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Terrorisme et DRS : un député islamiste interpelle Gaïd Salah

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  • Terrorisme et DRS : un député islamiste interpelle Gaïd Salah

    Terrorisme et DRS : un député islamiste interpelle Gaïd Salah

    El Watan le 11.08.15 | 19h49 Réagissez


    Une première dans les annales du Parlement algérien. Le député Hassan Aribi a adressé une question écrite au vice-ministre de la Défense, Ahmed Gaid Salah, dans laquelle il lui demande de donner des explications sur le dernier attentat terroriste perpétré à Ain Defla. Pour le député du FJD, les changements opérés dans le corps du DRS ont eu un impact négatif sur le rendement des troupes.


    Hassan Aribi, député du Front pour la justice et le développement (FJD), a dressé aujourd’hui mardi une question écrite au général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense et chef d'Etat-major de l’armée, lui demandant des explications au sujet de l’attentat terroriste qui a fait 9 morts et 2 blessés parmi les éléments de l’ANP, le 18 juillet dernier à Ain Defla. Le député, membre de la commission de Défense au sein de l’APN, s’est référé dans sa question à l’article 134 de la Constitution qui donne aux élus du Parlement le droit de questionner les membres du gouvernement.

    « Depuis le début du troisième millénaire, on entend parler du terrorisme résiduel. Mais l’attentat terroriste qui a coûté la vie à des soldats à Ain Defla, le jour de l’aïd, nous pousse à poser la question : monsieur le vice-ministre de la Défense, est-ce que nous affrontons un terrorisme résiduel ou bien nous faisons face à un terrorisme transfrontalier qui exécute ses opérations là ou il veut et quand il veut…. », a écrit Aribi. Et d’ajouter : « Nous avons le droit, en tant que Algériens, de connaître la situation et la réalité des menaces …».

    Hassan Aribi a laissé entendre que les 9 soldats tués à Ain Defla ont été abandonnés : « le lieu de l’attentat se trouve près de plusieurs postes militaires qui n’ont pas intervenu pour porter secours à leurs frères d’armes, ou du moins capturer les criminels… ».

    Il a également exprimé ses « craintes » quant au changements opérés récemment dans les rangs supérieurs du DRS ( Département du renseignement et de la sécurité). Des changements qui « risquent d’empêcher la couverture des points chauds par les services de renseignements ». Il a demandé à ce propos : « Ou est le renseignement qui couvrent les pas de nos vaillants soldats ? Et comment ils sont tombés dans le piège ? ».

    Il a rappelé que « l’Etat consacre des enveloppes considérables au secteur de la Défense pour moderniser l’armée. Nous ne voulons pas que des sommes aussi importantes soient dépensées et qu’en fin de compte, nos soldats tombent dans des embuscades tendues par des terroristes qui utilisent des armes primitives ».

    « Je vous demande, respectable vice-ministre, de vous adresser au peuple algérien pour lui expliquer les circonstances qui ont coûté la vie à nos enfants. Nous expliquer ce qui a été fait pour sécuriser nos soldats dans les différents postes militaires… », a conclu Hassan Aribi.


    Farouk Djouadi
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    L’AVOCAT DU GENERAL TOUFIK
    15 février 2014 13:24
    Écrit par ML ZOUAIMIA

