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Les dividendes politiques d’un “malencontreux” échange de tirs Le président de la République a mis fin aux fonction

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  • Les dividendes politiques d’un “malencontreux” échange de tirs Le président de la République a mis fin aux fonction

    Les dividendes politiques d’un “malencontreux” échange de tirs
    Le président de la République a mis fin aux fonctions de plusieurs
    personnalités militaires. ©D. R.


    Liberté du 28/07/15

    Un événement est survenu à Zéralda. Il a servi, selon toute vraisemblance, d’alibi au limogeage des généraux responsables de la sécurité du Président, à savoir le chef de la Garde républicaine Moulay Melliani et celui de la Direction générale de sécurité et de la protection présidentielle (DGSPP), Kehal Djamel Medjoub, et au rattachement de la structure gérée par ce dernier à l’état-major. L’onde de choc a emporté
    le responsable du contre-espionnage, Ali Bendaoud. Décryptage…
    “Rixe entre gardiens, pétards lancés par de jeunes estivants provoquant une panique au sein de la garde rapprochée du Président et de malencontreux coups de feu, ou encore une tentative d’intrusion dans la résidence médicalisée du Président repoussée.” Cela ne tient pas la route. Une mise en scène ? Cela a, en tout cas, l’allure d’un coup fomenté.
    Inutile de rappeler ici que la résidence est ultrasécurisée et qu’un échange de tirs avec des intrus ne peut se faire que dans un rayon d’au moins deux kilomètres. Donc, les pétards, aussi gros soient-ils, ne peuvent être entendus que vaguement par la Garde présidentielle et ne peuvent provoquer la panique des éléments bien entraînés du GIS ou de la troupe d’élite de la Garde républicaine qui assurent la sécurité du Président.
    Or, la famille du chef de la DGSPP ou lui-même, parce qu’il ne pouvait pas ne pas être au courant de la démarche de sa famille, a souligné dans son communiqué diffusé le lendemain de son limogeage qu’il n’a surtout pas manqué à sa mission. Il est évident que faire croire à des défaillances dans la sécurité du Président ou, plus grave, à un coup d’État déjoué, aurait d’incommensurables conséquences dans le contexte actuel qui se traduiraient en autant de dividendes politiques pour ceux qui s’entêtent à maintenir Abdelaziz Bouteflika à la tête de l’État en dépit de son état de santé, au moment où la gestion des affaires publiques avec la crise économique qui se profile nécessite une présence permanente de sa part.
    D’abord, sur le front interne, de tels événements aux alentours de la résidence présidentielle peuvent faire admettre auprès de l’establishment militaire et de l’opinion nationale la thèse de la “négligence” dans la sécurité du Président et, du coup, justifier la purge opérée, faut-il le noter, de manière aussi brutale que le limogeage, il y a une année, de l’ex-ministre d’État Abdelaziz Belkhadem, puni à l’époque pour avoir assisté à un congrès de l’opposition. En un mot, un alibi pour poursuivre la restructuration du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), seul véritable contrepoids au pouvoir de la Présidence. Après le rattachement de la DGSPP à l’état-major de l’ANP, le DRS est, comme on dit dans le management, réduit à ses métiers de base : l’espionnage et le contre-espionnage. Le DRS n’a plus aucun contrôle sur l’armée depuis le rattachement de la Direction centrale de sécurité de l’armée (DCSA) et du service de la Police judiciaire à l’état-major en septembre 2013 déjà, et inutile de dire aussi qu’enlever son “œil” à la Présidence affaiblit davantage le général Mohamed Toufik Mediene sur le front interne. On lui a laissé à peine le temps pour une sortie honorable. Son sort dépend désormais du bon vouloir du clan qui tient les manettes. Ensuite, sur le front externe, présenter Bouteflika devant l’opinion publique internationale comme un chef d’État faisant face à des généraux putschistes atténue toute velléité d’écourter son mandat électif pour cause de maladie et désigne les interlocuteurs “fiables” pour ceux qui veulent discuter de l’avenir de l’Algérie. L’attentat contre le convoi du Président en 2007 à Batna, qui avait fait une vingtaine de morts et plusieurs dizaines de blessés parmi les citoyens venus l’accueillir, n’avait pas suscité une réaction aussi brutale. À peine l’admission à la retraite du chef du secteur militaire territorialement compétent et la mutation du chef de sûreté de wilaya à Skikda.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    aurait d’incommensurables conséquences dans le contexte actuel qui se traduiraient en autant de dividendes politiques pour ceux qui s’entêtent à maintenir Abdelaziz Bouteflika à la tête de l’État en dépit de son état de santé, au moment où la gestion des affaires publiques avec la crise économique qui se profile nécessite une présence permanente de sa part.
    Étonnant de lire une analyse qui appelle aussi franchement à un coup d'état, du meme acabit que ce qu'on peut lire sur un autre journal, El Watan, qui ont vraisemblablement la meme ligne éditoriale, celle d'appeler, voir souhaiter un coup d'état du DRS contre Bouteflika. Ca a le mérite d'éclaircir le positionnement "démocratique" de certaines plumes, au service des portes plumes...
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Étonnant de lire une analyse qui appelle aussi franchement à un coup d'état, du meme acabit que ce qu'on peut lire sur un autre journal, El Watan, qui ont vraisemblablement la meme ligne éditoriale, celle d'appeler, voir souhaiter un coup d'état du DRS contre Bouteflika. Ca a le mérite d'éclaircir le positionnement "démocratique" de certaines plumes, au service des portes plumes...
      Ben quoi, c'est moindre par rapport à ce qu'on souhaite ... "qu'il crève"

