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GHARDAIA : Les réactions des partis et des personnalités politiques

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  • GHARDAIA : Les réactions des partis et des personnalités politiques

    Louiza Hannoun, Secrétaire générale du PT

    « C’est l’État qui est responsable et c’est le gouvernement qui a la responsabilité politique de la situation à Ghardaïa. Tout le gouvernement devrait descendre à Ghardaïa. Dans n’importe quel autre pays qui se respecte au premier coup de feu, le gouvernement intervient et nous c’est à partir d’Alger, dans les bureaux bien calfeutrés qu’on donne l’ordre à la police d’aller sur place. Le gouvernement n’est pas allé là-bas, l’armée, elle est partout, mais de quoi allons-nous la charger encore. La confrontation entre les citoyens se fait depuis hier avec des armes. L’État ne fait qu’envoyer l’armée et la police, mais ils ne peuvent pas à eux seuls résoudre le problème. À travers les événements de Ghardaïa, c’est la dislocation de notre pays qui est à l’ordre du jour ».

    Sofiane Djilali, président de Jil Djadid

    « C’est une tragédie malheureusement prévisible depuis longtemps mais l’inaction, l’incompétence et l’illégitimité de ce pouvoir a fait que l’on va vers ce drame. Ce sont les promesses mensongères de Monsieur Sellal qui avait promis de régler le problème quand il faisait la campagne du 4e mandat. C’est aussi l’absence du président de la République qui aurait dû être immédiatement sur place pour parler aux gens, mais Monsieur Bouteflika s’occupe de son image et de sa santé et a oublié le pays qu’il laisse sombrer dans la crise. Bouteflika est comptable, personnellement, des morts qu’il y a eus à Ghardaïa ».

    Nabil Yahiaoui, porte-parole du TAJ

    « C’est une situation dangereuse et douloureuse. C’est du sang algérien qui est en train de couler. Nous appelons les pouvoirs publics en particuliers et tous les habitants de Ghardaïa à appeler au calme. Ghardaïa est une partie du pays, c’est pour cela que tout le monde est impliqué. Nous ne sommes pas là pour politiser la situation ou adresser des critiques au gouvernement, nous avons tout simplement besoin de trouver une solution définitive à ce problème. Nous tenons par l’occasion à présenter nos condoléances aux familles des victimes ».

    Abderrezak Mokri, président du MSP

    « Ce qui se passe actuellement à Ghardaïa est extrêmement dangereux. À Guerrara et dans d’autres régions, la fitna a atteint un niveau qui doit nous avertir de possibles conséquences qui seraient désastreuses pour la sécurité des citoyens et l’unité de tout le pays. Nous avons reçu de nombreux appels à l’aide des habitants de la région depuis les premières heures. Et nos représentants dans la wilaya nous ont parlé des cas de peur et de terreur sans précédent entre les habitants. Le MSP, au vue de sa crédibilité auprès des deux partis (arabe et mozabite, NDLR), est prêt à offrir son aide ».

    Lakhdar Benkhellaf, député du Front de la justice et du développement (FJD)

    « C’est une mascarade en l’absence des autorités qui n’ont pas tenu leurs promesses. Sellal s’est rendu sur place lors de la campagne électorale et a promis d’y revenir pour régler définitivement la situation. Malheureusement, rien n’a été fait. Le ministère de l’Intérieur a installé une commission, mais cela n’a rien changé. Nous condamnons ce qui se passe à Ghardaïa et nous demandons l’intervention du gouvernement pour régler définitivement ce problème qui a trop duré ».

    Moussa Touati, président du FNA

    « C’est une situation qui découle de l’impuissance de l’État de prendre en charge le problème de tous les Algériens. Il faut que le système en place mette des solutions durables. Ils doivent comprendre que le problème de Ghardaïa n’est pas ethnique, mais un problème économique. Il faut aller vers le fond des problèmes ».

