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ES députés américains veulent exporter du pétrole

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  • ES députés américains veulent exporter du pétrole

    Si vous aviez peur que le pétrole puisse de nouveau atteindre des sommets en Bourse et donc que les carburants pourraient coûter plus cher, pas d'inquiétudes : ça ne devrait pas arriver de sitôt. Pire : le pétrole risque fort de chuter encore et encore si les Etats-Unis suivent les conseils du député John Boehner, porte-parole de la Chambre des Députés américaine.

    Pourquoi les Etats-Unis ne pourraient-ils pas vendre du pétrole ?

    La réflexion qu'a faite John Boehner est simple et efficace : il n'y a aucune raison pour que les Etats-Unis ne puissent pas exporter leur pétrole. Or, actuellement, les Etats-Unis se sont imposé un embargo à ce niveau. Un embargo issu de la crise pétrolière de 1973 qui n'a plus vraiment lieu d'être. A l'époque, l'interdiction d'exporter devait garantir des réserves de pétrole aux Etats-Unis... mais depuis le boom du gaz de schiste les Etats-Unis ne savent plus quoi faire de leur pétrole.

    "Aujourd'hui les Etats-Unis connaissent un boom énergétique et nos règlementations doivent s'adapter" a déclaré Boehner.

    Exporter le pétrole américain serait bon pour tout le monde

    L'idée n'est pas nouvelle : un projet de loi a même été déposé par le Républicain Joe Barton en cette année 2015. Avec cette nouvelle intervention de Boehner les choses pourraient avancer.

    Car selon lui, c'est simple : tout le monde pourrait bénéficier de ces exportations à commencer, bien entendu, par les Américains qui verraient le prix de l'essence chuter et près d'un million d'emplois se créer.

    Mais ce serait bénéfique pour l'Occident entier : l'Europe, par exemple, pourrait réduire sa dépendance de la Russie.

    Qui plus est, avec la levée de l'embargo sur le pétrole iranien le marché du brut risque d'être fortement inondé, l'Iran ayant d'énormes réserves de pétrole inexploitées. Sans le droit d'exporter leur pétrole, les industriels américains risquent de devoir fermer encore plus d'exploitations de gaz de schiste, déjà devenu moins bien rentable qu'il y a un an.

    écomatin

  • #2
    Les hydrocarbures provenant de la facturation des schistes ont besoin d'un cours élevé l'apport de plus de pétrole provoquera encore une chute des prix à terme en exportant les USA vont menacer leur production.

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    • #3
      Il y a des dirigeants de certains pays qui doivent faire des cauchemars en lisant ce genre de nouvelles.

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      • #4
        On parle baril ici ?

        Aujourd'hui à 10h 02 GMT

        Baril à NY: 47,57 USD
        Baril à Londres: 52,71 USD

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        • #5
          29/07/2015

          - l'Arabie saoudite envisage de réduire sa production d'ici la fin de l'été


          A l'international, le pétrole a aussi obtenu du soutien de "bruits selon lesquels l'Arabie saoudite envisage de réduire sa production d'ici la fin de l'été", a rapporté M. Flynn. "Que ce soit en réaction à l'éventuel retour de brut iranien sur le marché ou, tout simplement pour soutenir les cours, ce serait la première fois depuis longtemps que les Saoudiens manifestent une intention quelconque de diminuer leur offre."

          Ryad domine l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui a décidé début juin de maintenir en l'état son plafond théorique de production, à 30 millions de mbj, et dépasse même dans les faits ce chiffre.

          - La production américaine a baissé de 145'000 barils par jour (bpj)

          Les prix du pétrole ont monté mercredi à New York et, moins notablement, à Londres après l'annonce d'un déclin des réserves de brut et de la production aux Etats-Unis, qui a un peu fait oublier au marché son récent accès de faiblesse.

          Le cours du baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en septembre, qui avait déjà un peu monté la veille mais baisse dans l'ensemble depuis le début du mois, a pris 81 cents à 48,79 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

          Moins sensible à la situation américaine, le baril de Brent, la référence européenne du brut, n'a pris que huit cents à 53,38 dollars, sur l'Intercontinental Exchange (ICE).

          "On dirait que le pessimisme qui a récemment envahi le marché était peut-être un peu exagéré, en particulier après les chiffres d'aujourd'hui sur les stocks américains", a jugé Phil Flynn, de Price Futures Group.

          Selon des chiffres publiés par le département américain de l'Énergie (DoE), les stocks de pétrole brut ont nettement baissé la semaine dernière aux Etats-Unis, de plus de quatre millions de barils, alors que les analystes tablaient sur une légère hausse.

          De plus, "la production américaine a baissé de 145'000 barils par jour (bpj)", a souligné M. Flynn. "Cela va a l'encontre des inquiétudes sur la surabondance d'offre, ou du moins les apaise. Comme le marché était allé très bas, cela donne l'occasion d'un rebond."

          Les prix du pétrole ont monté mercredi à New York et, moins notablement, à Londres après l'annonce d'un déclin des réserves de brut et de la production aux Etats-Unis, qui a un peu fait oublier au marché son récent accès de faiblesse.

          Le cours du baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en septembre, qui avait déjà un peu monté la veille mais baisse dans l'ensemble depuis le début du mois, a pris 81 cents à 48,79 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

          Autre élément favorable dans les chiffres du DoE, "la demande de produits pétroliers aux États-Unis demeure forte, augmentant de 3,7% d'une année sur l'autre, tirée vers le haut par la demande d'essence", a constaté Abhishek Deshpande, analyste chez Natixis.

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          • #6
            Bon pour le Maroc , un baril bas pour longtemps , une aubaine !!!!

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