Maghreb et Machrek
Mais, contrairement à l’Afrique du Nord qui est toujours appelé « Maghreb », le Moyen-Orient n’est pas couramment nommé « Mashrik » (Machrek) dans la langue française.
Encore une fumisterie qui n’apporte rien de bon. Je n'utilise jamais ce vocable, ni ici, ni ailleurs. Ce qui fait dire à nos amis subsahariens que l’AFN cherche à se détacher de la « mère » Afrique. C’est du racisme qui ne dit pas son nom.
Considérer donc les « Maghrébins » comme étant des Arabes est inéluctablement une forme d’atteinte à leur identité nord-africaine et à leur origine berbère, même si leur bien-aimée arabité fait partie de leur culture musulmane héritée, tout comme la culture française.
J’ai sillonné l’Algérie, du nord au sud et j’ai rencontré une multitude d’ethnies : du blanc européen au noir d’ébène dans la région d’Adrar et de Tam. Tous les algériens se sentent solidaires et leurs valeurs ne leur permettent pas d’être xénophobes ou racialistes . Jusqu'à preuve du contraire, il n'y a qu'une seule race: la race humaine.
« De plus, on a tendance à séparer le « Maghreb » du reste de l’Afrique, ce qui est absolument impertinent et équivoque ». Lorsqu’on parle de l’Afrique on pense aux populations « noires » subsahariennes, en oubliant que les peuples des régions du sud de la Libye, de l’Algérie, de la Tunisie, du Maroc et de la Mauritanie sont plutôt noirs que blancs.
En effet, dans certains pays de cette région il serait tant de mettre un peu d’ordre et protéger les gens de couleur noire.
Sans l'acceptation de la citoyenneté et quelle que soit l'ethnie ou les croyances, il n'y a point de démocratie, ni de justice.
Du matin au soir, on nous serine qu'Israël est une démocratie!! Drôle de démocratie! Comme si on vous annonçait qu'une monarchie, sans séparation de pouvoirs, est une démocratie!
« Le – Maghreb- n’est rien d’autre que l’Afrique du Nord, dont le sud de l’Algérie, du Maroc et de la Libye n’est que l’extension (géographique et ethnique) du nord du Mali, du Tchad et du Niger. On peut facilement le repérer à travers la proximité ethnique et culturelle des populations qui vivent dans ces pays ».
L’Algérie, et je ne le dirai jamais assez, est le prolongement de l’Afrique et inversement. L'Africanisme est une constante, dont l'Algérie est partie prenante et ne doit en aucun cas faiblir.
Autre point important (je partage l'idée de Rouibah): la confusion entre l’Arabe et le musulman est patente. Vous pouvez vous en rendre compte avec vos camarades européens.
Nombre de personnes, en l’occurrence occidentales, ne distinguent guère l’Arabe et le musulman. À titre d’exemple, les 38 DRC (Dictionnaires et recueils des correspondances) nous informent que : « L’Arabe est une personne originaire d’un pays ou d’une communauté musulmane. » Cette logique nous pousse à comprendre que les populations musulmanes des pays non arabes tels que l’Iran, la Turquie, le Pakistan, l’Afghanistan, l’Ouzbékistan, l’Indonésie, la Malaisie, le Mali, le Sénégal, les Îles Comores, etc., sont bien des « Arabes » !
Combien de fois on me demandait si je comprenais ce que disent les iraniens, afghans ou arabes d'Arabie!!!
Alors, pourquoi cet amalgame ? A qui profite ce Luganisme ?
Diviser pour mieux régner : arabes- amazighs, noirs- blancs, chiites-sunnites….Iadites, soufistes...
Malencontreusement, le terrain nous confirme réellement l’existence de cette assimilation ethnique Arabes-musulmans dans la perception des sociétés occidentales, à l’image de l’expression combinée du « monde arabo-musulman » qui met l’Arabe et le musulman systématiquement dans le même contexte identitaire et culturel. ((Rouibah)
Une construction préméditée et voulue et qui conduit au « racisme », à l’exclusion de l’autre et montrer le musulman comme étant intolérant et discriminatoire. Le malheur dans ce capharnaüm actuel, entraine beaucoup de monde (e part leur comportement, à confirmer les dires et les diatribes des manipulateurs à travers les médias.