    Aribi Hassan… le nom et le visage atterrissent subitement à Washington en février 2003. L’homme se présentant en tant que juriste et officier supérieur du DRS – c’est à ce titre que l’ambassadrice des USA lui avait accordé le visa à Alger – demandait à voir le ministre américain de la justice afin que ce dernier lui permette de rapatrier les détenus d’origine de Guantanamo …. Demande irrecevable à ce moment. Impliqué dans le terrorisme, comme on le verra plus loin, il parlait au nom du DRS (direction du renseignement et de la sécurité) : le premier bouclier sécuritaire du ministère de la défense et du pays. Que reste-t-il dans cette Algérie où des institutions qui doivent être préservées de toute improvisation sont transformées en un jock et mises à la disposition de quelqu’un comme Aribi Hassan. Si Brahimi, Si Ali Yahia Abdenour ou Si Ait Larbi ou, même, Si Mechri, le versatile, ne sont-t-ils pas des Algériens pour s’occuper honorablement d’une mission dans un cadre juridique ? Les choses s’envenimèrent et c’est l’affront lorsqu’ une journaliste de Harper’s Magazine du renseignement et de la loi (Intelligence and Law) balançait " la mahzala" en disant " un officiel algérien de la sécurité se rend à Guantanamo". On était furieux mais que faire ? Un malheur ne venant jamais seul, une petite "chaouchara" créée par un sénateur-Rogers* rendit le séjour invivable.
    Quelques semaines plus tard, le voila dans la capitale égyptienne faisant un compte-rendu assaisonné à ses amis du Caire de ses pérégrinations américaines. Il anime une "nadoua" où il commence à parler devant les frères musulmans de courant qui ne passe pas entre le général Mohamed Lamari et Mediene-Toufik et que lui est "proche" du DRS, ce qui en fait un élément incontournable dans la paix que commence à recouvrir l’Algérie …
    Eh oui ! Qui parle en Egypte du différend Lamari-Toufik ! Attendez la suite. Il troque immédiatement le DRS pour devenir prédicateur et lança : «vous savez Ikhouani (mes frères), tous les gardiens de Guantanamo sont devenus musulmans » !!! Pavlov a fait des émules. Des énergumènes tout justes sortis des rumeurs du Delta du Nil vociférèrent « Allaha Akbar ». D’autres, plus lucides, pointèrent la cible et hurlèrent : « Regardez voila un modèle physique de menteur» !
    Lors des élections législatives de 1997 Hassane Aribi qui est originaire de la région de Taoura–Merahna ( 24 km au sud-est de Souk Ahras ), comme le fameux Hraoubia et Mohamed Said, l’ex ministre de la communication, se présenta sous la bannière de Abdallah Djaballah pour la wilaya de Souk Ahras . Tous les anciens du FIS étaient interdits de candidature mais Si Hassouna disposait déjà d’un quitus. Et comme il était champion dans l’usurpation, il n’était pas étonnant de voir collée au dessous de la photo du candidat la mention: avocat. Puis lors des législatives de 2002, Hassen Aribi changea de profession, et se présenta, cette fois-ci, en mouhalil iqtissadi (analyste en économie). Hassene Aribi analyste ! Voila un dilemme de plus. A t-il acheté une « ijaza »à l’université Annajah du Caire pour 250 dollars?
    En réalité Aribi est un analphabète. Le malentendu entre lui et l’école commence lorsqu’il arrive à la troisième année primaire … Et c’est déjà beaucoup pour notre bonhomme ! Puis après un vagabondage lié au fait qu’il n’était pas Ould Taoura là ou le tribalisme est ancré (probablement originaire du sud de la Tunisie ), sa carrière vire vers le zoo. Il débute avec un riche commerçant kabyle, un certain Boukhalfa, proche parent de Mohamed Said, le parachuté de Toufik à la communication, et qui possédait un élevage dans la zone de Hamam Tassa, à 11 km de Souk Ahras sur la route de Sakiet Sidi Youcef. L’homme, généreux se laisse guider par son bon cœur. Il a cru nécessaire d’aider si Hassouna, un malheureux en quête de travail, en le recrutant dans ses écuries. Aribi s’occupa du nettoyage et de la nourriture des vaches. Après une longue période d’apprentissage, il devint maquignon, puis le voilà chauffeur clandestin d’une Peugeot 404 sollicitant les passagers non loin de l’hôpital régional et faisant la navette entre Souk Ahras et Taoura. Son expérience en tant que transporteur clandestin qui ramassait l’argent pour le FIS lui a ouvert la voie vers une grande promotion .Insane mouch qari lakin qafez ou entaa thika (homme analphabète mais débrouillard et de confiance).
