Alger, 07 jul 2015 (SPS) Le Collectif des journalistes algériens solidaires avec le peuple sahraoui (CJASPS) a réaffirmé lundi sa solidarité avec le combat de Takber Haddi, exigeant la restitution de la dépouille de Mohamed Lamine à ses parents, ainsi que l’ouverture d’une enquête par une institution neutre sous contrôle du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
Le coordinateur du Collectif, Mustapha Aït Mouhoub, qui s’exprimait lors d’une conférence débat tenue lundi au siège du quotidien DK News, a relevé "C’est l’omerta et le silence" qui entourent la question sahraouie, a-t-il dit. C’est aussi, explique-t-il, cet embargo et ce black-out qui entourent le combat d’une femme.
M. Aït Mouhoub fait allusion à la mère sahraouie Takber Haddi, mère du jeune Sahraoui Mohamed Lamine Haïdalla lâchement assassiné par les colons marocains et qui a repris depuis vendredi dernier sa grève de la faim après un voyage à Genève où elle a déposé sa plainte au Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
Le CJASPS lance par ailleurs un appel aux journalistes libres à travers le monde pour agir dans le but de "briser le blocus médiatique imposé à la lutte légitime de Takber Haddi" et au combat du peule sahraoui. Les journalistes solidaires avec le peuple sahraoui dénoncent "la tromperie et les mensonges d’une certaine presse du Makhzen" pour étouffer la voix de Takber Haddi en falsifiant les faits.
Le CJASPS, qui exprime son étonnement face à l’appel du ministre espagnol des Affaires étrangères à ne pas donner un caractère politique à la grève de la faim de Takber Haddi, condamne ce qui s’apparente à "un déni de justice de la part d’un responsable politique d’un pays qui continue à ignorer ses responsabilités en tant qu’ancien occupant des territoires sahraouis". (SPS)
Le coordinateur du Collectif, Mustapha Aït Mouhoub, qui s’exprimait lors d’une conférence débat tenue lundi au siège du quotidien DK News, a relevé "C’est l’omerta et le silence" qui entourent la question sahraouie, a-t-il dit. C’est aussi, explique-t-il, cet embargo et ce black-out qui entourent le combat d’une femme.
M. Aït Mouhoub fait allusion à la mère sahraouie Takber Haddi, mère du jeune Sahraoui Mohamed Lamine Haïdalla lâchement assassiné par les colons marocains et qui a repris depuis vendredi dernier sa grève de la faim après un voyage à Genève où elle a déposé sa plainte au Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
Le CJASPS lance par ailleurs un appel aux journalistes libres à travers le monde pour agir dans le but de "briser le blocus médiatique imposé à la lutte légitime de Takber Haddi" et au combat du peule sahraoui. Les journalistes solidaires avec le peuple sahraoui dénoncent "la tromperie et les mensonges d’une certaine presse du Makhzen" pour étouffer la voix de Takber Haddi en falsifiant les faits.
Le CJASPS, qui exprime son étonnement face à l’appel du ministre espagnol des Affaires étrangères à ne pas donner un caractère politique à la grève de la faim de Takber Haddi, condamne ce qui s’apparente à "un déni de justice de la part d’un responsable politique d’un pays qui continue à ignorer ses responsabilités en tant qu’ancien occupant des territoires sahraouis". (SPS)
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