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    [LE FOND MONETAIRE AFRICAIN ( FMA), L’UN DES RÊVES DE KADHAFI, EST EN PLACE, AU GRAND DAM DE BHL]
    Cette nouvelle n’a pas fait beaucoup de bruit, et pourtant, l’acte est significatif, et aura un impact certain sur l’avenir du continent.
    Il y a 1 an, l’Union africaine (UA) a adopté à Malabo les statuts du Fonds monétaire africain (FMA), une institution financière panafricaine dotée d’un capital initial de 22,64 milliards de dollars et ayant pour mission de promouvoir le développement économique du continent.
    Le fond dont la mise en place était prévue par l’acte constitutif de l’UA adopté en 2000 à Syrte en Libye, a pour vocation de contribuer à la stabilité économique et à la gestion des crises financières en Afrique, en favorisant la croissance macroéconomique et le développement du commerce intra-régional.
    Selon le Commissaire de l’Union africaine aux affaires économiques, Anthony Maruping, le FMA a été créé pour prendre en charge les questions macro-économiques sur le continent.
    Un consensus a finalement été trouvé lors du sommet de Malabo en 2014 pour qu’un poste d’administrateur permanent soit attribué à chaque pays participant à plus de 3,5% au capital du FMA. L’octroi d’un droit de veto aux gros contributeurs a été cependant rejeté.
    Le capital du fond est mobilisé auprès des Etats africains en fonction de plusieurs critères, dont notamment la taille de leurs économies et leurs réserves en devises.
    L’Afrique du Sud devrait être le plus gros contributeur au capital du fond, qui sest basé à Yaoundé, au Cameroun, avec 8,05% des parts, ce qui représente une contribution de près de 1 milliard de dollars, suivie par le Nigeria (7,94%, ou 899 millions de dollars), l’Egypte (6,12%/ 693 millions de dollars) et l’Algérie (4,59%/ 520 millions de dollars).
    Posted by Kémi Séba On juin 30, 2015

  • #2
    En effet, le plus curieux dans cette affaire de l'Union Africaine, c'est qu'elle est financée à hauteur de 72%, pour son fonctionnement, par l'UE, le FMI, les USA, la Chine et la Turquie!!!
    C'est à l'image des pays: sont-ils vraiment indépendants!
    « On me donne ou on me prête qu’à partir du moment qu'on m’imposer comment gérer mes affaires". Ce que disait un certain directeur du FMI!
    Dans la réalité, l'Afrique a les moyens mais les responsables politiques sont tenus en laisse ou manipulés et pourquoi pas menacés?

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    • #3
      Salam

      J'aime l'idée, moins quand je lis que l'UE participe au financement...

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      • #4
        L'Afrique est le prolongement naturel de l'Algérie.
        "Comment le capital de cette toute jeune mais déjà incontournable Algérie indépendante, modèle pour tant de pays du continent, a-t-il été dilapidé ? "C’est le prestige de la guerre de Libération qui a porté la voix de l’Algérie. Et non l’inverse, comme ce que la vanité des hommes a pu faire croire, souligne Abdelaziz Rahabi, porte-parole des Affaires étrangères en 1989 et conseiller aux Affaires africaines de Sid Ahmed Ghozali en 1990".
        La transsaharienne date des années 60/70! Où en sommes-nous?
        Comme par hasard, au moment de réactiver "la route de l'Unité Africaine" , Bako Harram fait son apparition et juste au milieu!
        Le projet « Grand Inga ». On en a déjà parlé de ce projet sur FA. Alimenter le lac Tchad et donner vie au Sahel.
        Ce gigantesque projet de construction du plus grand barrage du monde sur le fleuve Congo a le potentiel d’alimenter la moitié de l’Afrique en énergie avec sa capacité de production de 40 000 mégawatts. Voici un projet que l’UA devrait prendre à bras le corps en mobilisant des financements de ses Etats membres.
        Les africains doivent par ailleurs regarder ce projet comme une opportunité d’apprendre à travailler ensemble. Sa réalisation qui serait un moment de fierté pour tous les africains pourrait aussi donner le coup d’envoi tant attendu de la renaissance africaine.
        Les adversaires de l’Afrique le savent et travaillent très dur pour saboter ce projet. Comme par hasard, les européens ont sorti du chapeau le projet de Jean-Louis Borloo d’électrification de l’Afrique, et avant eux, le président Obama avait déjà mis sur la table le projet « Power Africa » dont la réalisation exclut le Grand Inga.
        "A bien réfléchir, l’Afrique n’a besoin des financements de personne, car ce continent est riche, très riche même, n’a besoin que d’en prendre conscience et de s’organiser de manière à tirer le meilleur profit de son potentiel. Nous n’insisterons jamais assez dans notre demande adressée aux pays africains de syndiquer leurs efforts dans la gestion de leurs matières premières. Non seulement ils se mettraient en position de force en tant qu’entité continentale dans la négociation des contrats, mais cela leur permettra aussi d’en organiser la gestion. Un pourcentage des revenus générés par ces matières premières pourrait par exemple être directement affecté au budget de fonctionnement de l’UA et au financement de programmes sociaux sur le continent sans que cela n’affecte les budgets des états membres". Daniel Bekima

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        • #5
          La*transsaharienne*date des années 60/70! Où en sommes-nous?
          Comme par hasard, au moment de réactiver "la route de l'Unité Africaine" , Bako Harram fait son apparition et juste au milieu!*
          Ce projet est une arlesiénne si l'Algérie et les états voisins avaient les moyens et la volonté cette route existerait depuis des années. Cette route n'est qu'un mythe que l'on ressort périodiquement.

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          • #6
            Même si la "transsaharienne", voyait un jour le jour, son utilité économique serait très limitée.

            Un projet comme le port en eau profonde de Kribi au Cameroun va lier au reste du monde par voie maritime des pays enclavés comme le Mali, le Niger et le Tchad.

            Ce que l'Algérie aurait dû faire, c'était construire un gigantesque port de transbordement en eau profonde (comme Tanger Med) et finir la transsaharienne. De cette manière, tout le commerce vers les pays du Sahel et le reste de l'Afrique passerait par l'Algérie. Mais ça, il fallait le faire, il y a 20 ou 30 ans. Maintenant c'est trop tard parce que les pays enclavés ont trouvé d'autres solutions pour sortir de leur enclavement.
            Dernière modification par hakimcasa, 26 juillet 2015, 22h08.

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            • #7
              rebrab voulait investir gros dans un port en eau profonde et implanter une grande zone industrielle pour fabriquer des voitures ,produire de l'acier etc a cap djenet mais des personnes bien placées ont tout bloqué...l'économie algérienne comme toute l'algérie est idéologisée .mais surtout la mafia des importateurs aurait vu d'un mauvais oeil que le plus grand port algérien leur échappe.

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