    Avec la victoire du FIS aux communales en 1990 puis aux premières législatives de 91, Aribi trouva la réponse à toutes ses frustrations d’antan. Il gravit les échelons et se voit propulsé à l’avant-scène du bureau de Wilaya où il finira par s’occuper de la trésorerie. Lors de la campagne d’internement administratif de 92, Aribi n’en échappa pas. Dans les camps, il a eu à faire au numéro 2 du FIS de Souk-Ahras, un certain Omar Bouchouk. Un jour, Monsieur Bouchouk excédé par les réponses ambiguës de Hssissan, décida alors de lui donner une sévère correction en lui fracassant les vertèbres. Bouchouk avait promis à Aribi un châtiment capital (la mort). La cause résidait dans la disparition de gros montants de la trésorerie (Beit el mal), juste avant l’internement administratif de 1992. Hassouna le clandestin aurait caché le magot du coté d’Al Battoum, sortie sud de Taoura.
    Durant son internement, c’est une véritable hystérie qui s’empare des populations. Dans les parages d’Al Battoum, plusieurs personnes, excitées par ces biens enfouis, faisaient des sorties champêtres en tentant de dénicher des indices de la zone où se trouve le trésor. D’après un membre de l’ex-Fis, ces montants représentaient l’équivalent de 113 milliards en 1995. Il y avait même de l’argent de la zone nord de la wilaya de Tebessa. Malheureusement, le jour attendu par Bouchouk ne viendra jamais. Une fois sorti du camp, ce même Bouchouk fut poussé par les circonstances à rejoindre les terroristes du GIA du coté de Zaarouria. Selon certains dires ce ralliement seraient dû aux harcèlements et aux perquisitions abusives et aux grossièretés proférées devant sa femme et sa famille. Il fut abattu par la gendarmerie dans les monts de Zaarouria et le jour de sa mort, il fut mis dans une camionnette puis transporté vers la morgue de l’hôpital où les gens furent invités à venir lui cracher sur le visage. Tous les voleurs de Souk Ahras firent le déplacement. Un acte dégoûtant commis contre un cadavre, encouragé par les corrompus et les voleurs de l’Edipal et de L’Enapal et, plus précisément, un gradé du secteur militaire, un officier de la gendarmerie et un autre escroc du renseignement devenus plus tard amis de Hassane Aribi. Ces trois sinistres responsables ont causé beaucoup de tort à des citoyens sous prétexte de la lutte anti-terroriste En réalité Bouchouk était un élément à la mentalité médiévale et, surtout, avec des convictions théocratiques obscurantistes. Mais il était un enseignant correct dans ses rapports avec son entourage avant de devenir terroriste…
    Pour un journaliste honnête il est toujours risqué et difficile de pervertir les réalités, car les contrecoups des mensonges sont souvent fatals, surtout auprès d’un lectorat témoin des évènements qui s’est déjà forgé son propre jugement.
    Hassane Aribi, soulagé par la mort de son chef reste inquiet car il est informé que le responsable principal du FIS de Souk- Ahras a crée un groupe de l’AIS au nord de la wilaya dans les montagnes d’Al Machrouha. Pour montrer sa loyauté, Hssissan fait sortir une petite partie du trésor pour assurer le financement temporaire de l"AIS. Comme il le redoutait, il est vite trahi lors de la capture d’un élément, répondant au nom de Boucif, lequel donna un témoignage accablant sur les activités du trésorier du FIS. Boucif avoua que Hacene Aribi contribuait dans les actes terroristes en s’occupant de la logistique du groupe dirigé par Ali Merad. Juste après cette confession, une série de poursuites fut alors déclenchée par le tribunal de Guelma à l’encontre du maquignon de Taoura, mais Aribi demanda la protection du DRS offrit sa collaboration et commença même ses contacts avec Mazrag de Jijel. Hassouna profita du lien d’amitié qui liait Ali Merad qu’il finançait à ce dernier.

