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En raison de factures impayées, l'agence locale de Sonelgaz de Tizi- Bouzeguene a plongé l'APC dans le noir et si sans éléctricité l'obscurité était de mise, rouge aussi était la fureur du maire qui n'a pas du tout apprécié cela. Qu'on le fasse aux citoyens mauvais payeurs oui mais surtout pas à son APC.
En tous les cas, espérons qu'entre Sonelgaz et le maire, le courant passe cette fois.
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Une première dans les annales des rapports inter-administrations de l’Etat algérien : une institution publique, en l’occurrence une APC est sanctionnée par une autre “pour un fallacieux motif”. Cette collectivité vient d’être frappée par une coupure intempestive de courant de la part de l’agence Sonelgaz locale sans notification ni préavis comme il est d’usage laquelle aurait agi ainsi suite à un ordre téléphonique de sa tutelle régionale.
La coupure intervenue en fin d’après-midi de mardi dernier au motif que la commune est redevable de factures récentes inhérentes au dernier trimestre selon le secrétaire général, a paralysé le fonctionnement des services municipaux de la commune et des services agricoles ainsi que la recette des impôts attenant au siège de l’APC et met en péril le patrimoine qui reste sous la menace de visiteurs de la nuit.
Ce qui a fait sortir de ses gonds le maire qui a interpellé le chef d’agence locale le mettant devant ses responsabilités quant à toute éventuelle atteinte au patrimoine communal et autres biens publics notamment le parc roulant dont les engins ne sont pas à l’abri en cette période d’insécurité et de menaces terroristes considérant tous ce qui se passe ces jours-ci dans la région. Une coupure ordonnée et exécutée en dépit de l’engagement écrit du premier magistrat de la commune daté du 28 novembre qui attend la signature imminente du BS 2006 pour s’acquitter des créances de la commune soutient, furieux, le maire qui fustige la Sonelgaz “prompte à sévir contre une institution publique crédible mais incapable de réagir devant de simples usagers réfractaires et qui défient la loi”
Par le soir
En tous les cas, espérons qu'entre Sonelgaz et le maire, le courant passe cette fois.
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Une première dans les annales des rapports inter-administrations de l’Etat algérien : une institution publique, en l’occurrence une APC est sanctionnée par une autre “pour un fallacieux motif”. Cette collectivité vient d’être frappée par une coupure intempestive de courant de la part de l’agence Sonelgaz locale sans notification ni préavis comme il est d’usage laquelle aurait agi ainsi suite à un ordre téléphonique de sa tutelle régionale.
La coupure intervenue en fin d’après-midi de mardi dernier au motif que la commune est redevable de factures récentes inhérentes au dernier trimestre selon le secrétaire général, a paralysé le fonctionnement des services municipaux de la commune et des services agricoles ainsi que la recette des impôts attenant au siège de l’APC et met en péril le patrimoine qui reste sous la menace de visiteurs de la nuit.
Ce qui a fait sortir de ses gonds le maire qui a interpellé le chef d’agence locale le mettant devant ses responsabilités quant à toute éventuelle atteinte au patrimoine communal et autres biens publics notamment le parc roulant dont les engins ne sont pas à l’abri en cette période d’insécurité et de menaces terroristes considérant tous ce qui se passe ces jours-ci dans la région. Une coupure ordonnée et exécutée en dépit de l’engagement écrit du premier magistrat de la commune daté du 28 novembre qui attend la signature imminente du BS 2006 pour s’acquitter des créances de la commune soutient, furieux, le maire qui fustige la Sonelgaz “prompte à sévir contre une institution publique crédible mais incapable de réagir devant de simples usagers réfractaires et qui défient la loi”
Par le soir