis de tous les pays arabes pour ne pas dire des pays musulmans.

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          • #6
            les palestiniens ont le droit de créer leurs nation mais ils ne veulent pas, leurs niveau de vie baissera, et n y aura plus de subvention internationale, leurs unique source de vie

            faut les laisser tranquilos, et donner plus d'importance a ses propres problèmes, si non aux peuples qui veulent vraiment l’indépendance ( le kbayle pour les marocains et les sahraouis pour lesa lgériens )

            Commentaire


            • #7
              Ichweiter,
              usa est surtout ami des monarchies traîtres Arabie saoudite, Maroc, ... :22:

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              • #8
                et que ce que ca change !?
                Cela va permettre de mettre des NOMS sur des crimes et de lancer ensuite des mandats d’arrêts internationaux contre les criminels de guerre...
                Cela va , symboliquement , faire qu'un état qui traquait les criminel nazis au nom du droit international...va devoir protéger des criminels de guerre , dont certains de ces dirigeants de 1° plan.
                "tout a été dit , tout reste a penser"
                Alain

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                • #9
                  @Asnami

                  C'est important car ça prouve que les palestiniens qui sont presque 16 millions aujourd'hui pèsent et leur protestation devient de plus en plus forte....
                  il faut maintenir la pression et toujours dénoncer le sionisme, un grand danger pour tout le monde.
                  Je suis d'accord avec ce tu viens d'écrire et aussi j'ajoute que le colonialisme juif sioniste a commis tellement de crimes qu'on doit lui retirer la légalité, je veux dire que tous les pays qui pratiquent le légalité et les droits de l'homme doivent couper leurs relations et retirer leur reconnaissance à la colonie "Israel" en Palestine qui n'a jamais respecté la légalité internationale et ce qu'on appelle "les droits de l'homme" (de l'homme blanc en réalité). Un colonialisme ne peut être légal ni légitime. C'est une notion élémentaire du droit que l'ONU ne veut pas voir ou semble hypocritement cacher cet aspect. Les autres organisations internationales doivent attirer l'attention que, ce qu'on appelle "israel" est un "Etat" illégal.
                  Parce qu'il est bâti sur le vol d'un pays et sur des crimes et génocides du peuple de ce pays volé qu'est la Palestine.

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                  • #10
                    @geozed

                    les palestiniens ont le droit de créer leurs nation mais ils ne veulent pas, leurs niveau de vie baissera, et n y aura plus de subvention internationale, leurs unique source de vie
                    faut les laisser tranquilos, et donner plus d'importance a ses propres problèmes, si non aux peuples qui veulent vraiment l’indépendance ( le kbayle pour les marocains et les sahraouis pour lesa lgériens
                    Les leaders corrompus des Palestiniens ont commis des erreurs et des trahisons envers "leur" peuple palestinien en acceptant de "négocier" et en acceptant la "solution" à deux Etats; Cette "solution" a été inspirée par le colonialisme occidental dans le but d'essayer de légaliser une occupation par des colons juifs venus de l'étranger. La seule solution juste et légitime est la constitution d'un seul Etat sur l'ensemble du territoire de la Palestine historique avec la dénomination d'Etat palestinien, un Etat démocratique pour juifs d'avant 1948 et arabes palestiniens vivront dans un Etat démocratique et multiconfessionnel.

                    La "solution" à deux Etats a fait faillite, elle a donner libre cours au génocide du peuple palestinien, l'Autorité Palestinienne est un auxiliaire et un collaborateur du colonialisme juif sioniste et ne représente en aucun cas la volonté du peuple palestinien, sa direction a trahi, et d'ailleurs son mandat est épuisé depuis longtemps. Le peuple palestinien doit accentuer sa lutte à travers la Résistance du Hamas et des autres fractions armées (FPLP, Jihad Islamique, FATAH Intifadha...) La lutte armée est légale et légitime dans toutes les lois internationales et elle est la seule "solution" juste et incontournable. Ce qu'on appelle "Israël" est une occupation coloniale illégale et illégitime imposée au peuple palestinien par la force, la ruse et les mensonges des puissances colonialistes occidentales.
                    Dernière modification par Elghifari, 06 juillet 2015, 00h47.

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                    • #11
                      Résolutions de l'ONU non respectées par l'entité sioniste !!!
                      Assemblée générale (ayant alors fonction d’organe décisionnaire)

                      Résolution 181 (29 novembre 1947). Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies.