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      • #4
        C'est le souhait de ceux qui veulent perpétuer la mainmise militaire sur ce pays depuis l'indépendance, d'autres souhaitent que les militaires soient au service d'une transition démocratique, et non d'un n ieme coup de force...

        A bon entendeur...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          Surement pas avec ce président qu'il va y avoir une transition démocratique, ni une armée à son service.

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          • #6
            ott : le coup d'état sera naturel quand son coeur lachera, à zeralda c'est surement un avertissement au clan bouteflika surement un désaccord pour le prochain sucesseur!

            voilà ou à mener la parole de hollande

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            • #7
              Les termes de la succession à la mort d'un président sont régis par la constitution, et non par un quelconque coup de force institutionnel... Certains se placent dans cette perspective et avaient même invoqué un coup d'état medical...
              Othmane BENZAGHOU

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              • #8
                Le président de la République a mis fin aux fonctions
                s'il avait une once d'honneur,c'est a ses fonctions que le Mobutu d’Algérie aurait du mettre fin et ce dés la fin du deuxième mandat comme le prévoyait ..la constitution .
                Les termes de la succession à la mort d'un président sont régis par la constitution, et non par un quelconque coup de force institutionnel... Certains se placent dans cette perspective et avaient même invoqué un coup d'état medical...
                bof, la constitution ne vaut rien du tout puisqu'elle est triturée au bon vouloir de boutaztaz..
                Dernière modification par xenon, 29 juillet 2015, 14h32.
                ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                • #9
                  Les termes de la succession à la mort d'un président sont régis par la constitution, et non par un quelconque coup de force institutionnel... Certains se placent dans cette perspective et avaient même invoqué un coup d'état medical...
                  la même constitution qui prévoit une procédure en cas d'incapacité du président !
                  شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

                  Commentaire


                  • #10
                    analyse pertinente.
                    La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

                    Commentaire


                    • #11
                      la même constitution qui prévoit une procédure en cas d'incapacité du président !
                      Et donc? As tu des médecins qui ont validé l'incapacité de ce président, ou la légalité constitutionnelle est le dernier de l'intérêt de ceux qui veulent une légalité d'un nouveau genre, instaurée par la politique du plus fort...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #12
                        quand 13 soldats ce font tuer...rien...pas une démission , pas un seule limogeage ...et la...un pétard ou autre ...enfin personne n'est mort et on débarque 3 responsable...

