bderrahmane Benkhalfa ne veut plus de deux économies en Algérie : réelle et informelle. La bancarisation de l’argent de l’informel est l’une des étapes les plus importantes afin de réduire le faussé existant entre l’économie réelle et l’économe informel, a souligné le ministre des Finances, ce mardi 28 juillet, sur la radio nationale.
« Cette mesure est une mesure d’inclusion économique et financière qui vise à ouvrir les portes à tous les acteurs de la sphère réelle qui thésaurisent leurs fonds », a expliqué le ministre qui invite toutes ces personnes à déposer cet argent dans les banques à partir du 15 août.
Le potentiel à mobiliser, selon lui, est estimé entre 1 000 et 1 300 milliards de dinars selon l’évaluation de la banque d’Algérie. La mesure vise les capitaux qui sont sur le sol algérien, a noté le ministre. « L’argent qui est à l’étranger est acceuillable depuis longtemps. Nous avons 6 à 7 millions de comptes devises en Algérie », a-t-il expliqué.
Les acteurs économiques qui n’ont pas bancarisé leurs fonds « procédurales ou conjoncturels » n’ont pas de raisons d’hésiter à le faire, selon Abderrahmane Benkhalfa. « Le pays dispose d’un système bancaire le plus sécurisé dans la région méditerranéenne et les capitaux de nos banques sont les plus élevés. Sur le plan procédural, nous avons veillé à ce qu’il n’y ait aucun inconvénient et sur le plan fiscal », a-t-il argumenté.
« Il faut que le dinars relève la tête »
Concernant la lutte contre le marché informel de devise, le ministre des Finances explique que pour que ce phénomène « non économique », disparaisse, « il faut que le dinars relève la tête ».
« Contrairement à ce que l’on pense, ce n’est pas sa valeur calculée par la Banque d’Algérie qui permet au dinar d’être fort ou moins fort mais c’est la compétitivité économique qui détermine cela » a-t-il insisté.
Les mesures qui sont en train d’être prises feront en sorte que le dinar sera plus fort, selon le ministre. Le ministre a estimé qu’il n’y a pas de dépréciation du dinar mais un « saut de la valeur du dollar ».
« Cette mesure est une mesure d’inclusion économique et financière qui vise à ouvrir les portes à tous les acteurs de la sphère réelle qui thésaurisent leurs fonds », a expliqué le ministre qui invite toutes ces personnes à déposer cet argent dans les banques à partir du 15 août.
Le potentiel à mobiliser, selon lui, est estimé entre 1 000 et 1 300 milliards de dinars selon l’évaluation de la banque d’Algérie. La mesure vise les capitaux qui sont sur le sol algérien, a noté le ministre. « L’argent qui est à l’étranger est acceuillable depuis longtemps. Nous avons 6 à 7 millions de comptes devises en Algérie », a-t-il expliqué.
Les acteurs économiques qui n’ont pas bancarisé leurs fonds « procédurales ou conjoncturels » n’ont pas de raisons d’hésiter à le faire, selon Abderrahmane Benkhalfa. « Le pays dispose d’un système bancaire le plus sécurisé dans la région méditerranéenne et les capitaux de nos banques sont les plus élevés. Sur le plan procédural, nous avons veillé à ce qu’il n’y ait aucun inconvénient et sur le plan fiscal », a-t-il argumenté.
« Il faut que le dinars relève la tête »
Concernant la lutte contre le marché informel de devise, le ministre des Finances explique que pour que ce phénomène « non économique », disparaisse, « il faut que le dinars relève la tête ».
« Contrairement à ce que l’on pense, ce n’est pas sa valeur calculée par la Banque d’Algérie qui permet au dinar d’être fort ou moins fort mais c’est la compétitivité économique qui détermine cela » a-t-il insisté.
Les mesures qui sont en train d’être prises feront en sorte que le dinar sera plus fort, selon le ministre. Le ministre a estimé qu’il n’y a pas de dépréciation du dinar mais un « saut de la valeur du dollar ».
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