Tweet
Moroccan for Solar Agency a récemment lancé les installations d’un cluster solaire dédié à l’émergence des acteurs locaux dans le domaine. Les détails d’un projet prometteur.
Le chantier de l’intégration industrielle est en marche dans le business du green (écologique), du moins dans la filière du solaire, nous apprend L’Economiste dans son édition du 9 juillet. Plus concrètement, le Moroccan for Solar Agency (Masen), un cluster solaire dont le principal objectif consiste en l’émergence d’acteurs locaux, a lancé, le 8 juillet, ses installations à Casablanca, au sein du Zénith situé dans le quartier technologique de Sidi Maârouf. Un site s’appuyant sur deux grandes composantes -soit un incubateur d’une capacité d’accueil d’une trentaine d’entreprises adjacentes à une partie «pépinière» et les bureaux du cluster lui-même- et finançant déjà cinq premiers projets sélectionnés dans le cadre du Fast Track to Market (FT2M), un dispositif du Green business booster (GBB). Le montant de l’investissement pour mettre en place une telle plateforme n’a bien sûr pas été révélé.
On sait, en revanche, que ce dispositif donne accès aux bénéficiaires à une subvention financière pouvant atteindre 500.000 DH, voire 1 millions de DH, à hauteur de 50% du montant d’investissement du projet. Pour l’instant, sur un total de 32 candidatures, cinq initiatives dotées d’un fort potentiel ont été sélectionnées. Parmi elles: BeVar, un ondulateur/variateur de fréquence d’énergie durable, Eco Lux, un concept de hammam écologique, ou encore Biodôme Compost, applicable dans la production du biofertilisant d’un chauffe-eau solaire à bas coûts.
L’objectif? Abattre la barrière du financement en apportant une contribution à des projets-vitrines technologiques, selon Obaid Amrane, membre du directoire Masen. Plus encore, il s’agit de veiller à l’émergence de ce business pour parvenir à créer une filière industrielle locale. Toutefois, tout ne tourne pas uniquement autour d’affaires de gros sous. En effet, le cluster solaire va également permettre de développer deux axes de services via le Green business incubator, censé accompagner et former les start-upers ou les chercheurs universitaires, et le Green business network, dédié à la synergie entre les acteurs du secteur. Beaucoup de travail en perspective, donc. En plus du lancement de ses installations, le cluster a également mené une étude sur le potentiel du marché des applications solaires. Parmi les plus prometteuses: l’éclairage solaire et la signalisation routière.
Le chantier de l’intégration industrielle est en marche dans le business du green (écologique), du moins dans la filière du solaire, nous apprend L’Economiste dans son édition du 9 juillet. Plus concrètement, le Moroccan for Solar Agency (Masen), un cluster solaire dont le principal objectif consiste en l’émergence d’acteurs locaux, a lancé, le 8 juillet, ses installations à Casablanca, au sein du Zénith situé dans le quartier technologique de Sidi Maârouf. Un site s’appuyant sur deux grandes composantes -soit un incubateur d’une capacité d’accueil d’une trentaine d’entreprises adjacentes à une partie «pépinière» et les bureaux du cluster lui-même- et finançant déjà cinq premiers projets sélectionnés dans le cadre du Fast Track to Market (FT2M), un dispositif du Green business booster (GBB). Le montant de l’investissement pour mettre en place une telle plateforme n’a bien sûr pas été révélé.
On sait, en revanche, que ce dispositif donne accès aux bénéficiaires à une subvention financière pouvant atteindre 500.000 DH, voire 1 millions de DH, à hauteur de 50% du montant d’investissement du projet. Pour l’instant, sur un total de 32 candidatures, cinq initiatives dotées d’un fort potentiel ont été sélectionnées. Parmi elles: BeVar, un ondulateur/variateur de fréquence d’énergie durable, Eco Lux, un concept de hammam écologique, ou encore Biodôme Compost, applicable dans la production du biofertilisant d’un chauffe-eau solaire à bas coûts.
L’objectif? Abattre la barrière du financement en apportant une contribution à des projets-vitrines technologiques, selon Obaid Amrane, membre du directoire Masen. Plus encore, il s’agit de veiller à l’émergence de ce business pour parvenir à créer une filière industrielle locale. Toutefois, tout ne tourne pas uniquement autour d’affaires de gros sous. En effet, le cluster solaire va également permettre de développer deux axes de services via le Green business incubator, censé accompagner et former les start-upers ou les chercheurs universitaires, et le Green business network, dédié à la synergie entre les acteurs du secteur. Beaucoup de travail en perspective, donc. En plus du lancement de ses installations, le cluster a également mené une étude sur le potentiel du marché des applications solaires. Parmi les plus prometteuses: l’éclairage solaire et la signalisation routière.
Commentaire