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Sahara Occidental: Un État indépendant ou pas ?

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  • Sahara Occidental: Un État indépendant ou pas ?

    La stratégie espagnole de contrôle du Sahara a eu deux conséquences directes : la détérioration des rapports entre l'Espagne et le Maroc d'une part et entre le Maroc et l'Algérie d'autre part.
    Dans un message au général Franco, Hassan II menace de recourir à la force si Madrid s'entête à créer un « État fantoche ». La démarche du roi est soutenue par les principaux partis marocains, de l'Istiqlal (droite) au PPS (communiste), en passant par l'USFP (socialiste). Parallèlement, la presse marocaine s'en prend violemment à l'Algérie, accusée d'être favorable à l'indépendance du Sahara et d'être, par conséquent, un allié objectif du colonialisme espagnol. Le Maroc engage dès lors une offensive diplomatique internationale, et tous les partis y sont associés.

    Terra nullius ?
    En 1974, le Polisario, de son côté, adresse une pétition au comité de décolonisation et à la commission des droits de l'homme de l'Onu dans laquelle il dénonce la politique de répression de l'Espagne et sa politique d'autonomie. La même année, le Maroc annonce qu'il entend saisir la Cour internationale de La Haye afin qu'elle se prononce sur « les droits historiques du Maroc sur le Sahara espagnol ». La Mauritanie, qui réclamait aussi le rattachement du Sahara à son territoire, envoie une note à l'Onu pour rappeler ses droits. En décembre 1974, l'Assemblée générale de l'Onu demande à la Cour de rendre un avis consultatif sur deux questions, la première : le Sahara occidental était-il au moment de la colonisation une terra nullius (un territoire sans maître) ? La deuxième : en cas de réponse négative, quels étaient les liens juridiques de ce territoire avec le royaume du Maroc et l'ensemble mauritanien ? L'Assemblée générale décide également de l'envoi d'une mission au Sahara qui doit rencontrer toutes les parties et formuler des propositions au comité de décolonisation. Au terme de cette visite, elle fait part d'un certain nombre de problèmes posés, dont celui consistant à procéder à un recensement fiable de la population (problème qui perdure jusqu'à présent au demeurant et qui est un des points de friction entre le Polisario et le Maroc), puis préconise le respect du « droit de la population à l'autodétermination » sans se prononcer sur les revendications marocaines et mauritaniennes.

    « Marche verte »
    Par la suite, la Cour international de justice rend un avis dans lequel elle déclare que le Sahara n'était pas une terra nullius au moment de la colonisation espagnole, notant que « le Sahara occidental était habité par des populations qui étaient organisées socialement et politiquement ». S'agissant de la seconde question, son avis est moins tranché, bien qu'elle soutienne qu'il n'existe pas de preuves concluantes quant à l'exercice de la souveraineté marocaine sur le Sahara avant la colonisation du territoire, mais reconnaît que le sultan avait une autorité sur certaines tribus. La CIJ conclut en préconisant l'application de la résolution 1 514 sur le droit des peuples à l'autodétermination. Le Maroc et la Mauritanie aussi bien que l'Espagne interprètent alors différemment les conclusions de la justice internationale, les premiers trouvant là une confirmation de leurs revendications. C'est ainsi qu'au lendemain de la publication de l'avis, le Maroc lance la fameuse « Marche verte » qui devait faire pression sur l'Espagne pour l'amener à négocier.