    ./..
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      Les poursuites sont automatiquement suspendues sur un ordre venu « d’en haut ». Et le voila surgir du coté de Serkaji pour aller faire une offre à Abdelakader Hachani alors en prison. Hachani est originaire de Tamlouka (Guelma), pas loin de Ksar Sbihi ( Oum El Bouaghi ), d’où vient aussi Ghazi Hidoussi. Hachani, furieux devant l’indécence de Hassouna, l’insulte et le traite de "Amil", c’est à dire traitre, et le congédie. En retournant dans sa région, Aribi profita de l’occasion pour se lancer dans les matériaux de construction où il a réussi à faire main basse sur le point 12 avec un certain Garboussi, le gangster de Tebessa ayant torturé le correspondant du journal El Watan, ancien enseignant à Ouenza, qui s’appelait Belirdouh ( décédé depuis ). Le point 12 que connaît aussi le défunt journaliste d’El Watan, est un centre de commande de ciment importé de Tunisie. Il est localisé entre Ouenza et Al Aouinet (Wilaya de Tebessa). Les détaillants en matériaux de construction transitent par ce poste pour pouvoir décrocher des bons d’importation. C’est un haut lieu du trafic, de la spéculation et de la corruption dans la région Souk Ahras -Tebessa. Hassane Aribi tissait des liens très intimes avec Saad Garboussi, personnage légendaire de Tebessa et responsable de la Chambre de Commerce. C’est pour cela que la Chambre de Tebessa est fusionnée avec Souk Ahras avec siège à Tebessa. Qui veut mesurer la sauvagerie humaine doit aller faire un tour dans ces régions. Aucune autorité ne peut tenir tête à cette faune. Il faudrait des détachements de blindes et d’artillerie pour en venir à bout. Et encore !
      Autre élément important, Hassane Aribi s’est illustré par des absences hors du territoire national, notamment lors des voyages douteux vers le Golf, ce qui explique en partie, la prise en charge du dossier des détenus de Guantanamo par un avocat qatari. Dans ce contexte, Il faut aussi se rappeler de la vague de transfert des fonds par ceux qui ont hérité des biens du FIS vers des banques du Golf et particulièrement vers le Qatar car Hassane Aribi, l’analyste en économie était un grand dépositaire des fonds du FIS qui s’est muté en intermédiaire lors des négociations de la trêve avec l’AIS. Selon toute vraisemblance, c’est l’argent amassé par le parti dissous qui l’aurait porté vers les hauts standards. Il s’est permis de nouer des liens avec la chaîne Al Jazira où il s’amusait à fabriquer des interventions type thalil à l’oriental, pour impressionner le malheureux monde sur lequel il régnait.
      Le 11 Février 2001, Ali Merad tombe à Souk Ahras sous les balles de la kalachnikov d’un Moudjahid. Les versions de cet incident sont diverses, mais rien ne permet d’épouser les dires du GLD de Mechroha simplement parce qu‘il a crié “Tahya Al Jazair “. On ne s’immisce pas dans les compétences juridiques des avocats connus pour leur probité ni dans les droits de ce moudjahid de s’être défendu devant la justice. Mais seule une vérification minutieuse pourrait déboucher sur la vérité. Les raisons de cette élimination peuvent être autres, car il ne suffit pas aussi de se contenter du fait qu’Ali Merad dirigea à un moment donné un groupe de l’AIS au Nord de Souk Ahras pour tomber dans la thèse d’un affrontement patriote-terroriste.
      A Mechroha (Souk Ahras) , il y a des tensions tribales qui ont pris naissance lors de la révolution. En tout cas, et ceci est important dans ce contexte, c’est que le deuxième témoin, Ali Merad, c’est à dire le rival principal de Hassan Aribi qui connait des antécédents est parti. Et, ce qu’il est encore primordial de comprendre, c’est que Souk Ahars a assisté en masse à l’enterrement de Ali Merad. C’est à cette équation qu’il faut trouver une explication vérifiable.
      Hassan Aribi joua, lors de l’enterrement, le personnage central face à ces anciens du FIS qui le regardaient avec haine. Hassouna avait déjà opté pour le parti de Djaballah dès 1999, pour une couverture islamiste, lui qui démarra de la 3 ème année primaire vers la fortune pour devenir un professionnel des plateaux de télévision pour dire…n’importe quoi.
      Pauvre Algerie. On comprend pourquoi elle enregistre les plus mauvais résultats de l’instruction scolaire dans le monde.Qui dit mieux ?
      ML. ZOUAIMIA
      *Rodgers : contributeurs du parti républicain américain dont les dons sont équivalents ou supérieurs à 120 000 dollars par an.
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Si benzeghou
        , il fallait pondre cet article avant pas des qu'il a interpellé double carburateur, un article babouche comme tant d'autre: presse a deux sou