                      Résolution 194 (11 décembre 1948). Les réfugiés qui le souhaitent doivent pouvoir « rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et vivre en paix avec leurs voisins » ; les autres doivent être indemnisés de leurs biens « à titre de compensation ». Création de la commission de conciliation des Nations unies pour la Palestine.

                      Résolution 302 (8 décembre 1949). Création de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).

                      Conseil de sécurité

                      Résolution 236 (11 juin 1967). Au lendemain de la guerre de juin 1967, le Conseil de sécurité exige un cessez-le-feu et un arrêt immédiat de toutes les activités militaires dans le conflit opposant l’Egypte, la Jordanie et la Syrie à Israël.

                      Résolution 237 (14 juin 1967). Le Conseil de sécurité demande à Israël d’assurer « la sûreté, le bien-être et la sécurité des habitants des zones où des opérations militaires ont eu lieu » et de faciliter le retour des réfugiés.

                      Résolution 242 (22 novembre 1967). Le Conseil de sécurité condamne l’« acquisition de territoire par la guerre » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ». Il affirme « l’inviolabilité territoriale et l’indépendance politique » de chaque Etat de la région.

                      Résolution 250 (27 avril 1968). Israël est invité à ne pas organiser le défilé militaire prévu à Jérusalem le 2 mai 1968 considérant que cela aggraverait les « tensions dans la région ».

                      Résolution 251 (2 mai 1968). Le Conseil de sécurité déplore la tenue du défilé militaire de Jérusalem « au mépris » de la résolution 250.

                      Résolution 252 (21 mai 1968). Le Conseil de sécurité déclare « non valides » les mesures prises par Israël, y compris l’« expropriation de terres et de biens immobiliers », qui visent à « modifier le statut de Jérusalem », et demande à celui-ci de s’abstenir de prendre de telles mesures.

                      Résolution 267 (3 juillet 1969). Le Conseil de sécurité censure « toutes les mesures prises [par Israël] pour modifier le statut de Jérusalem ».

                      Résolution 340 (25 octobre 1973). A la suite de la guerre de Ramadan ou de Kippour, création de la deuxième Force d’urgence des Nations unies (FUNU-II) qui vise à « superviser le cessez-le-feu entre les forces égyptiennes et israéliennes » et à assurer le « redéploiement » de ces mêmes forces.

                      Résolution 446 (22 mars 1979). Le Conseil de sécurité exige l’arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967 », déclare que ces pratiques « n’ont aucune validité en droit » et demande à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.

                      Résolution 468 (8 mai 1980). Le Conseil de sécurité déclare « illégales » les expulsions à l’étranger de notables palestiniens de Hébron et de Halhoul par les autorités militaires israéliennes et demande à Israël de les annuler.

                      Résolution 592 (8 décembre 1986). Le Conseil de sécurité rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre « est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967 ». Il condamne « l’armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants » de l’université Bir Zeit.

                      Résolution 605 (22 décembre 1987). Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d’Israël « qui violent les droits de l’homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l’armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».

                      Résolution 607 (5 janvier 1988). Israël doit « s’abstenir d’expulser des civils palestiniens des territoires occupés » et respecter les obligations que lui impose la convention de Genève.

                      Résolution 608 (14 janvier 1988). Le Conseil de sécurité demande à Israël « d’annuler l’ordre d’expulsion des civils palestiniens et d’assurer le retour immédiat et en toute sécurité » de tous ceux déjà expulsés.

                      Résolution 636 (6 juillet 1989). Le Conseil de sécurité demande à Israël, en conformité avec ses précédentes résolutions et avec la convention de Genève, de « cesser immédiatement d’expulser d’autres civils palestiniens » et d’assurer le retour en toute sécurité de ceux déjà expulsés.

                      Résolution 641 (30 août 1989). Le Conseil de sécurité « déplore qu’Israël, puissance occupante, continue d’expulser des civils palestiniens » et lui demande d’assurer le retour de tous les expulsés.

                      Résolution 672 (12 octobre 1990). Après les violences de l’esplanade des Mosquées - le mont du Temple, le Conseil de sécurité condamne « les actes de violence commis par les forces de sécurité israéliennes » à Al-Haram Al-Charif et dans d’autres lieux saints de Jérusalem et demande à Israël de « s’acquitter scrupuleusement des obligations juridiques et des responsabilités qui lui incombent » vis-à-vis des civils des territoires occupés.

