Bois ce breuvage que je t’ai préparé
dans cette coupelle que j’ai moi-même ciselée !
chaque gorgée de ce remède glissera lentement
Dans ce corps que j’ai tant rêvé !
Il te donnera courage et vaillance, t’aveuglera
Pour me donner les sentiments que tu m’as toujours refusé !
Chaque coupure qui te blessera me donnera satisfaction de ta purification et installera l’adoration !
Je suis là ! toujours là !
je te regardais te moquer de moi
en allant chasser dans ces terres inconnues qui abritaient ces belles !
mes anges noirs veillaient sur toi !
surveillant que tu n’y arriverais pas !
ils devaient te ramener à moi !
que tu n’aimes pas !
je savais que tu me reviendrais
malgré toi !
vois tu je suis encore là !
fatigué tu es devenu, éreinté d’avoir chercher l’amour vrai !
mais cela n’existe pas !
ne le savais tu pas !
tu seras résigné à m’adorer !
comme je l’ai toujours désiré !
regarde moi ! ne baisse pas les yeux !
souris moi !
tu verras au fil du temps tu me trouveras belle
et tu penseras que celle que tu as tellement chercher
était moi !
bois ! bois !
je t’ordonne de boire et de m’aimer !
lily
la diablesse
dans cette coupelle que j’ai moi-même ciselée !
chaque gorgée de ce remède glissera lentement
Dans ce corps que j’ai tant rêvé !
Il te donnera courage et vaillance, t’aveuglera
Pour me donner les sentiments que tu m’as toujours refusé !
Chaque coupure qui te blessera me donnera satisfaction de ta purification et installera l’adoration !
Je suis là ! toujours là !
je te regardais te moquer de moi
en allant chasser dans ces terres inconnues qui abritaient ces belles !
mes anges noirs veillaient sur toi !
surveillant que tu n’y arriverais pas !
ils devaient te ramener à moi !
que tu n’aimes pas !
je savais que tu me reviendrais
malgré toi !
vois tu je suis encore là !
fatigué tu es devenu, éreinté d’avoir chercher l’amour vrai !
mais cela n’existe pas !
ne le savais tu pas !
tu seras résigné à m’adorer !
comme je l’ai toujours désiré !
regarde moi ! ne baisse pas les yeux !
souris moi !
tu verras au fil du temps tu me trouveras belle
et tu penseras que celle que tu as tellement chercher
était moi !
bois ! bois !
je t’ordonne de boire et de m’aimer !
lily
la diablesse
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