certes oui, vous avez raison de le souligner, personne ne connait personne ici, d'ailleurs personne ne se connait vraiment, après tout, on se surprend soit même et plus souvent qu'on ne le pense, regardez cet homme là bas, oui celui qui vous observe depuis tout à l'heure, il était là bien avant votre arrivée, à siroter son thé, quand j'ai pris place sur ce banc il regardait ailleurs ou bien il était absorbé dans ses pensées, son allure indique qu'il est célibataire ... ne riez pas voyons, entre célibataires on se reconnait...mais depuis que vous occupez cette place, il n'arrive plus à s'empêcher de regarder par ici, grace à vous il m'a vu, à ses yeux, ce banc était vide avant que vous ne l'occupiez...
maintenant, il vous dévisage du coin de l’œil, oh, arrêtez donc de faire l'innocente, vous lui plaisez, cela crève les yeux ... ca vous flatte n'est-ce pas? inutile de répondre ce n'était pas une question ...
pour quelle raison me suis-je mis à vous parler de lui déjà ... attendez que je réfléchisse, ah oui, ... regardez le bien, n'ayez crainte il n'osera jamais venir vous importuner, ses habilles témoignent pour lui, insouciant, brouillant, mal coiffé, mal rasé, détrompez vous, ce n'est pas un look qu'il a choisi pour paraitre désintéressé et insouciant comme cela est devenu courant par les temps qui courent, il l'est réellement, c'est l'allure d'un homme qui ne croit plus en rien, quand je vous disais qu'il était perdu dans ses pensées ... . Il devait se dire qu'aujourd'hui, allait être une journée banale aussi plate et savoureuse quand un lac salé, pour se tirer de son lit, il a dû puiser dans ses réserves, se lever demande beaucoup d’énergie quand on est accablé par quelques poids ... remords, chagrin, solitude... je le vois tout les jours venir s'assoir à cette table, le serveur ne lui parle pas et c'est toujours le même verre rempli de la même quantité de ce liquide verdâtre qu'il dépose sous son nez toujours pendu à son visage sur le point de se coller à la table, il prend toujours assez de gorgées pour laisser ce réceptacle bon marché à moitié vide ... ou à moitié plein n'est ce pas... il regarde de temps en temps les passants défiler, quelques uns le remarquent et parmi eux, certains continuent de l'observer du dessus de leurs épaules après l'avoir dépassé ... mais le plus clair de son temps, il le passe à regarder ses mains posées sur la table, son reflet aussi je présume ... c'est que, de là où je suis, je n'y vois pas grand chose...
mais vous êtes arrivée, il vous a vu, cela le surprend, il ne comprend pas la raison de cette fascination pour votre personne, enfin, pour votre visage car votre voix ne lui parvient pas, oh attention ... , votre écharpe risque de s'envoler ... le vent est parfois capricieux, votre parfum lui parvient en ce moment même, regardez le, observez le ... il ignore ce qui lui arrive, il voudrait se dérober à cet appel, cette terrible attraction qui émane de votre personne, délicate, rayonnante, chevelure légère, on vous croirait descendue du ciel pour apporter quelque rêves à cette maudite terre que l'on appel Algérie, vous le savez n'est-ce pas, que vous êtes magnifique ... ce n'est pas vanité que de reconnaitre les choses qui ne sont pas fausses même quand elles sont en nous ...
je ne voudrai surtout pas vous retenir rayon de soleil, je vous ai faite arrêter pour une raison que vous connaitrez un autre jour, si toute fois, vous m'en donneriez l'occasion, non non, allez-y, le ciel est de mauvaise humeur ce matin, il risque de le faire savoir à ceux qui en doutent, comme vous même... et puis, vous ne me connaissez guère comme vous n'avez pas manqué de le signaler au tout début, mais je présume que désormais, vous avez quelques bribes d'informations à mettre sur ma voix, mon visage et ma personnalité, soyez gentille, aidez moi à me relever et passez moi donc ma canne, elle me sert d'yeux et m'aidera à vous retrouver ici quand vous aurez pris le temps de me connaitre un peu plus au moment de vous abandonner au sommeil, c'est à ce moment précis que nous autres humains assimilons les événements que nous avons vécu au courant de la journée parait-t-il... ne soyez pas troublée, vous savez déjà que vous allez revenir ici, non? éh bien, je vous le dis au cas où, j'adore les croissants au beur...
