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Le DIABETE

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  • Le DIABETE

    Le diabète vient en deuxième position au classement des maladies chroniques, derrière l’hypertension en Algérie, ..... Le nombre de personnes atteintes de diabète est en progression, passant de 0,3% chez les sujets âgés de moins de 35 ans à 4,1% chez les 35-59 ans et 12,5% chez les plus de 60 ans, selon cette étude menée par le ministère de la Santé, ... en collaboration avec l’Office national des statistiques et des représentations des Nations unies à Alger. source : http://www.**********.com/femmes/fem...ue-en-algerie/

    maladies chroniques : affections de longue durée qui en règle générale, évoluent lentement (evoluent en maladie pas en guérison). Responsables de 63% des décès(dans le monde), ..... source OMS (http://www.who.int/topics/chronic_diseases/fr/)

    0,3% chez les moins de 35 ans --> 105 000 malades dans toute l'algérie
    4,1% chez les 35-59 ans --> 1 435 000 malades dans toute l'algérie
    12,5% chez les plus de 60 ans --> 4 375 000 malades dans toute l'algérie
    Nombre de services de diabétologie dans les hopitaux "civils"algériens : 3 services, beo (alger), mustapha (alger), chu de sidi belabes
    Nombre de professeurs en diabétologie en Algérie : 2 Pr, le Pr Assia Boudiba chef de service au chu Mustapha à Alger, le Pr Fawzia Sekkal chef de service au chu mayo beo à Alger et créatrice par sa propre initiative du service de diabétologie au chu de sidi belabess d’où elle est originaire
    Nombre de médecins spécialiste en diabétologie : une 15 zaine par an, formés par les trois services, depuis 25 ou 30 ans (18 ans pour le chu de sidi belabes)
    Dernière modification par Stutt, 02 septembre 2015, 14h22. Motif: ajout de chiffres

  • #2
    La prévalence du diabète a considérablement augmenté en Algérie pour passer de 8% en 1998 à 16% en 2013. Cette hausse inquiétante, prouvée par plusieurs études menées en Algérie durant les 15 dernières années, a incité les spécialistes à tirer la sonnette d’alarme sur la progression inquiétante de cette pathologie qui pose un sérieux problème de santé publique.
    Si les estimations de l’OMS ont évalué en 2008 le nombre de diabétiques au Maghreb à 12% de la population totale, une récente étude réalisée dans la wilaya de Msila sur un échantillon de plus de 1000 personnes âgées entre 30 et 64 ans a révélé que le taux de prévalence du diabète de type 2 a atteint 16 %. C’est ce qu’a affirmé Pr. Kessam Nezal endocrinologue au CHU de Constantine ayant participé à la réalisation de cette étude, a rapporté l’APS.

    Plus de 3 millions de diabétiques en Algérie
    L’augmentation inquiétante des cas de diabètes en Algérie, notamment durant les 15 dernières années incitent les praticiens algériens à se tourner sérieusement vers l’étude de ce véritable fléau. De récents chiffres annoncés par l’Association des médecins de l’Oranie pour la prévention cardio-vasculaire (Amoprec), lors du 7e Congrès international de l’association qui s’est tenu à Oran, le 11 octobre dernier ont révélé que l’Algérie compte près de 3 millions de diabétiques. Les spécialistes ont mis l’accent, à l’issue de ce congrès, sur l’urgence de mettre en place une stratégie de lutte contre la pathologie basée sur la prévention pour faire baisser la prévalence inquiétante du diabète. À ce propos, plusieurs professionnels ont insisté sur l’impératif de respecter une hygiène de vie saine, d’éviter la consommation des repas rapides, de pratiquer une activité sportive régulière afin de limiter la sédentarité.
    Un taux de prévalence en progression
    Plusieurs études portant sur le diabète en Algérie ont relevé la hausse inquiétante du taux de prévalence de cette pathologie. En effet, celui-ci serait passé de 8% en 1998 à 16% en 2013, soit le double en 15 ans. Des chiffres jugés inquiétants par les spécialistes qui craignent une explosion de la pathologie. Si en 1998, une étude menée par le chef du service de médecine interne au CHU de Sétif, le Pr. Rachid Malek a démontré que le taux d’atteinte du diabète de type 2 chez les sujets âgés entre 30-64 ans était de 8 %, une récente étude réalisée dans la wilaya de Msila sur un échantillon de plus de 1000 personnes âgées entre 30 et 64 ans a révélé que le taux de prévalence du diabète de type 2 a atteint 16 %. Le taux de prévalence est, selon les résultats de plusieurs études, en augmentation constante. En 2005, une étude menée auprès d’un échantillon de plus de 48 000 sujets âgés entre 35 et 70 ans a démontré un taux de prévalence globale de plus de 12 %. La prévalence urbaine était de 13 % et rurale de 9 %.
    Vers une stratégie de lutte contre le diabète
    Pour les spécialistes, si le nombre de diabétiques ne cesse d’augmenter en Algérie, c’est en raison de la persistance de plusieurs facteurs à risque dont principalement l’obésité. Pour venir à bout de ce problème de santé publique, les spécialistes appellent à l’urgence d’instaurer une stratégie efficace qui commencerait par la lutte contre l’obésité, le renforcement des moyens de prévention, à travers l’éducation sanitaire des citoyens et le diagnostic précoce de la maladie. Il est à rappeler que le ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière a annoncé récemment un programme sectoriel de lutte contre les facteurs déclencheurs des maladies chroniques qui se propagent de façon inquiétante en Algérie.
    - See more at: http://www.*************.com/blog/20....oSoVfA6A.dpuf

