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D’après des sources bien informées dans les camps de Tindouf, la réaction enflammée du Polisario après le dernier discours du roi du Maroc, doit être comprise comme le reflet de l’extrême irritation des responsables algériens plus que celle du front indépendantiste lui-même.
Selon la même source, les responsables politiques aussi bien que les hauts gradés algériens ont été pris de court par la fermeté de ton sans précédent utilisée par le roi Mohammed VI. Alger a dû prendre le temps d’analyser les propos, mot par mot, et de saisir le contenu du message du souverain marocain qui a pointé la responsabilité directe de l’Algérie dans la poursuite du conflit régional sur le Sahara occidental.
Entretemps, le chef du Polisario bien que passablement secoué, était dans l’expectative, attendant les ordres d’Alger. Mais l’attente de Mohamed Abdelaziz n’a pas tardé trop longtemps. L’officier du DRS qui lui transmet habituellement les instructions à suivre est arrivé au QG du Polisario la nuit même du discours, précise la même source.
Les réactions se sont par la suite enchaînées à Alger et au camp de Rabbouni. Mais pas besoin d’être grand clerc pour comprendre rétrospectivement que les responsables algériens avaient décidé de procéder à un partage des rôles avec le Polisario. A celui-ci la charge de brandir encore une fois la menace de la reprise des armes.
Autre mission, maintenir le pressing médiatique sur le thème des droits de l’homme, quitte à créer de toutes pièces des cas de torture et de violations. Dans ce registre, l’élargissement du mandat de la Minurso est revenu comme une antienne dans le langage des médias financés par Alger et se réclamant du Polisario.
Quant aux médias algériens, ajoute notre source, ils ont aussitôt pris le relais. Mais faute d’inspiration, ils ont resservi la vieille chanson totalement décrédibilisée de l’Algérie qui n’a rien à voir avec le conflit du Sahara occidental, qui se contente de soutenir le droit des peuples à l’autodétermination, etc
Khalid Ibrahim Khaled
Selon la même source, les responsables politiques aussi bien que les hauts gradés algériens ont été pris de court par la fermeté de ton sans précédent utilisée par le roi Mohammed VI. Alger a dû prendre le temps d’analyser les propos, mot par mot, et de saisir le contenu du message du souverain marocain qui a pointé la responsabilité directe de l’Algérie dans la poursuite du conflit régional sur le Sahara occidental.
Entretemps, le chef du Polisario bien que passablement secoué, était dans l’expectative, attendant les ordres d’Alger. Mais l’attente de Mohamed Abdelaziz n’a pas tardé trop longtemps. L’officier du DRS qui lui transmet habituellement les instructions à suivre est arrivé au QG du Polisario la nuit même du discours, précise la même source.
Les réactions se sont par la suite enchaînées à Alger et au camp de Rabbouni. Mais pas besoin d’être grand clerc pour comprendre rétrospectivement que les responsables algériens avaient décidé de procéder à un partage des rôles avec le Polisario. A celui-ci la charge de brandir encore une fois la menace de la reprise des armes.
Autre mission, maintenir le pressing médiatique sur le thème des droits de l’homme, quitte à créer de toutes pièces des cas de torture et de violations. Dans ce registre, l’élargissement du mandat de la Minurso est revenu comme une antienne dans le langage des médias financés par Alger et se réclamant du Polisario.
Quant aux médias algériens, ajoute notre source, ils ont aussitôt pris le relais. Mais faute d’inspiration, ils ont resservi la vieille chanson totalement décrédibilisée de l’Algérie qui n’a rien à voir avec le conflit du Sahara occidental, qui se contente de soutenir le droit des peuples à l’autodétermination, etc
Khalid Ibrahim Khaled
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) 
Sans commentaire...soyons sérieux...
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