Saha ftourkoum
Selon des chercheurs britanniques, l’activité du soleil va chuter de 60% entre 2030 et 2040, entraînant des hivers plus longs et plus rigoureux.
Après avoir affronté des températures avoisinant les 40°C, difficile d’imaginer que le mercure risque de dégringoler entre 2030 et 2040. Et pourtant. Selon des chercheurs britanniques, de l’université de Northumbia, l’activité du soleil va chuter de 60% dans une quinzaine d’années. La faute à des «mouvements de fluide» à l’intérieur du soleil.
Résultat, une mini-période glaciaire risque de s’installer sur Terre, comme il y a plus de trois siècles, entre 1646 et 1715.
«The Telegraph» rappelle que durant cette période, les températures étaient tellement basses que la Tamise gelait et qu’il était possible de la traverser à pied. Les commerçants avaient même installé leurs étals sur le fleuve tant la couche de glace était épaisse.
(mc/20 minutes)
Selon des chercheurs britanniques, l’activité du soleil va chuter de 60% entre 2030 et 2040, entraînant des hivers plus longs et plus rigoureux.
Après avoir affronté des températures avoisinant les 40°C, difficile d’imaginer que le mercure risque de dégringoler entre 2030 et 2040. Et pourtant. Selon des chercheurs britanniques, de l’université de Northumbia, l’activité du soleil va chuter de 60% dans une quinzaine d’années. La faute à des «mouvements de fluide» à l’intérieur du soleil.
Résultat, une mini-période glaciaire risque de s’installer sur Terre, comme il y a plus de trois siècles, entre 1646 et 1715.
«The Telegraph» rappelle que durant cette période, les températures étaient tellement basses que la Tamise gelait et qu’il était possible de la traverser à pied. Les commerçants avaient même installé leurs étals sur le fleuve tant la couche de glace était épaisse.
(mc/20 minutes)
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