    RCD

    « Cette terrible tragédie, qui se joue à l’heure qu’il est à ciel ouvert avec une autre circonstance alarmante consistant dans l’utilisation d’armes à feu, renseigne, une fois de plus, sur l’incurie et l’incompétence notoire d’un système en perte de vitesse et qui mène inexorablement le pays à une véritable impasse institutionnelle et à un incontestable chaos. (…) L’on est bien loin des promesses électoralistes du Premier ministre représentant du chef de l’État et des assurances oiseuses décrétées par les membres d’un gouvernement qui œuvre par tous les moyens à occulter la réalité caractérisée par la vacance du pouvoir, la déliquescence des institutions et une véritable faillite de l’État ».

    Ali Benflis, président de Talaiou El Houriyat

    « J’observe avec une vive inquiétude la transformation de cette région du territoire national en un véritable foyer de tension et de crise d’une extrême gravité dont le pouvoir politique se désintéresse et qu’il livre à un total abandon. Je suis intimement convaincu que la véritable tragédie nationale que constitue la situation qui prévaut à Ghardaïa est à mettre au compte de la vacance du pouvoir, de l’illégitimité des institutions, de leur absence de crédibilité et de la perte de confiance dont elles sont l’objet de la part des citoyens de la région. Une crise de cette gravité aurait dû être prise en charge au sommet de l’État depuis longtemps. Un sommet de l’État qui, depuis le déclenchement de cette crise, s’est distingué par un silence et une inaction inacceptables et intolérables eu égard à l’ampleur des effets de cette crise sur l’unité nationale et la sécurité du territoire ».

    Noureddine Benissad, président de la LADDH

    « La LADDH exprime son inquiétude concernant les nouvelles vagues de violence qui touche la ville de Ghardaïa, où le droit à la vie est menacé. Malgré l’importante présence des services de sécurité dans la région, la sécurité des personnes et des biens n’est pas garantie ».


    TSA

  • #2
    La déclaration de Benbitour se fait attendre on dirait !

    Il est chaambi pour la précision ..

    Que fait-il pour sa région ?..

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    • #3
      @Capo

      Toujours aussi perspicace
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Saha Ott

        Le gars ne s'est jamais mouillé pas pour sa région .. et il voulait devenir président

        Je parie ma dernière chemise qu'il ne fera pas de déclaration

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        • #5
          Je conviens volontiers que c'est plus que suspect... comme son implication directe sur l'histoire du gaz de schiste...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Il y a 2 ans.. je l'avais accusé d'avoir une âme islamiste..
            Quelques FAistes me sont tombés dessus .. et m'ont traité de tous les noms !
            Quelques mois après.. il a conclu une alliance avec les islamistes

            Pareil pour cette fois !.. je l'accuse de tribalisme (par intérêts)
            Courage politique = Zéro !

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            • #7
              Pourquoi ce vouloir jouer latéral ? ne pas attaquer le fond du sujet.
              La déclaration de Djillali sofiane résume bien la situation, mais non, on trouve le moyen de désorienter la réflexion.
              On demande des comptes à Benbitour!! Alors qu'il ne fait même pas partie du corps etatique, et que les vrais responsables sont toujours à l'abri .
              Chwiya rationalisme a Dj'ma3a !

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              • #8
                je l'accuse de tribalisme (par intérêts)
                Malheureusement, il n'est qu'un maillon d'un dispositif plus vaste... Un sanglier blessé se débat n'importe comment, et on en voit les manifestations...
                Othmane BENZAGHOU

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                • #9
                  Phil

                  C'est quoi ton problème ?
                  La question est très simple :
                  En tant que notable influent.. que fait Benbitour pour sa région ?
                  Wella la géopolitique et la finance internationale .. sont des sujets plus attrayants ??