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        • #5
          Rien compris si Danube, mais pas grave...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Attentat de Aïn Defla : « Il faut que Gaïd Salah nous donne des réponses »
            TSA - 20:34**mercredi 12 août 2015*|*Par Nadia Mellal*

            Hacène Aribi est député du mouvement islamiste Ennahda. Cette semaine, il a adressé une question écrite au général Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, dans laquelle il lui demande de fournir des explications sur l’attentat de Aïn Defla. Dans cet entretien à TSA, M. Aribi explique sa démarche.

            Pourquoi avez-vous interpellé le général Gaid Salah sur le dernier attentat terroriste perpétré à Aïn Defla*?

            J’ai décidé d’envoyer cette question parce que je suis grandement affecté par l’attentat qui s’est produit à Aïn Defla contre nos vaillants soldats le jour de l’Aïd. Je me suis dit pourquoi il n’y a pas suffisamment de vigilance pour déjouer les attentats alors que l’État algérien dépense des sommes colossales pour l’institution militaire.

            Existe-t-il une inadéquation entre le budget alloué à l’armée et la lutte contre le terrorisme*?

            *Non, ce n’est pas ça. Je demande ce que demande le peuple algérien*: des explications sur les raisons qui font que des soldats tombent dans des embuscades terroristes. Il faut que Gaïd Salah nous donne des réponses. Pourquoi ils ont tué les soldats à Aïn Defla*? Pourquoi il n’y avait pas suffisamment de vigilance, d’attention pour empêcher le carnage*? Pourquoi le commandement de ces soldats ne leur a pas demandé de s’entourer de vigilance en toute circonstance et chaque minute, chaque heure et chaque jour*?

            Quelle lecture faites-vous des conditions dans lesquelles l’attentat de Aïn Defla s’est produit*?

            Pour moi ce qui a manqué et a été à l’origine de l’attentat, c’est la vigilance.

            À*qui incombe la faillite dans le manque de vigilance*?

            J’ai demandé à Gaïd Salah qu’il nous donne des explications sur les raisons qui font que malgré le budget alloué à l’armée et en dépit de l’arsenal militaire dont disposent nos djounouds, ils se font tuer de cette manière par des terroristes. Je ne comprends pas non plus pourquoi il n’y a pas eu un contact avec des unités avoisinantes de l’armée pour encercler les terroristes. Ce sont des questions que je pose.
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              les changements opérés dans le corps du DRS ont eu un impact négatif sur le rendement des troupes.
              En France cela a fait beaucoup sourire. Apprendre que le responsable était un ancien de la Mosquée de Paris, cela a surpris. La communauté harki étant en nombre supérieur à toute les manifestations et réceptions de la Mosquée.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #8
                @Zwina
                En France cela a fait beaucoup sourire
                tu a ton laissé passé pour circuler dans ses hauts lieux tu dois etre quelqu'un de tres protégé avec une maârifa en beton

                Commentaire


                • #9
                  Othmane BENZAGHOU : est toujours là ou il y a des affaires scabreuses ; son role et d'aténué leur puanteur , à défaut d' éxplications "accéptables" , surtout dans les cas aux relents sordides ...
                  Dernière modification par kimi16, 13 août 2015, 21h34.

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                  • #10
                    Kim Jong Un lui par contre est toujours là pour s'exciter de drôles de manières...
                    Othmane BENZAGHOU

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