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Le sexisme en Algérie

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  • Le sexisme en Algérie

    Quand y en a plus y en a encore...

    Benghebrit est une petite paresseuse qui n'a daigné apprendre l'arabe classique, elle essaie d'appliquer et surtout de généraliser ce dont elle maitrise le mieux pour communiquer, càd la langue Benghebritienne.
    On ose espérer qu'elle n'est pas issue de village El left à Sidi Belabes, les enfants y gouteront d'un enseignement d'un autre genre.

    J'ai comme l'impression que cette connerie sert à détourner les regards..
    vous en pensez quoi ?

  • #2
    Il faut nous dire comment s'appelle ou se trouve la poubelle qui a pondu ça pour éviter de passer devant tellement ça pue la haine et l’imbécillité !!

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    • #3
      Il faut nous dire comment s'appelle ou se trouve la poubelle qui a pondu ça pour éviter de passer devant tellement ça pue la haine et l’imbécillité !!
      ah !
      les algériens ...

      cette femme a plusieurs DEA, docteur en sciences sociales dans plusieurs univ etc..

      t'as des fumistes qui la traitent de tous les maux..

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      • #4
        Mais c'est pas nouveau! 80 % des maghrébins sont sexistes!

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        • #5
          Pauline Marois était première ministre du Québec, son programme principal était de débarrasser la province du Hidjab. Accotée sur l'algérienne Djemila Benhabib elle n'a pu faire long feu.
          Quelques mois après les canadiens l'ont mis à la porte, surement très sexistes.

          PS: Débattons avec les idées et l'argumentation, soyons intelligents!
          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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          • #6
            De grace !

            Arrêter de publier ces textes puants venants de forums et autres Facebook !
            Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

            Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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            • #7
              C'est archi sûr...Les Algériens, globalement, sont plus que sexistes, ils sont carrément misogynes.

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              • #8
                Jasmyne: " Mais c'est pas nouveau! 80 % des maghrébins sont sexistes!"

                Mais pour rectifier cette déraison, il convient aussi aux mères algériennes ( et Maghrébines") de concevoir une éducation qui mette à pied d'égalité une fille et un garçon. Telle n'est pas le cas malheureusement.

                Qui ici même, d'Algérien, accorde une quelconque crédit à Louisa Hanoune ou à la splendide Fathia Brahimi?
                ___________________________

                Incollable sur la procédure

                Alternant humour et rigueur, passant aisément de l'arabe, dont elle maîtrise les sombres recoins, au français, qu'elle pratique sans ce complexe ravageur des maquisards de la 25e heure, incollable sur la procédure, Fatiha Brahimi ne jure que par la loi. Mais, gare à l'accusé qui nie des évidences, ou aux intrusions intempestives d'un avocat ou même du procureur général. La métamorphose est alors brutale : le visage se ferme, le front se plisse, les lèvres se pincent, et le sourire se fige sur une moue qui précède une terrible tempête.

                Face à cette dame de fer enrobée de velours, des hommes d'influence perdent de leur superbe. Comme Abou Djerra Soltani, le très misogyne ministre d'État cité à la barre des témoins. Interrogé sur sa responsabilité au ministère du Travail et de la Sécurité sociale, l'islamiste présumé « modéré » du Mouvement de la société pour la paix tente de la prendre de haut : « Un ministère que je quitte, c'est comme une femme que je répudie, je n'y remets jamais les pieds ! » Fatiha Brahimi le remet en place : « Calmez-vous, Monsieur le ministre d'État, sinon on va tous s'énerver ! »

                Dans le décor en trompe-l'oeil d'un procès balisé par les sacro-saintes lignes rouges de l'arrêt de renvoi, elle a réussi à réécrire une partie du scénario. Et à dévoiler dans toute sa laideur, une justice sous influence qui protège les puissants du sérail et accable les seconds couteaux.

                Pas de langue de bois

                Par une liberté de ton qui a répudié la langue de bois et une maîtrise exceptionnelle du dossier, la magistrate a failli réhabiliter auprès des Algériens l'image d'une justice discréditée, otage du pouvoir politique. En témoignent les centaines de lettres qui atterrissent chaque jour sur son bureau : du corbeau dénonçant un voisin suspect de corruption, au père de famille désespéré à la recherche d'un logement. « Malheureusement, je ne peux distribuer que des jugements » déplore-t-elle.

                Lorsque Ali Belhadj, le tonitruant chef salafiste, pénètre dans la salle d'audience et prend place parmi le public, tout le monde retient son souffle. Imperturbable, Fatiha Brahimi le jauge du coin de l'oeil et continue, mine de rien, son interrogatoire de l'accusé du jour. Sous la froide carapace, la dame de coeur se révèle parfois d'une sensibilité insoupçonnable chez la femme de loi. Émue avant de clore les débats, le 8 mars dernier, elle étouffe un sanglot, puis fond en larmes. Réaction inattendue dans ce procès surréaliste, avocats, journalistes, accusés et leurs familles, toute l'assistance se lève pour l'ovationner longuement.

                Icône immaculée célébrée dans une unanimité presque suspecte, Fatiha Brahimi a fini par susciter quelques coups de griffes. Dans le procès en sorcellerie intenté depuis quelques jours par ses détracteurs, ses larmes sont exhibées comme pièce à conviction d'un impardonnable attentat contre la « dignité de la justice ».

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                • #9
                  Non seulement sexistes mais aussi ignorants!

                  Des ignorants qui s'ignorent, mais avec de grandes gueules.

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                  • #10
                    Le sexisme est une seconde nature en Algérie, c'est pas demain qu'on aura une chef d'état de sexe féminin, mais ce n'est pas propre aux Algériens, ça existe partout mais avec des degrés différents, les pays avec une culture conservatrice sont plus touchés que les autres.

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                    • #11
                      Mais pour rectifier cette déraison, il convient aussi aux mères algériennes ( et Maghrébines") de concevoir une éducation qui mette à pied d'égalité une fille et un garçon. Telle n'est pas le cas malheureusement.

                      Qui ici même, d'Algérien, accorde une quelconque crédit à Louisa Hanoune ou à la splendide Fathia Brahimi?
                      Bonsoir Rago? Comment allez vous?

                      Je suis bien d'accord sur le fait qu'il faut que l'éducation parentale et pas seulement de la mère, remette la fille algérienne sur un pied d'égalité avec le garçon. C'est un travail colossal! Il est d'autant plus colossal que la femme algérienne dès son plus jeune âge, n'a même pas besoin d'attendre ce que ces parents lui offre comme place! Elle la prends toute seule.

                      Il faut qu'en Algérie, les femmes accèdent à des postes à responsabilités! La femme possède la sensibilité, l'approche, la manière d'appréhender les faits autrement plus juste que les hommes.
                      Je pense que le sauvetage du pays se fera par et avec les femmes.

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                      • #12
                        Encore un post qui va élever le niveau! un!
                        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                        Commentaire


                        • #13
                          Misogynes, machistes, sexistes, bref, la totale...

                          Rien de nouveau, du réchauffé...

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                          • #14
                            Envoyé par hben
                            Encore un post qui va élever le niveau! un!
                            je vais te le faire à l'envers..

                            encore un poste qui se met à niveau avec les tabous.

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                            • #15
                              Misogynes, machistes, sexistes, bref, la totale...
                              la question c Pourquoi ?

                              y a qd même qlq chose qui cloche..

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