il y a des êtres qu'on croise dans nos vie puis.. contrairement à d'autres, nous imprègnent, ils fusionnent dans nos vies, leur perte est énorme, au point ou, ce point dans le ventre et gorge qui nous a serré très fort le jour ou il sont partis revient à chaque fois qu'on pense à eux.. le temps ne panse pas toujours.
une pensée que j'avais écrit en sa mémoires, cela fait cinq ans exactement qu'elle nous quitta, deja.. Allah yarah'mek..
penchée sur le levier de cuisine, préparant son festin, avec amour pour ceux qui mangeront de ses mains généreux, elle n’hésitera pas à vous l'apprendre et gare à vous si vous ne finissez pas votre assiette, elle ne l'a fait que pour vous
vous écouterez ses histoires, qui parfois se répètent, mais le plaisir est là, tirez-en des leçons de la simplicité qui vous invite à la création , de la faiblesse qui donne le charme, de la ténacité qui donne le courage et de la force qui vous oblige à continuer de vous battre.
Apprenez d'elle, la joie de vivre, apprenez d'elle l'amour que donne une belle mère à sa belle fille, de l'amour d'une mère envers ses enfants, d'une dame qui n’hésite pas à dire je t'aime.
Plus je la regarde attentive à sa personne, plus elle grandit à mes yeux, plus je la trouve.. si merveilleuse... si belle et gracieuse.
ce jour là ou tu as appris que ça n'allait plus pour toi, comme pour nous consoler, avec un sourire , tu as dit que tout le monde y passera, mais quand meme, tu t'es battue, tres fort contre la bête, celui qui ne venait pas avec toi, ne croirait jamais que tu souffrais tant, mais tu le cachais encore une fois, pour nous protéger, avec ton sourire et bonne humeur comme une baume sur le cœur,
tu as presque gagné la bête, mais tu as été piégée par une autre, elle t'a pris à court ,hors de mon contrôle je n'étais pas là pour te tenir la main, je n'étais plus là pour t'obliger à te nourrir cette fois là, je te disais, khalti tu m'attendras, tu tiendras ta seconde petite fille dans tes bras, tu lui donneras son premier bain comme pour la première, je t'implorai de tenir bon, pour qu'on puisse prendre notre café Arabe pour la dernière fois, juste toi et moi, juste un dernier fou rire, juste une dernière confidence, ...si tu pouvais juste m'attendre j'ai tant à apprendre de toi.
mais je sais que tu soufrai trop, ta voix changeait, elle devenait si faible, je ne voulais pas y croire que ta bougie s’éteignait , j’espérais encore, toi la forte, tu ne peux lâcher la corde.
mais voila, la nouvelle fut comme un éclat de tonnerre, j'ai perdu une autre grande dame , une légende, j'avais envie de te dire '' youba yenekh khayé, youba yenekh khalti Golgas '' pour dernière fois, tu me manques terriblement.
une pensée que j'avais écrit en sa mémoires, cela fait cinq ans exactement qu'elle nous quitta, deja.. Allah yarah'mek..
penchée sur le levier de cuisine, préparant son festin, avec amour pour ceux qui mangeront de ses mains généreux, elle n’hésitera pas à vous l'apprendre et gare à vous si vous ne finissez pas votre assiette, elle ne l'a fait que pour vous
vous écouterez ses histoires, qui parfois se répètent, mais le plaisir est là, tirez-en des leçons de la simplicité qui vous invite à la création , de la faiblesse qui donne le charme, de la ténacité qui donne le courage et de la force qui vous oblige à continuer de vous battre.
Apprenez d'elle, la joie de vivre, apprenez d'elle l'amour que donne une belle mère à sa belle fille, de l'amour d'une mère envers ses enfants, d'une dame qui n’hésite pas à dire je t'aime.
Plus je la regarde attentive à sa personne, plus elle grandit à mes yeux, plus je la trouve.. si merveilleuse... si belle et gracieuse.
ce jour là ou tu as appris que ça n'allait plus pour toi, comme pour nous consoler, avec un sourire , tu as dit que tout le monde y passera, mais quand meme, tu t'es battue, tres fort contre la bête, celui qui ne venait pas avec toi, ne croirait jamais que tu souffrais tant, mais tu le cachais encore une fois, pour nous protéger, avec ton sourire et bonne humeur comme une baume sur le cœur,
tu as presque gagné la bête, mais tu as été piégée par une autre, elle t'a pris à court ,hors de mon contrôle je n'étais pas là pour te tenir la main, je n'étais plus là pour t'obliger à te nourrir cette fois là, je te disais, khalti tu m'attendras, tu tiendras ta seconde petite fille dans tes bras, tu lui donneras son premier bain comme pour la première, je t'implorai de tenir bon, pour qu'on puisse prendre notre café Arabe pour la dernière fois, juste toi et moi, juste un dernier fou rire, juste une dernière confidence, ...si tu pouvais juste m'attendre j'ai tant à apprendre de toi.
mais je sais que tu soufrai trop, ta voix changeait, elle devenait si faible, je ne voulais pas y croire que ta bougie s’éteignait , j’espérais encore, toi la forte, tu ne peux lâcher la corde.
mais voila, la nouvelle fut comme un éclat de tonnerre, j'ai perdu une autre grande dame , une légende, j'avais envie de te dire '' youba yenekh khayé, youba yenekh khalti Golgas '' pour dernière fois, tu me manques terriblement.
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