    Vives tensions
    Cette initiative du roi marocain avait aussi une fonction interne : les partis politiques réclamaient une action plus « énergique » pour récupérer le Sahara et reprochaient au roi de ne pas conforter son action diplomatique par une action politique et militaire. La marche reçoit le soutien de toutes les organisations politiques, syndicales et religieuses. Mais également de la Mauritanie, de la Jordanie, de l'Arabie saoudite (qui finance une grande partie de l'opération et octroie au Maroc une aide de 300 millions de dollars), de la Tunisie, de l'Égypte, du Liban et des principaux émirats du Golfe. Mais elle suscite de très vives tensions avec l'Algérie, qui dénonce la politique de Rabat : les deux pays ferment leur frontière commune et des manifestations d'hostilité contre Alger ont lieu dans certaines villes du Maroc. Le Polisario, pour sa part, s'oppose vivement à Rabat et accuse le Maroc de « vouloir confisquer sa liberté au peuple sahraoui ». L'Espagne, de son côté, riposte en disposant des champs de mines qui barrent le passage des marcheurs qui prennent soin de contourner les positions espagnoles. Des heurts ont lieu entre les troupes marocaines chargées d'encadrer les manifestants et le Polisario, faisant 87 morts. Cependant, le Maroc atteint son objectif et l'Espagne accepte de négocier. Le 14 novembre 1975, l'accord de Madrid est signé entre les deux parties. Il stipule que le Maroc et la Mauritanie contribueront à l'administration du territoire pendant une période provisoire jusqu'à février 1976, date à laquelle l'Espagne devrait quitter définitivement le territoire, et l'armée marocaine occuper les positions évacuées par les troupes espagnoles. C'est ainsi que le 27 novembre, les troupes de la FAR (Force armée royale) occupent Smara, et le 11 décembre, la ville d'El Aioun, c'est-à-dire les deux principales villes du Sahara occidental.
    Au même moment, l'armée mauritanienne occupe les positions du Sud. En janvier 1976, les troupes marocaines entrent à Dakhla, alors que le Maroc et la Mauritanie s'étaient mis d'accord quelques mois auparavant sur le partage du territoire et avaient fixé les territoires. À l'arrivée des troupes marocaines, une partie significative des habitants prennent la route de l'exil et se regroupent dans des camps de réfugiés. Les plus jeunes rejoignent le Front Polisario. L'occupation de la seule ville de Smara provoque l'exode d'environ 40 000 habitants (chiffre donné par l'historien de sources). La Fédération internationale des droits de l'homme accuse le Maroc et la Mauritanie de « pratiquer un génocide à l'encontre du peuple sahraoui ».

    Balkanisation
    L'Algérie considère alors que ce déploiement militaire représente une menace contre le régime d'Alger et un « moyen de contenir la révolution algérienne ». Non seulement les relations entre Alger et Rabat deviennent exécrables, mais les relations algéro-sénégalaises se détériorent rapidement en raison du soutien du président Léopold Senghor au Maroc. L'Algérie décide d'expulser 30 000 Marocains qui résident sur son territoire. Le Maroc envisage de rendre la pareille avant de se raviser. Chaque partie tente de se constituer des alliés pour soutenir sa politique. Ainsi, l'Algérie se rapproche de la Libye qui, bien qu'ayant soutenu le Polisario dans sa lutte contre le colonialisme espagnol, n'était pas hostile à un rattachement au Maroc, au nom de l'unité arabe et par crainte d'une « balkanisation » de la région sur des bases ethniques.
    Sur le terrain, la situation se dégrade : hormis les conditions de vie des réfugiés sahraouis à Tindouf (qualifiés de tragiques par le Comité international de la Croix-Rouge), le Polisario engage des combats avec les forces marocaines dans la région de Dakhla. Encore une fois, l'Algérie est accusée de fournir des armes sophistiquées au Polisario. L'engagement militaire direct algérien est découvert au cours de la bataille d'Amgala pendant laquelle plusieurs soldats algériens sont capturés. La tension entre les deux pays devient insoutenable et menace de dégénérer en guerre directe. Plusieurs États arabes décident d'entreprendre une médiation : la Libye, l'Égypte, l'Arabie saoudite, le Yémen, la Syrie, l'Irak, le Soudan, et même le chef de l'OLP Yasser Arafat. En plus d'organisations régionales (OUA, Ligue arabe) et internationales (Onu).