                  La déclaration de Djilali Sofiane démontre qu'il ne maîtrise pas son sujet !
                  En gros.. c'est imbécile qui s'adresse aux imbéciles

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                  • #10
                    Chwiya rationalisme a Dj'ma3a !
                    L’étrange silence de l'ancien Premier ministre Ahmed Benbitour sur les violences interethniques dans le M’zab
                    AP | 4. DÉCEMBRE 2013 - 5:56


                    L’ancien Premier ministre et candidat à l’élection présidentielle, Ahmed Benbitour, peut-il jouer un rôle dans les démarches entreprises pour éteindre le feu de la haine qui s’installe dangereusement dans le M’zab et continue à faire des victimes ? Issu de cette région, il a sans doute toute la latitude pour faire valoir sa personnalité et proposer ses bons offices auprès des notables et des représentants des deux communautés en conflit, les Mozabites et les Chaâmbis, afin d’imaginer une trêve urgente et, pourquoi pas, sceller une réconciliation durable, au nom du vivre-ensemble et des principes de la République. Beaucoup de citoyens attendaient un sursaut de conscience de la part de celui qui se propose vaillamment de sauver l’Algérie d’une «dérive latente» et avertit dans toutes ses interventions publiques des périls qui guetteraient le pays. Mais il n’a pris aucune initiative, ni fait aucun commentaire sur ces graves événements qui secouent, tour à tour, toutes les grandes cités du M’zab : Berriane, Ghardaïa et, aujourd’hui, Guerrara. Or, c’est aujourd’hui ou jamais pour celui qui veut prouver sa capacité à diriger le pays et à représenter l’unité nationale. Il est clair que les violences interethniques, doublées d’un schisme confessionnel ravageur, qui sont remontées à la surface cette semaine, faisant planer des risques de dérapages incontrôlables, avec des accusations publiques de «traitement racial» et les arrestations massives de citoyens et même de militants, ne sauraient être combattues par la seule voie sécuritaire. Une solution politique sérieuse et durable doit être envisagée et mise en œuvre par les représentants de deux communautés, avec l’aide de personnalités de poids comme Ahmed Benbitour et l’arbitrage de l’Etat, qui doit appréhender le problème dans sa profondeur. Car toutes les démarches administratives préconisées jusque-là par les pouvoirs publics, et même les interventions de certains partis politiques, pour résoudre le problème, n’ont eu aucun effet. Au contraire, elles n’ont fait que ranimer le feu.
                    R. Mahmoudi
                    Et c'est le journal de son général qui le sollicite...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      Bonsoir ya la7beb !

                      J'ai suivi vos coms
                      Je suis d'accord avec Capo ,Benbitour devrait être le premier sur le terrain.
                      Il ne le fait pas parce qu'elle passera comme une récupération politique.
                      Il ne compte pas "re-rentrer" par cette porte.
                      Suivez mon regard...

                      Moussa Touati, président du FNA

                      « C’est une situation qui découle de l’impuissance de l’État de prendre en charge le problème de tous les Algériens. Il faut que le système en place mette des solutions durables. Ils doivent comprendre que le problème de Ghardaïa n’est pas ethnique, mais un problème économique. Il faut aller vers le fond des problèmes ».
                      Il a résumé globalement la situation, même si c'est un peu plus compliqué.

                      A+
                      La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                      De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                      .
                      Merci.
                      " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

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                      • #12
                        Quelques vérités sur les évènements de la Vallée du Mzab
                        Par Chabane Timecriwect
                        mercredi 8 janvier 2014

