SALAM
Jeudi dernier, le quotidien français Le Figaro rapportait, s’appuyant sur un document de l’Assistance publique-hôpitaux de paris, que l’Algérie venait en tête des pays qui ne payait pas ses dettes pour les malades transférés en France. Le chiffre de 3,6 millions d’euros a été avancé.
Une information que la Caisse nationale des assurés sociaux (CNAS) conteste et affirme qu’elle honore tous ses engagements envers les structures hospitalières françaises, dans le cadre du « transfert de malades algériens pour soins à l'étranger ».
« La CNAS, en tant qu’organisme officiel responsable de la couverture financière des frais d’hospitalisation des citoyens algériens bénéficiaires de décisions de transfert pour soins à l’étranger, délivrées par la commission médicale nationale, honore, dans le cadre de ses relations conventionnelles, l’ensemble de ses engagements auprès des structures hospitalières françaises d’accueil », lit-on dans le communiqué rendu public aujourd’hui par cette structure sociale.
L’institution à caractère administratif, dépendant du ministère du Travail, précise que « les relations conventionnelles avec les structures hospitalières françaises d’accueil, font l’objet de réunions d’évaluation périodiques, au cours desquelles sont réglés, en commun accord, l’ensemble des différends, somme toute logique, dans une relation commerciale historique, aussi dense, caractérisée par un partenariat mutuellement avantageux ».
Cependant, s’il existe des contentieux de paiement, la Caisse dirigée par le Dr Mellouka s’en lave les mains et déclare ne pas « assumer financièrement les frais occasionnés par des soins prodigués à des personnes non munies d’engagements de prise en charge délivrés préalablement à leur départ ».
La question de supposées dettes de la CNAS envers les hôpitaux français est récurrente. En 2014 déjà, la ministre française de la Santé, Marisol Touraine avait déclaré que l’Algérie était redevable de 34 millions d’euros, dont 15 millions avaient été remboursés en 2012. Information immédiatement démentie par le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères, de l’époque, Amar Belani. « Il est inapproprié de parler de dettes. Il s'agit plutôt de contentieux portant sur des montants qui restent à concilier entre les organismes compétents des deux parties afin de ne retenir, en bout de parcours, que les créances authentiques », avait précisé l’actuel ambassadeur d’Algérie au royaume de Belgique.
Jeudi dernier, le quotidien français Le Figaro rapportait, s’appuyant sur un document de l’Assistance publique-hôpitaux de paris, que l’Algérie venait en tête des pays qui ne payait pas ses dettes pour les malades transférés en France. Le chiffre de 3,6 millions d’euros a été avancé.
Une information que la Caisse nationale des assurés sociaux (CNAS) conteste et affirme qu’elle honore tous ses engagements envers les structures hospitalières françaises, dans le cadre du « transfert de malades algériens pour soins à l'étranger ».
« La CNAS, en tant qu’organisme officiel responsable de la couverture financière des frais d’hospitalisation des citoyens algériens bénéficiaires de décisions de transfert pour soins à l’étranger, délivrées par la commission médicale nationale, honore, dans le cadre de ses relations conventionnelles, l’ensemble de ses engagements auprès des structures hospitalières françaises d’accueil », lit-on dans le communiqué rendu public aujourd’hui par cette structure sociale.
L’institution à caractère administratif, dépendant du ministère du Travail, précise que « les relations conventionnelles avec les structures hospitalières françaises d’accueil, font l’objet de réunions d’évaluation périodiques, au cours desquelles sont réglés, en commun accord, l’ensemble des différends, somme toute logique, dans une relation commerciale historique, aussi dense, caractérisée par un partenariat mutuellement avantageux ».
Cependant, s’il existe des contentieux de paiement, la Caisse dirigée par le Dr Mellouka s’en lave les mains et déclare ne pas « assumer financièrement les frais occasionnés par des soins prodigués à des personnes non munies d’engagements de prise en charge délivrés préalablement à leur départ ».
La question de supposées dettes de la CNAS envers les hôpitaux français est récurrente. En 2014 déjà, la ministre française de la Santé, Marisol Touraine avait déclaré que l’Algérie était redevable de 34 millions d’euros, dont 15 millions avaient été remboursés en 2012. Information immédiatement démentie par le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères, de l’époque, Amar Belani. « Il est inapproprié de parler de dettes. Il s'agit plutôt de contentieux portant sur des montants qui restent à concilier entre les organismes compétents des deux parties afin de ne retenir, en bout de parcours, que les créances authentiques », avait précisé l’actuel ambassadeur d’Algérie au royaume de Belgique.
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