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Et si une pénurie de baguettes frappait la France pendant le mois d'août ? C'est ce que craignent certains médias britanniques, indique le Monde, lundi 10 août. Les journalistes outre-Manche accusent la loi de simplification de la vie en entreprise adoptée par le gouvernement. En effet, celle-ci ne contraint plus les boulangers de déclarer leurs congés à la préfecture, comme c'était le cas jusque-là.
Une mesure centenaire qui assurait le ravitaillement de la population
"La France craint une crise de la baguette depuis que les boulangers sont autorisés à prendre des vacances", titre le Telegraph. Depuis 1790, une mesure obligeait les artisans du pain de déclarer leurs congés, indique Ouest-France. Le but : organiser un roulement pour assurer correctement le ravitaillement de la population, chaque jour de la semaine.
Depuis la loi de simplification, les Britanniques en vacances à Paris craignent le pire. Certains affirment avoir déjà souffert de la pénurie de pain frais. "Je suis sortie chercher une baguette il y a quelques jours, et les deux boulangeries les plus proches étaient fermées en même temps pour la première fois", explique une femme citée par le Telegraph. "Nous avons dû acheter ces étranges minibaguettes à moitié cuites dans mon supermarché et les mettre au four", continue un artiste parisien dans les pages du journal.
France tv Info
Une mesure centenaire qui assurait le ravitaillement de la population
"La France craint une crise de la baguette depuis que les boulangers sont autorisés à prendre des vacances", titre le Telegraph. Depuis 1790, une mesure obligeait les artisans du pain de déclarer leurs congés, indique Ouest-France. Le but : organiser un roulement pour assurer correctement le ravitaillement de la population, chaque jour de la semaine.
Depuis la loi de simplification, les Britanniques en vacances à Paris craignent le pire. Certains affirment avoir déjà souffert de la pénurie de pain frais. "Je suis sortie chercher une baguette il y a quelques jours, et les deux boulangeries les plus proches étaient fermées en même temps pour la première fois", explique une femme citée par le Telegraph. "Nous avons dû acheter ces étranges minibaguettes à moitié cuites dans mon supermarché et les mettre au four", continue un artiste parisien dans les pages du journal.
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