                        Abderrahmane Hadj Nacer, l’auteur Mozabite de "La Martingale Algérienne, réflexion sur une crise" [1] et ex gouverneur de la Banque centrale d’Algérie, a eu toute la lucidité de l’homme sincère et courageux pour affirmer à la face du pouvoir que pour sauver l’Algérie, ses gouvernements doivent prendre exemple sur deux organisations sociales amazighes exemplaires : la Kabylie et la Vallée du Mzab ! Est-ce pour cette raison, entre autres, que l’on cherche à détruire également la société mozabite ? Il n’y a rien d’étonnant en cela lorsqu’on sait que l’un des puissants ministres des deux derniers gouvernements sous Bouteflika est originaire de Metlili [2] : le châambi Mustapha Benbada. Que faut-il savoir de particulier sur ce ministre ? Il est entouré, tout comme Benbitour [3] d’ailleurs, d’un cercle de puissants tolbas [4] prestidigitateurs de Metlili, au nombre de dix-sept plus exactement, et qui font main basse sur toutes les grandes décisions politiques et stratégiques concernant la région du département de Taghardayt dans son ensemble, y compris donc sur le destin des Mozabites.



                        Tagherdayt

                        A une question concernant les derniers événements de Ghardaïa, Benbitour, qui soit dit au passage dispose d’un vaste lobby de cadres châambis dans quasiment toute l’administration du sud, eut cette réponse :"il y a, d’un côté, une administration absente et, de l’autre, des citoyens mécontents de leur sort et de leur situation. À Ghardaïa ou ailleurs, il ne s’agit nullement de problème ethnique ou communautaire, mais tout simplement de préoccupations et de considérations sociales strictement locales face auxquelles l’administration n’est pas à la hauteur requise" !
                        Comme si cela suffisait à justifier l’atrocité de l’agression châambie sur une communauté qui n’aspire qu’à vivre en paix ! Si ce n’est pas un problème ethnique ou communautaire, pourquoi ne pas s’en prendre, dans ce cas, aux symboles d’un Etat défaillant ? Faut-il rafraichir la mémoire à monsieur Benbitour, pour lui rappeler, à lui dans son arrogance, et qui maladroitement tente d’innocenter ses congénères châambas, que toute l’administration de Ghardaïa est sous l’emprise et le contrôle exclusif des Châambis, pour ne pas dire d’originaires de Metlili, sa région natale ? S’il ne s’agissait pas d’un problème ethnique et de l’obsession fanatique de la communauté arabe à en découdre par le sang afin de punir la volonté de la communauté amazighe du Mzab à vouloir s’arracher à l’emprise arabo-islamiste, pourquoi alors le FLN [5] n’avait-il pas respecté le choix historique des électeurs mozabites qui ont préféré porter l’un des leurs (Nacer-Dine Hadjadj) comme maire sous la bannière d’un parti laïc, le RCD [6], cas unique dans les annales des traditions politiques locales ? Pour punir les citoyens mozabites, le FLN et ses alliés islamistes n’ont pas hésité à mettre l’ensemble de Berriane [7] à feu et à sang et contraindre, ainsi, le maire à céder, impuissant, son poste à l’ex parti unique. Ah, ces Hilaliens !
                        Il faut savoir que les Châambas sont originaires de Metlili, une ville distante d’une quarantaine de kilomètres de Ghardaïa ville. L’ensemble des communes de Metlili, peuplées par des populations arabophones, sont très favorisées en projets économiques par un pouvoir tout autant arabe, et ce du temps de Benbitour comme chef du gouvernement jusqu’à Benbada aujourd’hui. Au sujet des Châambas, certains prétendent qu’ils sont d’origine amazighe mais fondamentalement arabisés au cours de l’Histoire. D’autres, au contraire, affirment que vu leur comportement de destructeurs permanents et de spoliateurs attestés, ils ne peuvent être que les "nobles" héritiers des Banou Hilal [8].
                        Avant 1962, la majorité des Arabes dit étrangers, aussi bien de Ghardaïa-ville que des deux autres pentapoles, Berriane et Guerrara, distantes du chef-lieu du département de Ghardaïa respectivement de 40 et 100 kilomètres, vivaient dans des tentes éparpillées dans le désert. Ils étaient des travailleurs nomades saisonniers "Ixemmasen" [9] que les Mozabites employaient depuis des siècles pour notamment cueillir des dattes. Les Mozabites, à qui appartient le pays, sont bien évidemment propriétaires des oasis situées en contrebas de leurs habitations construites sur des monticules rocheux et entourées de vieux remparts qui les protègent des incessantes agressions extérieures. Après 1962, le nombre de ces Arabes s’est vu accroître considérablement au point qu’ils se revendiquent propriétaires légitimes des territoires qu’ils ont spoliés par la grâce de la politique de sédentarisation entreprise par Houari Boumediene [10]. La direction des domaines du département de Ghardaïa, sous le monopole exclusif des Arabes châambas, a donné instruction, à maintes reprises, aux services régionaux de régulariser en attribuant des actes dûment signés à tous les squatteurs de parcelles de terrain. Aujourd’hui, au nombre probablement égal et vu la sacrosainte constante du "wahabo-malékisme" [11] d’Etat, ils se sentent légitimés dans leur "foutouhate" [12] anti mozabite et ibadites [13], qu’ils considèrent d’ailleurs hérétiques, pour le seul dessein de s’approprier davantage de biens par la force.

