Moi qui, d'habitude, suis très peu optimiste sur l'avenir de l'Algérie en général et sur son école en particulier (l'un ne va pas sans l'autre), je me sens pour le coup enthousiaste de la présence d'une personne telle que Mme Benghabrit à la tête du ministère de l'éducation.
D'abord pour ses compétences universitaires incontestables en matière de pédagogie (consulter son cursus et ses travaux en la matière). Ensuite pour son courage, sa modernité et son indépendance vis à vis des idéologies qui ne doivent pas franchir le seuil des écoles) .
Les propositions qui découlent du dernier conclave sur l'école algérienne sont d'une justesse et d'une pertinence scientifique inespérées à la hauteur des personnalités de haut niveau qui y ont participé et dignes d'un pays du G7.
La partie pédagogique est jouée et réussie. Il reste à franchir le mur idéologique des plus rétrogrades qui sépare la lumière et l'obscurité en Algérie.Les Islamo-conservateurs, comme toujours en mal de contre-arguments convaincants, préfère dégainer (ou défourrer leurs épées). Ils empruntent la voie simple et classique de l'anathème qui consiste, faute de capacités intellectuelles pour répondre objectivement, à dévier du fond d'un problème et s'attaquer à la personnalité. Ainsi Mme Benghabrit est non seulement une JUIVE mais une francophone et une francophile !
Bien sûr, la judaïté supposée (Elle ne l'est pas du tout pour ceux qui connaissent son érudite et prestigieuse parenté) et sa francophonie n'enlèvent rien à son Algérianité et à la pertinence de son projet.
Attendons pour voir.
Zkoukou.
D'abord pour ses compétences universitaires incontestables en matière de pédagogie (consulter son cursus et ses travaux en la matière). Ensuite pour son courage, sa modernité et son indépendance vis à vis des idéologies qui ne doivent pas franchir le seuil des écoles) .
Les propositions qui découlent du dernier conclave sur l'école algérienne sont d'une justesse et d'une pertinence scientifique inespérées à la hauteur des personnalités de haut niveau qui y ont participé et dignes d'un pays du G7.
La partie pédagogique est jouée et réussie. Il reste à franchir le mur idéologique des plus rétrogrades qui sépare la lumière et l'obscurité en Algérie.Les Islamo-conservateurs, comme toujours en mal de contre-arguments convaincants, préfère dégainer (ou défourrer leurs épées). Ils empruntent la voie simple et classique de l'anathème qui consiste, faute de capacités intellectuelles pour répondre objectivement, à dévier du fond d'un problème et s'attaquer à la personnalité. Ainsi Mme Benghabrit est non seulement une JUIVE mais une francophone et une francophile !
Bien sûr, la judaïté supposée (Elle ne l'est pas du tout pour ceux qui connaissent son érudite et prestigieuse parenté) et sa francophonie n'enlèvent rien à son Algérianité et à la pertinence de son projet.
Attendons pour voir.
Zkoukou.
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