                      Résolution 673 (24 octobre 1990). Le Conseil de sécurité condamne le refus d’Israël d’appliquer la résolution 672.

                      Résolution 681 (20 décembre 1990). Israël est sommé d’appliquer la convention de Genève.

                      Résolution 694 (24 mai 1991). Le Conseil de sécurité déclare que l’expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève.

                      Résolution 799 (18 décembre 1992). Le Conseil de sécurité condamne les quatre cents expulsions de décembre 1992, soulignant qu’elle est contraire aux obligations internationales imposées à Israël par la convention de Genève. Le Conseil réaffirme l’indépendance et l’intégrité territoriale du Liban.

                      Résolution 904 (18 mars 1994). A la suite du massacre de la mosquée de Hébron, le Conseil de sécurité demande à Israël de prendre les mesures nécessaires « afin de prévenir des actes de violence illégaux de la part des colons israéliens » envers les civils palestiniens.

                      Résolution 1322 (7 octobre 2000). A la suite du début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité déplore les violences et condamne le « recours à la force excessif contre les Palestiniens ». Il demande à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève.

                      Résolution 1397 (12 mars 2002). Le Conseil de sécurité demande la « cessation immédiate de tous les actes de violence, y compris tous les actes de terreur et toutes provocations, incitations et destructions », et réclame la coopération des Israéliens et des Palestiniens visant à la reprise des négociations.

                      Résolution 1402 (30 mars 2002). Après la réoccupation totale de la Cisjordanie, le Conseil de sécurité demande un cessez-le-feu immédiat et le « retrait des troupes israéliennes des villes palestiniennes ».

                      Résolution 1405 (19 avril 2002). Le Conseil de sécurité déclare qu’« il est urgent que les organismes médicaux et humanitaires aient accès à la population civile palestinienne ».

                      Résolution 1435 (24 septembre 2002). Le Conseil de sécurité exige « le retrait rapide des forces d’occupation israéliennes des villes palestiniennes ». Il demande à l’Autorité palestinienne de « faire traduire en justice les auteurs d’actes terroristes ».

                      Résolution 1515 (19 novembre 2003). Le Conseil de sécurité se déclare « attaché à la vision d’une région dans laquelle deux Etats, Israël et la Palestine, vivent côte à côte, à l’intérieur de frontières sûres et reconnues », et demande en conséquence aux parties en conflit de s’acquitter des obligations relatives à la « feuille de route » du Quartet.

                      Résolution 1544 (19 mai 2004). Le Conseil de sécurité demande qu’Israël respecte « les obligations que lui impose le droit humanitaire international » et « l’obligation qui lui est faite de ne pas se livrer aux destructions d’habitations ».

                      Résolution 1850 (16 décembre 2008). Le Conseil de sécurité soutient le processus d’Annapolis, et demande aux parties de « s’abstenir de toute mesure suceptible d’entamer la confiance » et de ne pas « remettre en cause l’issue des négociations ».

                      Résolution 1860 (8 janvier 2009). Après l’incursion de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, le Conseil de sécurité exige « l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes de la bande de Gaza ». Il demande de ne pas entraver l’entrée des organisations médicales dans Gaza et d’empêcher le trafic illégal d’armes.

                      Résolutions de l’Onu non respectées par Israël (Le Monde diplomatique, février 2009)
                      "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                      • #12
                        @Abderahmane1