    Position de la France
    Les anciennes puissances coloniales européennes ne pouvaient rester indifférentes à cette situation qui mettait en péril leur propre sécurité en raison de la proximité géographique des protagonistes. La France est un acteur d'abord neutre (les deux pays en conflit ayant été ses colonies). Puis Paris prend parti pour la position marocaine et se déclare hostile à la création d'un « mini-État dans le désert », mais ne s'engage directement dans le conflit qu'après l'enlèvement de deux coopérants français et la mort de cinq autres dans le sud du Sahara. Dès lors, il apporte ouvertement son soutien au Maroc, notamment dans le domaine militaire. Fin novembre 1977, la France lance l'opération « Lamantin » qui consiste à faire des missions de reconnaissance et d'intimidation dans les zones contrôlées par le Polisario. Par ailleurs, l'armée française aide les troupes marocaines dans leurs missions de ratissage.
    Le 25 février 1976, l'Espagne, dans un mémorandum envoyé au secrétaire général de l'Onu, l'informe qu'elle met définitivement fin à sa présence sur le territoire.

    Rapideinfo

    Lila kennouche

  • #2
    .
    Maroc
    coupable ( marche verte ? )

    Espagne complice ( l accord tripartite ?)

    Mauritanie esprit d extension ( suivisme ? )
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #3
      Code HTML:
      Maroc coupable ( marche verte ? )
      
      Espagne complice ( l accord tripartite ?) 
      
      Mauritanie esprit d extension ( suivisme ? )
      @ houari

      Et Alger qui affame et assoiffe le pauvre peuple Algérien frère pour RIEN

      Qu'est ce qu'elle a gagné ?????? !!!!!!

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      • #4
        @AGHBAL

        Lève le niveau , ne reste pas collé comme d habitude à la bouffe ??
        On dirait que la salive te gêne ???

        Pour ton info
        Le temps est en faveur du Polisario

        Un document dans lequel Ban Ki-moon a, en effet, précisé que 2015 sera une année décisive pour le dossier du Sahara occidental .

        En cas d’échec de son envoyé spécial dans sa mission, il a promis une révision de tout le processus de paix initié en 2007.

        Il avait insinué le ( Plan Baker II ) referendum d autodétermination à trois options

        1/ Intégration

        2/ autonomie

        3/ indépendance
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #5
          houari: pas de fuite en avant: réponds à cette question

          Et Alger qui affame et assoiffe le pauvre peuple Algérien frère pour RIEN

          Qu'est ce qu'elle a gagné ?????? !!!!!!


          Tout le monde sait que les gouvernants d'Alger ont appauvrit le peuple Algérien malgré ses richesses

          Et que le peuple Algérien souffre les martyres pour joindre les deux bouts du mois

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          • #6
            @AGHBAL

            Je ne suis pas adepte des HS pour dire n importe quoi qui se retourne contre moi ..Alors évite le ridicule

            Pour ta gouverne

            le sujet le Sahara Occidental ..Partagé avec la Mauritanie ..
            ça veut dire quoi ??

            On ne partage pas un bien très cher , Femme synonyme TERRE ..
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              @Houari

              Tu es algérien ou sahraoui ?

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              • #8
                Évite des questions idiotes ???

                @Spoutnik

                Parle nous du Sahara Occidental acquit par le Coran à la main ????

                les observateurs disent :

                Que c est le premier acte terroriste d état dans le monde arabe au NOM d Allaho Okbar
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                Commentaire


                • #9
                  le stratagème de la marche verte avec un coran à la main, était une idée génialo-machiavelique de hassan II, pour forcer la main à ses opposants, à son peuple, à l'opinion et aux instances internationales quand à l"invasion de son armée du sahara occidentale, et cacher sa connivence avec le roi d'espagne succedant à franco qui lui remis les clés du sahara occidentale.

                  D"ailleurs, pourquoi ne pas continuer à faire cette marche verte sur Ceuta et Melilla puisque çà a marché les feux de Dieu ?!
                  Par contre, n'osez jamais plus la faire sur l'ile Persil. c’est trop dangereux !! souvenez vous, du cauchemar de 2005...

                  Il faut aussi faire des marches vertes en Andalousie, en Mauritanie, sur une grande partie du mali et de toute la partie Ouest et sud l’Algérie. Pourquoi Hassan II et M6 n'ont ils pas osé le faire aussi ????

