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Le Maroc empêche la première activité d'une association sahraouie qu'il prétend avoir reconnue
Les autorités d'occupation marocaines ont empêché la célébration à El Aaiun, capitale occupée du Sahara occidental, de la première activité organisée par une association sahraouie que le Maroc dit avoir récemment reconnue, a rapporté hier l'agence EFE de Rabat .
Selon des déclarations reprises par l'agence espagnole de Mme El Ghalia Djimi, vice-présidente de l'Association Sahraouie des Victimes de Violations des Droits de l'Homme (ASVDH) récemment légalisée, la première activité réalisée depuis qu'ils ont été légalisés le 22 Juin dernier n'a pas eu lieu parce que les marocains n'ont pas autorisé l'entrée dans la ville à trois femmes venues du Pays Basque dans le but donner un cours.
Vendredi, Gloria Guzman et Irantzu Mendia, du Réseau basque de soutien aux femmes sahraouies, et Idoia Eizmendi, du Réseau de l'égalité de la ville de Getxo (Biscaye), sont arrivées par avion à El Aaiun provenant de Las Palmas, mais elles n'ont pas pu entrer étant considérées par les autorités marocaines, selon Mme Djimi, "personnes non grata", a ajouté la même source.
SPS
Selon des déclarations reprises par l'agence espagnole de Mme El Ghalia Djimi, vice-présidente de l'Association Sahraouie des Victimes de Violations des Droits de l'Homme (ASVDH) récemment légalisée, la première activité réalisée depuis qu'ils ont été légalisés le 22 Juin dernier n'a pas eu lieu parce que les marocains n'ont pas autorisé l'entrée dans la ville à trois femmes venues du Pays Basque dans le but donner un cours.
Vendredi, Gloria Guzman et Irantzu Mendia, du Réseau basque de soutien aux femmes sahraouies, et Idoia Eizmendi, du Réseau de l'égalité de la ville de Getxo (Biscaye), sont arrivées par avion à El Aaiun provenant de Las Palmas, mais elles n'ont pas pu entrer étant considérées par les autorités marocaines, selon Mme Djimi, "personnes non grata", a ajouté la même source.
SPS