                        ps: la vérité sur cette affaire ....pour une fois je la connais..d'apres une personnes qui travaille a zeralda...des militaire aurait trouvé des couche culotte usagées dans les poubelle et ce serait foutu de la gueule du président....ça soeur les aurait vu.
                        .....
                        ps du ps (fake bien sur)
                        tu tombe je tombe car mane e mane
                        après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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                        • #13
                          Premier contre vérité: le general Mejdoub n'a jamais été proche de Toufik, il était proche du general Smain, tous deux wlad el Harache, ils se connaissent depuis les années 50s. C'est le general Smain qui le fit entré dans l'intimité des Bouteflika lors de son hospitalisation en 2004, le general Mejdoub était alors colonel à la tête du BSS de l'ambassade d'Algerie à Paris, où il lia des relations de confiance, avec l'ambasadeur Missoum Sbih, un poid lourd du clan néo-oujda. C'est sous la recommandation de Sbih et Smain que Mejdoub devient chef de la DSPP. Toufik n'à pas eu son mot à dire. De plus la DSPP, devient DGSPP et elle est rattachée à la Présidence et non plus au DRS au même momment où le general Hamel prend le commandement de la GR en 2008, la GR qui était alors rattaché à la GN devient un commandement à part entière comme le sont le CFT, CFN, CFA, CFDAT, CGN. Les éléments du GIS sont complètement decouplers des éléments du DSPP.
                          Le general Moulay Meliani est un officier issue des troupes Para, ou il y fit une grande partie de sa carrière, puis il commanda une grande unité mecaniser (40 ème DIM), puis numéro deux de la 6 ème, pour succéder enfin à Hamel à la tête de la GR. Il faut savoir que le frère aîné de Moulay Meliani, connaît Bouteflika depuis les année 50s, tous deux ont servi sous Boussouf puis Boumedienne au Maroc. Ce qui explique sont choix à la tête de la GR en 2010. Moulay Meliani, n'a jamais rencontré Toufik de toute sa carrière sauf peut être lors des cérémonies de promotions au mdn.
                          Le general Bendaoud, doit sa promotion fulgurante à sa parenté avec Sellal et à rien d'autre que se soit sa nomination à Paris ou à la DSI et en aucun cas à Toufik.
                          En résumé ces journaleux se font manipulés comme des quiches par leur sources autorisés sans aucun travaille de recoupement base du journalisme.
                          Pour moi, le clan néo-oujda a subit avec de grosse perte avec le départ de ses trois generaux, et on peut en ajouter même un 4 ème avec le départ du general Lakmeche des CFN, dont le frère était conseillé à la présidence et qui est tombé en disgrâce suite à la nomination de Ouyahia comme directeur de cabinet du président
                          Dernière modification par éliamine, 30 juillet 2015, 00h15.

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                          • #14
                            Envoyé par ott
                            C'est le souhait de ceux qui veulent perpétuer la mainmise militaire sur ce pays depuis l'indépendance, d'autres souhaitent que les militaires soient au service d'une transition démocratique, et non d'un n ieme coup de force...
                            réfléchis-tu aux bêtises que tu mets ?

                            c maintenant que tout est entre les mains de l'état major du sergent Garcia dont la compétence brille de mille feux.

                            ps: on se demande quelle haine sous-tend tes dires ?

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                            • #15
                              quand 13 soldats ce font tuer...rien...pas une démission , pas un seule limogeage ...et la...un pétard ou autre ...enfin personne n'est mort et on débarque 3 responsable...

                              ps: la vérité sur cette affaire ....pour une fois je la connais..d'apres une personnes qui travaille a zeralda...des militaire aurait trouvé des couche culotte usagées dans les poubelle et ce serait foutu de la gueule du président....ça soeur les aurait vu.
                              .....
                              ps du ps (fake bien sur)
                              je pense la même chose.

                              on nous dit que tel et tel général sont démis suite à des coups de feu...
                              j'ose espérer que le premier geste à faire c'est une enquête pour déterminer le responsable direct !!!

                              on s'attaque pas au système autour du rais sous prétexte d'un événement dont on ne connait rien !

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