Monsieur Sarkozy, j’apprends que vous serez en Tunisie, ce dimanche 19 juillet.
Même si, avec Carla, vous ferez toujours deux visiteurs de plus, à un moment où notre pays a le plus besoin de touristes, vous ne serez que de trop, monsieur Sarkozy.
Moi quand j’entends le vocable Sarkozy, je pense tout de suite à l’Irak où vous avez semé la mort en gros, le chaos et la désolation. Vous avez transformé un vieux pays arabe qui avait une civilisation à quelque chose qui ne ressemble plus à rien.
Moi quand on me dit Sarkozy, je pense tout de suite à Damas que vous vous êtes efforcé de transformer en un abattoir municipal géant où l’être humain est égorgé Hallal à tour de bras.
Moi quand on me dit Sarkozy, je vois tout de suite l’image de votre ami Bernard Henry Levy bombant le torse à Tripoli, fier d’ y avoir semé deux mille milices armées et trente millions de pièces d’artillerie diverses qui menacent aujourd’hui notre sécurité.
Je vois encore Gueddafi, achevé à coups de poings et de pieds, puis froidement abattu.
Moi quand j’entends le mot Sarkozy, je dis tout de suite le grossiste du chaos et de la mort dans le monde et le sponsor officiel de tous les groupuscules et partis très spéciaux, que vous avez couvés à Paris, pour qu’ils nous reviennent sur la figure.
Monsieur Sarkozy, j’étais très en colère quand les prédicateurs du Golfe venaient chez nous donner des leçons d’Islam et de vie. J’avais tort, car, comparés au maux que vous avez semés, c’est des enfants de chœur.
Monsieur Sarkozy, vous avez choisi, entre deux garde à vue et mises en demeure, de vous rendre en Tunisie.
Vous allez peut-être rencontrer les trois présidents, je ne sais pas ce que vous allez leur dire, mais moi, je sais ce que j’ai à vous dire : monsieur Sarkozy, vous n’êtes pas le bienvenu.
Par : Lotfi BEN SASSI
Même si, avec Carla, vous ferez toujours deux visiteurs de plus, à un moment où notre pays a le plus besoin de touristes, vous ne serez que de trop, monsieur Sarkozy.
Moi quand j’entends le vocable Sarkozy, je pense tout de suite à l’Irak où vous avez semé la mort en gros, le chaos et la désolation. Vous avez transformé un vieux pays arabe qui avait une civilisation à quelque chose qui ne ressemble plus à rien.
Moi quand on me dit Sarkozy, je pense tout de suite à Damas que vous vous êtes efforcé de transformer en un abattoir municipal géant où l’être humain est égorgé Hallal à tour de bras.
Moi quand on me dit Sarkozy, je vois tout de suite l’image de votre ami Bernard Henry Levy bombant le torse à Tripoli, fier d’ y avoir semé deux mille milices armées et trente millions de pièces d’artillerie diverses qui menacent aujourd’hui notre sécurité.
Je vois encore Gueddafi, achevé à coups de poings et de pieds, puis froidement abattu.
Moi quand j’entends le mot Sarkozy, je dis tout de suite le grossiste du chaos et de la mort dans le monde et le sponsor officiel de tous les groupuscules et partis très spéciaux, que vous avez couvés à Paris, pour qu’ils nous reviennent sur la figure.
Monsieur Sarkozy, j’étais très en colère quand les prédicateurs du Golfe venaient chez nous donner des leçons d’Islam et de vie. J’avais tort, car, comparés au maux que vous avez semés, c’est des enfants de chœur.
Monsieur Sarkozy, vous avez choisi, entre deux garde à vue et mises en demeure, de vous rendre en Tunisie.
Vous allez peut-être rencontrer les trois présidents, je ne sais pas ce que vous allez leur dire, mais moi, je sais ce que j’ai à vous dire : monsieur Sarkozy, vous n’êtes pas le bienvenu.
Par : Lotfi BEN SASSI