Un consensus national briserait le statu quo actuel
FFS Un consensus national "briserait le statu quo qui paralyse actuellement le pays", a estimé samedi à Constantine un membre de l'instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS), Ali Laskri. S’exprimant au cours d’une rencontre organisée à la maison de jeunes Azzedine-Medjoubi d’Ali-Mendjeli, M. Laskri a de nouveau appelé les forces vives de la nation à s’assoie autour d’une table pour débattre des moyens à mettre en œuvre pour effectuer un changement pacifique, à même d’instaurer l’Etat de droit. S’adressant à un parterre de militants locaux du FFS, il a indiqué que ce changement ne pourrait être réalisé que par un dialogue "responsable, sincère, franc, intégrant la société civile et ouvert à toutes les partis et institutions, y compris celles au +pouvoir+". Le membre de l’instance présidentielle du FFS a souligné, dans ce contexte, "l’importance de l’indépendance de la justice et de la liberté d’expression" pour "regagner la confiance du citoyen" qu’il faudrait, selon lui, "intégrer à ce processus de concertation élargie, en tant que véritable +propulseur+ de ce changement pacifique nécessaire à la prévention de toute formes de dérapage et de déstabilisation du pays". M. Laskri a également évoqué la régression économique due à la baisse des prix du pétrole et à "l’hostilité d’un environnement régional qui menace notre pays de toutes parts".
La Nouvelle République ©
FFS Un consensus national "briserait le statu quo qui paralyse actuellement le pays", a estimé samedi à Constantine un membre de l'instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS), Ali Laskri. S’exprimant au cours d’une rencontre organisée à la maison de jeunes Azzedine-Medjoubi d’Ali-Mendjeli, M. Laskri a de nouveau appelé les forces vives de la nation à s’assoie autour d’une table pour débattre des moyens à mettre en œuvre pour effectuer un changement pacifique, à même d’instaurer l’Etat de droit. S’adressant à un parterre de militants locaux du FFS, il a indiqué que ce changement ne pourrait être réalisé que par un dialogue "responsable, sincère, franc, intégrant la société civile et ouvert à toutes les partis et institutions, y compris celles au +pouvoir+". Le membre de l’instance présidentielle du FFS a souligné, dans ce contexte, "l’importance de l’indépendance de la justice et de la liberté d’expression" pour "regagner la confiance du citoyen" qu’il faudrait, selon lui, "intégrer à ce processus de concertation élargie, en tant que véritable +propulseur+ de ce changement pacifique nécessaire à la prévention de toute formes de dérapage et de déstabilisation du pays". M. Laskri a également évoqué la régression économique due à la baisse des prix du pétrole et à "l’hostilité d’un environnement régional qui menace notre pays de toutes parts".
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