Un site militaire hautement sensible qui fait l’objet d’une intrusion potentiellement à visée terroriste, celle-ci étant portée à la connaissance de l’opinion six mois jour pour jour après le début de la vague d’attentats terroristes du début de l’année - le 7 janvier - le massacre à "Charlie Hebdo".
C’est la situation embarrassante qu’ont dû gérer les autorités françaises, mardi. Et Manuel Valls lui-même n’a pas été le dernier à sembler gêné : en direct sur une radio, le Premier ministre a bien dû confesser n’être au courant de rien, ni n’avoir d’explications à donner.
Une explication de ce retentissant cambriolage dont l’armée a été victime le week-end dernier, que "la grande muette" a tu pendant deux jours, mais que les médias ont, mardi, mis au jour.
Des malfrats comme, déjà, en 1981 ?
Plusieurs dizaines, voire centaines, de détonateurs électroniques, de pains de plastic et de grenades ont été dérobées par des inconnus ayant réussi à pénétrer sur le site militaire de Miramas, une municipalité en bordure de l’Etang de Berre, dans les Bouches-du-Rhône (Provence).$
Par Bernard Delattre
Source : lalibre.be
C’est la situation embarrassante qu’ont dû gérer les autorités françaises, mardi. Et Manuel Valls lui-même n’a pas été le dernier à sembler gêné : en direct sur une radio, le Premier ministre a bien dû confesser n’être au courant de rien, ni n’avoir d’explications à donner.
Une explication de ce retentissant cambriolage dont l’armée a été victime le week-end dernier, que "la grande muette" a tu pendant deux jours, mais que les médias ont, mardi, mis au jour.
Des malfrats comme, déjà, en 1981 ?
Plusieurs dizaines, voire centaines, de détonateurs électroniques, de pains de plastic et de grenades ont été dérobées par des inconnus ayant réussi à pénétrer sur le site militaire de Miramas, une municipalité en bordure de l’Etang de Berre, dans les Bouches-du-Rhône (Provence).$
Par Bernard Delattre
Source : lalibre.be
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