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Sellal : « Des vieux réflexes et des intérêts » seront touchés par les décisions du gouvernement

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  • Sellal : « Des vieux réflexes et des intérêts » seront touchés par les décisions du gouvernement

    « Des vieux réflexes et des intérêts » seront touchés par les toutes les décisions prises par le gouvernement pour relancer l’économie sur fond de baisse des cours pétroliers, a averti, samedi, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.

    Dans son discours prononcé à l’ouverture de la réunion Gouvernement-Walis, il a affirmé que « toutes ces décisions pour relancer notre économie et absorber le choc pétrolier toucheront des habitudes, des vieux réflexes et des intérêts. Elles recevront, donc, des résistances plus au moins fortes. Mais notre principal allié dans ce combat futur sera la population si nous lui disons la vérité, lui expliquons notre démarche et si nous arrivons à gagner sa confiance ».

    L’opposition n’a pas été épargnée par le premier ministre en rappelant que « les Algériens doivent savoir, par exemple, que ce sont les mêmes personnes qui, dix ans auparavant, hurlaient qu’il ne fallait pas rembourser la dette par anticipation, qui crient aujourd’hui à la catastrophe et sèment un discours de défaite et de capitulation ».

    Pour le premier ministre, il est « de ceux qui croient en leur pays, en ses capacités énormes et en le génie de ses enfants. Malgré le contexte économique défavorable, nous pouvons bâtir une économie émergente et diversifiée ». Pour Sellal, « le scepticisme est le mal incurable des nations dont nous devons impérativement prémunir l’Algérie ».




    Algérie 1

  • #2
    Chiche monsieur Sellal , faites les réformes qu'il faut mais allez jusqu'au bout , ne faites pas demi tour à la moindre résistance de ceux qui veulent vivre au dessus de leurs moyens. Les algériens n'ont pas peur des difficultés mais soyez équitable et que l'austérité ne touche pas uniquement les plus faibles.
    L'opposition ta3 el khorti, on en veut plus.

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    • #3
      Sellal : « Des vieux réflexes et des intérêts » seront touchés par les décisions du gouvernement

      Comme à son habitude notre chef de l'exécutif au lieu d'exécuter, il nous promet monts et merveilles...

      Regardez le dans cette vidéo promettre encore de développer notre exportation!


      Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

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      • #4
        L’austérité paralyse l’activité économique

        El Watan - le 29.08.15 | 10h00 Réagissez


        La politique d’austérité budgétaire prônée par l’Etat après la chute du prix du pétrole engendrera des conséquences sur les revenus des collectivités locales, surtout avec la décision du gel de plusieurs projets structurants.


        D’ailleurs à titre d’exemple, à Tizi Ouzou, les budgets de la wilaya et des communes seront affectés directement par cette mesure. Selon Mohamed Achir, président de la commission économie et finances à l’APW, les rentes fiscales et celles générées par la taxe de l’activité professionnelle (TAP) seront réduites, en 2016, d’un tiers de leur somme globale habituelle.

        «Globalement, l’austérité touchera directement la croissance économique d’une wilaya. Pour ce qui est de Tizi Ouzou, on doit savoir que l’activité de la région est basée essentiellement sur la commande publique comme le BTPH, le bâtiment, les travaux publics et hydrauliques, des projets structurants.

        De ce fait, le secteur employeur génère de la fiscalité et de la TAP pour la wilaya», nous a expliqué le même responsable, qui ajoute que la wilaya de Tizi Ouzou n’a pas de tissu industriel important pour y faire face. Les conséquences de l’austérité sont déjà perceptibles dans la mesure où plusieurs projets seront gelés, à l’image du nouveau centre hospitalo-universitaire (CHU) qui allait désengorger les infrastructures hospitalières de la région qui font face à une grande pression de patients.

        Toujours dans le secteur de la santé, au moins trois hôpitaux inscrits n’auront pas les financements nécessaires pour leur réalisation. Le développement de la wilaya sera ainsi sensiblement affecté par ces décisions d’annulation de projets inscrits en étude, et ce, faute d’argent.

        L’extension de la voie ferrée jusqu’à Oued Aïssi et Azazga n’aura pas lieu, puisqu’elle est également concernée par les mesures d’austérité, au même titre qu’un barrage hydraulique prévu à Sidi Khelifa, dans la commune d’Aït Chaffa, daïra d’Azeffoun.

        Cela étant, des actions du développement local seront annulées en raison de l’absence d’enveloppes budgétaires, alors qu’il y a quelques années seulement, les responsables concernés ne cessaient de rétorquer que «l’argent, il y en a».

        D’importantes sommes ont été débloquées pour servir de replonges financières afin de relancer des chantiers en hibernation. Le pouvoir dépensait, sans compter, l’argent public.

        Chaque ministre en déplacement décidait d’octroyer, sans la moindre hésitation, des enveloppes faramineuses pour les programmes d’investissement dans la région visitée. Rien que durant la dernière campagne électorale présidentielle, de nombreux projets ont été annoncés.

        Toutefois, les choses ont ainsi brusquement changé pour laisser place à une situation difficile qui n’augure rien de rassurant pour l’essor économique.

        «C’est la gestion catastrophique du système qui a engendré cette situation. Sinon, comment a-t-on pu en arriver là avec autant de milliards de dollars dépensés à l’emporte-pièce ces dernières années», s’est interrogé un autre élu local, qui estime que «cette situation se répercutera négativement sur nos villages où des citoyens demeurent toujours sans alimentation en gaz naturel, en électricité et en eau potable». «Nous allons revivre les moments difficiles de la fin des années 1980, avec la crise économique. Le pire est à craindre», appréhende-t-il.

        En somme, les collectivités locales éprouveront certainement des difficultés à faire face aux restrictions budgétaires.

        Hafid Azzouzi
        Ne serait ce pas aussi de vieux réflexes, que de compter sur les dépenses d'infrastructure, comme moteur de croissance dans cette wilaya!!! D'un coté, on nous dit que l'état a dépensé à tort et à travers, ce qui aux dires de ce monsieur a généré des recettes fiscales, puisqu'elles vont être réduites, maintenant que l'état fait un peu plus attention à ses dépenses, et déprogramme un CHU et une ligne de chemin de fer. Les dépenses à tort et à travers, c'est toujours chez les autres, chez moi, c'était justifié...

        Un peu de cohérence serait le bienvenu...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          ils feront des demi réformes l austérité ne touchera que les plus vulnérables

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          • #6
            Espérons que ce sont les bonnes réformes depuis 1962 qui vont concrétiser notre économie dans le bon sens .
            Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
            (Paul Eluard)

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            • #7
              Loin de moi de jouer au rabat-joie...Mais le nombre de fois que ces bandits corrompus nous promettaient réformes, sur réformes à chaque foi qu'ils se sentent coincer...
              " C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attends jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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              • #8
                Il est plus probable de croire au père noël qu'aux paroles de Sellal. Un eunuque au service de sa majesté.
                La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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