maintenant, il vous dévisage du coin de l’œil, oh, arrêtez donc de faire l'innocente, vous lui plaisez, cela crève les yeux ... ca vous flatte n'est-ce pas? inutile de répondre ce n'était pas une question ...
pour quelle raison me suis-je mis à vous parler de lui déjà ... attendez que je réfléchisse, ah oui, ... regardez le bien, n'ayez crainte il n'osera jamais venir vous importuner, ses habilles témoignent pour lui, insouciant, brouillant, mal coiffé, mal rasé, détrompez vous, ce n'est pas un look qu'il a choisi pour paraitre désintéressé et insouciant comme cela est devenu courant par les temps qui courent, il l'est réellement, c'est l'allure d'un homme qui ne croit plus en rien, quand je vous disais qu'il était perdu dans ses pensées ... . Il devait se dire qu'aujourd'hui, allait être une journée banale aussi plate et savoureuse quand un lac salé, pour se tirer de son lit, il a dû puiser dans ses réserves, se lever demande beaucoup d’énergie quand on est accablé par quelques poids ... remords, chagrin, solitude... je le vois tout les jours venir s'assoir à cette table, le serveur ne lui parle pas et c'est toujours le même verre rempli de la même quantité de ce liquide verdâtre qu'il dépose sous son nez toujours pendu à son visage sur le point de se coller à la table, il prend toujours assez de gorgées pour laisser ce réceptacle bon marché à moitié vide ... ou à moitié plein n'est ce pas... il regarde de temps en temps les passants défiler, quelques uns le remarquent et parmi eux, certains continuent de l'observer du dessus de leurs épaules après l'avoir dépassé ... mais le plus clair de son temps, il le passe à regarder ses mains posées sur la table, son reflet aussi je présume ... c'est que, de là où je suis, je n'y vois pas grand chose...
mais vous êtes arrivée, il vous a vu, cela le surprend, il ne comprend pas la raison de cette fascination pour votre personne, enfin, pour votre visage car votre voix ne lui parvient pas, oh attention ... , votre écharpe risque de s'envoler ... le vent est parfois capricieux, votre parfum lui parvient en ce moment même, regardez le, observez le ... il ignore ce qui lui arrive, il voudrait se dérober à cet appel, cette terrible attraction qui émane de votre personne, délicate, rayonnante, chevelure légère, on vous croirait descendue du ciel pour apporter quelque rêves à cette maudite terre que l'on appel Algérie, vous le savez n'est-ce pas, que vous êtes magnifique ... ce n'est pas vanité que de reconnaitre les choses qui ne sont pas fausses même quand elles sont en nous ...
je ne voudrai surtout pas vous retenir rayon de soleil, je vous ai faite arrêter pour une raison que vous connaitrez un autre jour, si toute fois, vous m'en donneriez l'occasion, non non, allez-y, le ciel est de mauvaise humeur ce matin, il risque de le faire savoir à ceux qui en doutent, comme vous même... et puis, vous ne me connaissez guère comme vous n'avez pas manqué de le signaler au tout début, mais je présume que désormais, vous avez quelques bribes d'informations à mettre sur ma voix, mon visage et ma personnalité, soyez gentille, aidez moi à me relever et passez moi donc ma canne, elle me sert d'yeux et m'aidera à vous retrouver ici quand vous aurez pris le temps de me connaitre un peu plus au moment de vous abandonner au sommeil, c'est à ce moment précis que nous autres humains assimilons les événements que nous avons vécu au courant de la journée parait-t-il... ne soyez pas troublée, vous savez déjà que vous allez revenir ici, non? éh bien, je vous le dis au cas où, j'adore les croissants au beur...
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