                  Ah !! très bonne question ...

                  la marche verte c’est aussi très pratique, car pas couteuse et sans perte humaine. Il faut juste avoir de la patience, de la fourberie pour ne pas dévoiler ses intentions réelles au voisin, et savoir attendre le moment de faiblesse du propriétaire des lieux, propices pour le chasser et le delester de ses biens. La bravoure et le courage dans toute sa splendeur !!!

                  Que les marocains disent merci au français sidi ali Lyautey "rahimahou Allah" d'avoir soumis le peuple marocain à la famille alaouite propriétaire du maroc, et l'a soumise à vie sous protectorat des francais.

                  Merci à la france et Israël d"avoir construit des murs de milliers de km au Sahara occidentale pour protèger leurs pillages tout azimut des richesses du saharaoui...,

                  c’est sympa, non ?! surtout pour les pilleurs et leurs familles biensur ...
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #10
                    @Houari

                    Il n'y a pas de mal à dire que tu es sahraoui et non algérien. Par contre, je te trouve assez perfide pour te faire passer pour un algérien et monter les algériens contre les marocains sur la question du Sahara pour ton seul intérêt et en leur mentant sur la réalité. Les sahraouis vivent très bien au Maroc et leur culture est valorisée et protégée alors qu'ils étaient humiliés et écrasés du temps de l'occcupation espagnole. Les villes sahraouis ont été développés par le Maroc, des hôpitaux de pointe ont été construits, des écoles...les sahraouis sont bien plus riches que du temps des espagnols et ne manquent de rien, qu'ils soient basés à Dakhla, Casa ou Tanger. Ce sont des marocains comme tous les autres.

                    Concernant ta question, je trouve aussi que la Marche Verte était un coup de maître qui a nécessité une grande préparation, une très grande organisation et une prise de risques incroyable mais finement calculée. Hassan 2 aurait pû y laisser son trône, il a pris le risque, et il s'en est sorti renforcé. Aucun coup de feu n'a été tiré. Qu'on n'aime ou pas Hassan 2, il faut lui reconnaître qu'il avait une bonne dose de courage et que c'était un fin stratège.

                    Le Maroc a pû récupérer un territoire qui lui revient de droit et il y est pour toujours. Contrairement à ce que dit une certaine propagande, le Sahara coûte bien plus au Maroc que ce qu'il rapporte. Il n'y a pas de pétrole, pas de gaz...Sinon, il est évident que les espagnols ne l'auraient pas abandonné aussi facilement. Par contre, le Sahara du côté algérien regorge de pétrole, de gaz et de terres fertiles. Et pourtant, la junte militaire au pouvoir en Algérie n'a aucune estime pour eux et se contente de piller la terre de leurs ancêtres sans rien leur reverser. N'oublie pas que le FLN (ceux qui sont toujours au pouvoir) ont négocié avec De Gaulle qu'il utilise le Sahara pour faire ses essais nucléaires. Au total, 17 essais nucléaires ont été faits dans le Sahara algérien entre 1960 et 1966 sans aucune considération pour la population locale, ni d'ailleurs pour les pays voisins...

                    Je te conseille le film la Gerboise Bleue qui montre la souffrance des pauvres Touaregs algériens avec des témoignages des derniers survivants irradiés avec de graves maladies qui n'ont eu aucune aide, ni aucune considération de la part du pouvoir algérien.

                    Concernant Sebta et Mellilia, malgré les discours officiels, la réalité est que le Maroc n'a pas intérêt à les récupérer pour l'instant. Cela permet de faire vivre des transfrontaliers et permet des échanges commerciaux plus faciles avec l'Europe. De même que la France n'a aucun intérêt à récupérer Monaco, non par peur de l'armée monégasque, mais pour une question de bon sens économique.