                        [QUOTE] Résolutions de l'ONU non respectées par l'entité sioniste !!!
                        Assemblée générale (ayant alors fonction d’organe décisionnaire)
                        Résolution 181 (29 novembre 1947). Adoption du plan de partage : la Palestine est divisée en deux Etats indépendants, l’un arabe, l’autre juif, et Jérusalem est placée sous administration des Nations unies.
                        Résolution 194 (11 décembre 1948). Les réfugiés qui le souhaitent doivent pouvoir « rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et vivre en paix avec leurs voisins » ; les autres doivent être indemnisés de leurs biens « à titre de compensation ». Création de la commission de conciliation des Nations unies pour la Palestine.
                        Résolution 302 (8 décembre 1949). Création de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).
                        Conseil de sécurité
                        Résolution 236 (11 juin 1967). Au lendemain de la guerre de juin 1967, le Conseil de sécurité exige un cessez-le-feu et un arrêt immédiat de toutes les activités militaires dans le conflit opposant l’Egypte, la Jordanie et la Syrie à Israël.
                        Résolution 237 (14 juin 1967). Le Conseil de sécurité demande à Israël d’assurer « la sûreté, le bien-être et la sécurité des habitants des zones où des opérations militaires ont eu lieu » et de faciliter le retour des réfugiés.
                        Résolution 242 (22 novembre 1967). Le Conseil de sécurité condamne l’« acquisition de territoire par la guerre » et demande le « retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés ». Il affirme « l’inviolabilité territoriale et l’indépendance politique » de chaque Etat de la région.
                        Résolution 250 (27 avril 1968). Israël est invité à ne pas organiser le défilé militaire prévu à Jérusalem le 2 mai 1968 considérant que cela aggraverait les « tensions dans la région ».
                        Résolution 251 (2 mai 1968). Le Conseil de sécurité déplore la tenue du défilé militaire de Jérusalem « au mépris » de la résolution 250.
                        Résolution 252 (21 mai 1968). Le Conseil de sécurité déclare « non valides » les mesures prises par Israël, y compris l’« expropriation de terres et de biens immobiliers », qui visent à « modifier le statut de Jérusalem », et demande à celui-ci de s’abstenir de prendre de telles mesures.
                        Résolution 267 (3 juillet 1969). Le Conseil de sécurité censure « toutes les mesures prises [par Israël] pour modifier le statut de Jérusalem ».
                        Résolution 340 (25 octobre 1973). A la suite de la guerre de Ramadan ou de Kippour, création de la deuxième Force d’urgence des Nations unies (FUNU-II) qui vise à « superviser le cessez-le-feu entre les forces égyptiennes et israéliennes » et à assurer le « redéploiement » de ces mêmes forces.
                        Résolution 446 (22 mars 1979). Le Conseil de sécurité exige l’arrêt des « pratiques israéliennes visant à établir des colonies de peuplement dans les territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés depuis 1967 », déclare que ces pratiques « n’ont aucune validité en droit » et demande à Israël de respecter la convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre.
                        Résolution 468 (8 mai 1980). Le Conseil de sécurité déclare « illégales » les expulsions à l’étranger de notables palestiniens de Hébron et de Halhoul par les autorités militaires israéliennes et demande à Israël de les annuler.
                        Résolution 592 (8 décembre 1986). Le Conseil de sécurité rappelle que la convention de Genève relative à la protection des civils en temps de guerre « est applicable aux territoires palestiniens et autres territoires arabes occupés par Israël depuis 1967 ». Il condamne « l’armée israélienne qui, ayant ouvert le feu, a tué ou blessé des étudiants » de l’université Bir Zeit.
                        Résolution 605 (22 décembre 1987). Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d’Israël « qui violent les droits de l’homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l’armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».
                        Résolution 607 (5 janvier 1988). Israël doit « s’abstenir d’expulser des civils palestiniens des territoires occupés » et respecter les obligations que lui impose la convention de Genève.
                        Résolution 608 (14 janvier 1988). Le Conseil de sécurité demande à Israël « d’annuler l’ordre d’expulsion des civils palestiniens et d’assurer le retour immédiat et en toute sécurité » de tous ceux déjà expulsés.
                        Résolution 636 (6 juillet 1989). Le Conseil de sécurité demande à Israël, en conformité avec ses précédentes résolutions et avec la convention de Genève, de « cesser immédiatement d’expulser d’autres civils palestiniens » et d’assurer le retour en toute sécurité de ceux déjà expulsés.
                        Résolution 641 (30 août 1989). Le Conseil de sécurité « déplore qu’Israël, puissance occupante, continue d’expulser des civils palestiniens » et lui demande d’assurer le retour de tous les expulsés.