                        Toutefois, il faut préciser que Metlili [14] est une ville conquise depuis au moins dix siècles. Ses habitants, les Châambas, ne représentent qu’une petite partie d’un grand ensemble arabophone, celui-là plus nombreux, venu de Djelfa, Laghouat, Tiaret et des immenses "Hmada" [15] des Hauts plateaux et installé après 1962 à la périphérie des sept pentapoles Mzab et à même le lit des fleuves. La rivalité n’est donc pas qu’entre Mozabites et Châambas, mais aussi et surtout entre Mozabites et les nouveaux débarqués, alliés des Châambas, à visées expansionnistes. Maintenant, l’intention derrière leur sédentarisation, juste après l’avènement de l’Etat algérien, était, sans doute, louable mais c’était sans compter sur les visées hégémoniques de l’idéologie arabo islamiste que les Arabes s’empressèrent d’épouser et qui renforça en eux le sentiment d’uniques héritiers exclusifs et légitimes de la guerre d’Algérie.

                        Ghardaïa devient, selon leur vision, un butin de guerre du fait que tout le territoire algérien fut la propriété du colon français. Cette légitimité qui justifie même le crime s’est consolidée par un ensemble de préjugés savamment inculqués et diaboliquement distillés et qui prêtent aux Mozabites une origine juive ! Une agression quasi conquérante motivée par une velléité à l’extermination raciale et qui s’est donc appuyée sur une idéologie pervertisseuse et négativiste au dessein d’occultation de l’Histoire millénaire d’une minorité, restée fièrement amazighe, propriétaire d’un territoire hérité depuis des siècles ! Une idéologie criminelle qui, dans sa soif d’anéantissement et son son élan quasi inné à commettre l’ethnocide anti-amazigh, est allée jusqu’à détruire les gravures rupestres dont regorge la région et qui ne désespère jamais d’effacer et de faire de la minorité mozabite une communauté étrangère sur son propre territoire millénaire !


                        Chabane Timecriwect.
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #13
                          Moi j'suis 100% d'accord avec ce qui dit Louiza.

                          C'est le gouvernement qui est responsable par son impuissance et surtout pour son incompétence...
                          D'autant plus que d'aprés les interventions des gens de Ghardaïa ce que j'ai pu suivre à la télé, les gens veulent et demandent une intervention de l'Etat pour concilier les deux parties..
                          Toutefois, ils précisent de faire participer à cette reconciliation les vrais sages de Ghardaïa et non les ... notables parasites agréés.

                          Rabi yastor pour la suite.

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                          • #14
                            Lors d'un débat télévisé..un journaliste avait évoqué la problématique de Ghardaia avec Benbitour ..

                            Admirez la réponse et le balbutiement du chaambi .. à partir de 45.30


                            Dernière modification par Capo, 09 juillet 2015, 01h11.

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                            • #15
                              Heureusement que ça fait bouger tous les parties !!!

                              Bravo !!!
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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