Tweet
Le journaliste et réalisateur algérien Malik Aït Aoudia est décédé, dans la soirée du jeudi 30 juillet, des suites d’une longue maladie, ont annoncé ses proches.
Co-réalisateur de « Autopsie d’une tragédie : Algérie 1988-2000 » et du « Martyre des sept moines de Tibhirine », Malik Aït Aoudia s’en est allé avant de réaliser son dernier rêve : partir en Syrie.
Malik Aït Aoudia comptait réaliser un reportage en Syrie. Il voulait « dénoncer ce qu’aucun journaliste occidental n’a eu le courage de faire. Il voulait interroger et filmer aussi bien la résistance syrienne que les chefs de Daech », raconte son ami Rachid Bousdira. « Il m’avait dit : je vais mourir avec cette frustration ».
Sur les réseaux sociaux, plusieurs journalistes lui ont rendu hommage. « En mode off… Salutations à l’ami, aimé ou décrié. II a fait son métier avec abnégation ! À toi Malik Aït-Aoudia… », écrit Nazim Mekbel, journaliste et fils de Saïd Mekbel, sur sa page Facebook
tsa
Co-réalisateur de « Autopsie d’une tragédie : Algérie 1988-2000 » et du « Martyre des sept moines de Tibhirine », Malik Aït Aoudia s’en est allé avant de réaliser son dernier rêve : partir en Syrie.
Malik Aït Aoudia comptait réaliser un reportage en Syrie. Il voulait « dénoncer ce qu’aucun journaliste occidental n’a eu le courage de faire. Il voulait interroger et filmer aussi bien la résistance syrienne que les chefs de Daech », raconte son ami Rachid Bousdira. « Il m’avait dit : je vais mourir avec cette frustration ».
Sur les réseaux sociaux, plusieurs journalistes lui ont rendu hommage. « En mode off… Salutations à l’ami, aimé ou décrié. II a fait son métier avec abnégation ! À toi Malik Aït-Aoudia… », écrit Nazim Mekbel, journaliste et fils de Saïd Mekbel, sur sa page Facebook
tsa
Commentaire