Mais, contrairement à l’Afrique du Nord qui est toujours appelé « Maghreb », le Moyen-Orient n’est pas couramment nommé « Mashrik » (Machrek) dans la langue française.
Encore une fumisterie qui n’apporte rien de bon. Je n'utilise jamais ce vocable, ni ici, ni ailleurs. Ce qui fait dire à nos amis subsahariens que l’AFN cherche à se détacher de la « mère » Afrique. C’est du racisme qui ne dit pas son nom.
Considérer donc les « Maghrébins » comme étant des Arabes est inéluctablement une forme d’atteinte à leur identité nord-africaine et à leur origine berbère, même si leur bien-aimée arabité fait partie de leur culture musulmane héritée, tout comme la culture française.
J’ai sillonné l’Algérie, du nord au sud et j’ai rencontré une multitude d’ethnies : du blanc européen au noir d’ébène dans la région d’Adrar et de Tam. Tous les algériens se sentent solidaires et leurs valeurs ne leur permettent pas d’être xénophobes ou racialistes . Jusqu'à preuve du contraire, il n'y a qu'une seule race: la race humaine.
« De plus, on a tendance à séparer le « Maghreb » du reste de l’Afrique, ce qui est absolument impertinent et équivoque ». Lorsqu’on parle de l’Afrique on pense aux populations « noires » subsahariennes, en oubliant que les peuples des régions du sud de la Libye, de l’Algérie, de la Tunisie, du Maroc et de la Mauritanie sont plutôt noirs que blancs.
En effet, dans certains pays de cette région il serait tant de mettre un peu d’ordre et protéger les gens de couleur noire.
Sans l'acceptation de la citoyenneté et quelle que soit l'ethnie ou les croyances, il n'y a point de démocratie, ni de justice.
Du matin au soir, on nous serine qu'Israël est une démocratie!! Drôle de démocratie! Comme si on vous annonçait qu'une monarchie, sans séparation de pouvoirs, est une démocratie!
« Le – Maghreb- n’est rien d’autre que l’Afrique du Nord, dont le sud de l’Algérie, du Maroc et de la Libye n’est que l’extension (géographique et ethnique) du nord du Mali, du Tchad et du Niger. On peut facilement le repérer à travers la proximité ethnique et culturelle des populations qui vivent dans ces pays ».
L’Algérie, et je ne le dirai jamais assez, est le prolongement de l’Afrique et inversement. L'Africanisme est une constante, dont l'Algérie est partie prenante et ne doit en aucun cas faiblir.
Autre point important (je partage l'idée de Rouibah): la confusion entre l’Arabe et le musulman est patente. Vous pouvez vous en rendre compte avec vos camarades européens.
Nombre de personnes, en l’occurrence occidentales, ne distinguent guère l’Arabe et le musulman. À titre d’exemple, les 38 DRC (Dictionnaires et recueils des correspondances) nous informent que : « L’Arabe est une personne originaire d’un pays ou d’une communauté musulmane. » Cette logique nous pousse à comprendre que les populations musulmanes des pays non arabes tels que l’Iran, la Turquie, le Pakistan, l’Afghanistan, l’Ouzbékistan, l’Indonésie, la Malaisie, le Mali, le Sénégal, les Îles Comores, etc., sont bien des « Arabes » !
Combien de fois on me demandait si je comprenais ce que disent les iraniens, afghans ou arabes d'Arabie!!!
Alors, pourquoi cet amalgame ? A qui profite ce Luganisme ?
Diviser pour mieux régner : arabes- amazighs, noirs- blancs, chiites-sunnites….Iadites, soufistes...
Malencontreusement, le terrain nous confirme réellement l’existence de cette assimilation ethnique Arabes-musulmans dans la perception des sociétés occidentales, à l’image de l’expression combinée du « monde arabo-musulman » qui met l’Arabe et le musulman systématiquement dans le même contexte identitaire et culturel. ((Rouibah)
Une construction préméditée et voulue et qui conduit au « racisme », à l’exclusion de l’autre et montrer le musulman comme étant intolérant et discriminatoire. Le malheur dans ce capharnaüm actuel, entraine beaucoup de monde (e part leur comportement, à confirmer les dires et les diatribes des manipulateurs à travers les médias.
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