                        Résolution 672 (12 octobre 1990). Après les violences de l’esplanade des Mosquées - le mont du Temple, le Conseil de sécurité condamne « les actes de violence commis par les forces de sécurité israéliennes » à Al-Haram Al-Charif et dans d’autres lieux saints de Jérusalem et demande à Israël de « s’acquitter scrupuleusement des obligations juridiques et des responsabilités qui lui incombent » vis-à-vis des civils des territoires occupés.
                        Résolution 673 (24 octobre 1990). Le Conseil de sécurité condamne le refus d’Israël d’appliquer la résolution 672.
                        Résolution 681 (20 décembre 1990). Israël est sommé d’appliquer la convention de Genève.
                        Résolution 694 (24 mai 1991). Le Conseil de sécurité déclare que l’expulsion de quatre nouveaux civils palestiniens en mai 1991 par les forces israéliennes constitue une violation de la convention de Genève.
                        Résolution 799 (18 décembre 1992). Le Conseil de sécurité condamne les quatre cents expulsions de décembre 1992, soulignant qu’elle est contraire aux obligations internationales imposées à Israël par la convention de Genève. Le Conseil réaffirme l’indépendance et l’intégrité territoriale du Liban.
                        Résolution 904 (18 mars 1994). A la suite du massacre de la mosquée de Hébron, le Conseil de sécurité demande à Israël de prendre les mesures nécessaires « afin de prévenir des actes de violence illégaux de la part des colons israéliens » envers les civils palestiniens.
                        Résolution 1322 (7 octobre 2000). A la suite du début de la seconde Intifada, le Conseil de sécurité déplore les violences et condamne le « recours à la force excessif contre les Palestiniens ». Il demande à Israël de respecter ses obligations relatives à la convention de Genève.
                        Résolution 1397 (12 mars 2002). Le Conseil de sécurité demande la « cessation immédiate de tous les actes de violence, y compris tous les actes de terreur et toutes provocations, incitations et destructions », et réclame la coopération des Israéliens et des Palestiniens visant à la reprise des négociations.
                        Résolution 1402 (30 mars 2002). Après la réoccupation totale de la Cisjordanie, le Conseil de sécurité demande un cessez-le-feu immédiat et le « retrait des troupes israéliennes des villes palestiniennes ».
                        Résolution 1405 (19 avril 2002). Le Conseil de sécurité déclare qu’« il est urgent que les organismes médicaux et humanitaires aient accès à la population civile palestinienne ».
                        Résolution 1435 (24 septembre 2002). Le Conseil de sécurité exige « le retrait rapide des forces d’occupation israéliennes des villes palestiniennes ». Il demande à l’Autorité palestinienne de « faire traduire en justice les auteurs d’actes terroristes ».
                        Résolution 1515 (19 novembre 2003). Le Conseil de sécurité se déclare « attaché à la vision d’une région dans laquelle deux Etats, Israël et la Palestine, vivent côte à côte, à l’intérieur de frontières sûres et reconnues », et demande en conséquence aux parties en conflit de s’acquitter des obligations relatives à la « feuille de route » du Quartet.
                        Résolution 1544 (19 mai 2004). Le Conseil de sécurité demande qu’Israël respecte « les obligations que lui impose le droit humanitaire international » et « l’obligation qui lui est faite de ne pas se livrer aux destructions d’habitations ».
                        Résolution 1850 (16 décembre 2008). Le Conseil de sécurité soutient le processus d’Annapolis, et demande aux parties de « s’abstenir de toute mesure suceptible d’entamer la confiance » et de ne pas « remettre en cause l’issue des négociations ».
                        Résolution 1860 (8 janvier 2009). Après l’incursion de l’armée israélienne dans la bande de Gaza, le Conseil de sécurité exige « l’instauration immédiate d’un cessez-le-feu durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes de la bande de Gaza ». Il demande de ne pas entraver l’entrée des organisations médicales dans Gaza et d’empêcher le trafic illégal d’armes.
                        Résolutions de l’Onu non respectées par Israël (Le Monde diplomatique, février 2009)

                        Cette liste des lois et décisions non respectées montre que l'entité sioniste est un cheval de troie et une création des puissances qui dominent l'ONU et le monde.

                        L'entité sioniste est à l'origine un "Etat" illégal et illégitime imposé par les puissances colonialistes, ces puissances continuent à le protégér "légalement", financièrement et militairement, sans compter la puissante propagande des grands médias qui sont sous la coupe de ces puissances.

                        Seule la lutte armée du peuple palestinien avec le soutien de la Résistance libanaise, syrienne, irakienne, yéménite et aussi de l'Iran, la Russie, la Chine et de tous les hommes et femmes épris de liberté du monde, pourra libérer la Palestine et mettre fin à ce colonialisme qu'on appelle "israel" et l'extirper de Palestine.

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