                    Commentaire


                    • #11
                      @Houari

                      Tu es algérien ou sahraoui ?
                      réponds a cette question stp

                      Commentaire


                      • #12
                        Les sahraouis vivent très bien au Maroc et leur culture est valorisée et protégée alors qu'ils étaient humiliés et écrasés du temps de l'occcupation espagnole. Les villes sahraouis ont été développés par le Maroc, des hôpitaux de pointe ont été construits, des écoles...les sahraouis sont bien plus riches que du temps des espagnols et ne manquent de rien, qu'ils soient basés à Dakhla, Casa ou Tanger. Ce sont des marocains comme tous les autres.
                        alors donnez leur l'occasion d'en témoigner et de le dire explicitement dans un referendum d’autodétermination libre, transparent et démocratique sous l’égide de L’ONU et des instances (neutres) internationales. pourquoi bloquer vous cette opportunité que vous dites en votre faveur ??!!

                        Commentaire


                        • #13
                          L’Envoyé spécial du président de la République reçu par le président mauritanien Ould Abdelaziz

                          Nouakchott, 28 Juil 2015. Le ministre des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Salek a été reçu mardi au palais présidentiel à Nouakchott par le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, auquel il a remis un message du président de la République, Mohamed Abdelaziz.

                          L’envoyé spécial du président de la République a déclaré à l'Agence mauritanienne d’information (AMI) à sa sortie de l’audience, "qu’il est venu porteur d’un message du président Mohamed Abdelaziz à son homologue mauritanien, Mohamed Ould Abdeaziz, se rapportant aux derniers développements de la question du Sahara Occidental, des relations bilatérales et de la situation régionale et internationale.

                          Le chef de la diplomatie sahraouie a salué les solides relations fraternelles entre les peuples sahraoui et mauritanien, souhaitant au nom du peuple sahraoui davantage de progrès et de prospérité pour le peuple frère de la Mauritanie.
                          en mauritanie, çà ??!! le makhneze doit virevolter de rage (pas frissonner)

                          Commentaire


                          • #14
                            alors donnez leur l'occasion d'en témoigner et de le dire explicitement dans un referendum d’autodétermination libre, transparent et démocratique sous l’égide de L’ONU et des instances (neutres) internationales. pourquoi bloquer vous cette opportunité que vous dites en votre faveur ??!!
                            Mais c'est le Maroc qui a proposé le premier cette option de référendum, en 1983 (proposition de Hassan 2 dans un discours à l'ONU) et il l'a défendu pendant des dizaines d'années. Malheureusement, les conditions du Polisario, se croyant en position de force, étaient grotesques. Il réclamait notamment le départ des FAR du Sahara préalablement au référendum...ce que Hassan 2 a évidemment refusé...

                            Puis, les choses ont bougé. Mais il reste le problème de l'identification des votants. Le Polisario ne veut pas inclure les sahraouis qui se sont installés définitivement au Maroc, hors Sahara, ce qui serait préjudiciable pour eux. Il n'y a aavait pas de fiches d'Etat civil, de livret de famille,d donc ce serait magouilles et corruption à coups de pétro-dollars... Aprés avoir investi des sommes colossales pour le développement du Sahara marocain, l'intégration des sahraouis, la construction du mur, couteux mais très efficace, le Maroc est en position de force. La solution de l'autonomie est la seule qui tienne la route. La très grande majorité de la communauté internationale supporte la proposition marocaine. Il n'y a donc aucune raison stratégique pour le Maroc d'accepter la demande des généraux algériens.

                            Leftissi :

                            J'ai aussi une question pour toi. Puisque tu es sensible à l'auto-détermination des sahraouis, pourquoi ne milites-tu pas auprès de ton gouvernement pour donner l'exemple en donnant l'indépendance au Sahara algérien ? Les Sahraouis algériens n'auraient-ils donc pas le droit d'être indépendants alors que c'est leur terre qui vous a engraissé pendant des dizaines d'années ? Et vous les avez remercié comment ? En autorisant les anciens colons à y faire péter des bombes nucléaires et les irradier, puis en les laissant crever ?

                            Essaie d'être un minimum objectif et logique.

                            Commentaire


                            • #15
                              Leftissi :J'ai aussi une question pour toi.
                              toi aussi tu viens de rejoindre la troupe chorégraphique ??!! tu s'rais pas darouiche, qimloth ou un autre expulsé rentré sous un autre maillot ??!! c'est comme dans un match de hand-ball l'un qui sort, un autre qui rentre.

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