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La Stratégie. PSA Peugeot Citroën, Renault, Volkswagen, Daimler... plusieurs constructeurs automobiles européens lorgnent avec plus d'acuité les potentialités commerciales dont dispose actuellement l'Iran depuis le récent accord international sur le nucléaire.
Envisager un retour en Iran suite à l'accord sur le nucléaire et à la levée progressive des sanctions internationales contre le pays, telle est à ce jour la réflexion qui gagne bon nombre de constructeurs automobiles.
Si l'on s'en tient aux chiffres récents du secteur, il s'est écoulé plus de 600 000 voitures particulières et utilitaires légers assemblées quasi exclusivement par Iran, le fournisseur attitré du pays. Implanté dans le pays depuis 1978, Peugeot y a détenu 30% du marché et a commercialisé à fin 2011, via un partenariat avec l'opérateur historique, 458.000 véhicules avant de se retirer courant 2012.
Renault a scellé dans les années 2000 une co-entreprise industrielle et commerciale avec plusieurs partenaires locaux pour y produire la Logan. Renault n'a jamais quitté le pays, mais les sanctions l'ont contraint à réduire ses opérations Toujours est-il qu'en 2013, la marque au losange a écoulé 100.000 véhicules assemblés localement. Fiat qui avait lui aussi signé un accord de production fin 2004 et qui avait arrêté ses exportations vers l'Iran, n'exclut pas un retour dans le pays.
En cas de levée définitive des sanctions, le marché iranien pourrait croître de 10 % par an en 2016 et 2017, selon certains spécialistes du secteur. Peugeot et Renault devraient être les principaux bénéficiaires de la reprise de ce marché. PSA prévoit de vendre 400. 000 voitures entre 2020 et 2025.
Renault se prépare également à revenir en force sur le marché iranien s'appuyant sur l'arrivée de nouveaux produits, dont la Sandero, le pick-up Logan, Kwid, récemment commercialisée en Inde.
«En 2020, l'Iran pourrait représenter plus de deux millions de véhicules neufs par an, contre à peine plus d'un million l'année dernière» a déclaré récemment à la presse française Bernard Cambier directeur des opérations de la région Afrique, Moyen-Orient et Inde de Renault.
La vois libre
Envisager un retour en Iran suite à l'accord sur le nucléaire et à la levée progressive des sanctions internationales contre le pays, telle est à ce jour la réflexion qui gagne bon nombre de constructeurs automobiles.
Si l'on s'en tient aux chiffres récents du secteur, il s'est écoulé plus de 600 000 voitures particulières et utilitaires légers assemblées quasi exclusivement par Iran, le fournisseur attitré du pays. Implanté dans le pays depuis 1978, Peugeot y a détenu 30% du marché et a commercialisé à fin 2011, via un partenariat avec l'opérateur historique, 458.000 véhicules avant de se retirer courant 2012.
Renault a scellé dans les années 2000 une co-entreprise industrielle et commerciale avec plusieurs partenaires locaux pour y produire la Logan. Renault n'a jamais quitté le pays, mais les sanctions l'ont contraint à réduire ses opérations Toujours est-il qu'en 2013, la marque au losange a écoulé 100.000 véhicules assemblés localement. Fiat qui avait lui aussi signé un accord de production fin 2004 et qui avait arrêté ses exportations vers l'Iran, n'exclut pas un retour dans le pays.
En cas de levée définitive des sanctions, le marché iranien pourrait croître de 10 % par an en 2016 et 2017, selon certains spécialistes du secteur. Peugeot et Renault devraient être les principaux bénéficiaires de la reprise de ce marché. PSA prévoit de vendre 400. 000 voitures entre 2020 et 2025.
Renault se prépare également à revenir en force sur le marché iranien s'appuyant sur l'arrivée de nouveaux produits, dont la Sandero, le pick-up Logan, Kwid, récemment commercialisée en Inde.
«En 2020, l'Iran pourrait représenter plus de deux millions de véhicules neufs par an, contre à peine plus d'un million l'année dernière» a déclaré récemment à la presse française Bernard Cambier directeur des opérations de la région Afrique, Moyen-Orient et Inde de Renault.
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