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    • #3
      le stresse (Te9le9) et la gourmandise (pas la seule cause) les deux sports nationaux chez nous je ne sais pas pourquoi ça ne m'étonne même pas !
      Pour faire la gueule vous faites travailler 65 muscles, pour sourire 10 suffisent. Alors souriez ...

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      • #4
        Nombre de services de diabétologie dans les hopitaux "civils"algériens : 3 services, beo (alger), mustapha (alger), chu de sidi belabes
        Nombre de professeurs en diabétologie en Algérie : 2 Pr, le Pr Assia Boudiba chef de service au chu Mustapha à Alger, le Pr Fawzia Sekkal chef de service au chu mayo beo à Alger et créatrice par sa propre initiative du service de diabétologie au chu de sidi belabess d’où elle est originaire
        ces données sont fausses
        tous les CHU ont des services de medecine internes qui font de la diabetologies et ceci depuis tout le temps , et tout les internistes sont bien formées à la diabetologie mieux que quiconques , et les internistes en Algérie sont des centaines à travers l'Algerie.et je ne parle pas des endpocrinologues qui sont des centaines à travers l'Algerie.

        Ce n'est pas parceque il ya une unite dite de diabétologie, qu'ils n'avait pas de diabetologue, qu'on soignait pas les diabetiques
        dejà dans les années 80-90 , à constantine seule il y avait 4 professeurs , n'en parlant pas des assisants et des residents de specialités .


        il ya 3 ans , il avait congres de diabete gestationnel au Club des Pin , et beaucoups de medecins algeriens (profs, assistant, résidents) y ont assisté et ont échange avec leur homologue français

        Je ne vois pas l'interet de ces fausses données .
        Dernière modification par mertaw, 02 septembre 2015, 17h28.

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        • #5
          @ Mertaw :
          Ouh la ouh la quel agressivité, ….

          « ces données sont fausses »
          en quoi elles sont fausses ? trouve moi UN site web d’un de ces chu qui CONTREDIT ce que j’ai marqué, un site web d’un chu qui dans sa structure il y a mention de l’existance d’un service de diabétologie (comme il mentionne d’autres services)

          Les données que tu reprends et que tu juges fausses sont de dire qu il y a 3 services civils et 2 professeurs, n’est ce pas ? (ce qui est en gris dans ton poste)
          Prouve moi le contraire, trouve moi un professeur (dans un article de presse ou autre) qui soit en exercice (car il doit y avoir une demi douzaine de Pr retraités a Alger)

          « tous les CHU ont des services de medecine internes qui font de la diabetologies et ceci depuis tout le temps …. »
          Où ai-je dit le contraire ? les services de medecine interne ou service fourre tout (là ou on mets ceux dont on ne veut pas ailleurs ou ceux dont les pathologies ne sont pas bien définies tu veux dire)
          Historiquement ces services en Algérie faisaient de la diabéto, de la gastro des fois, de l’urologie, de la nephro, et plein de choses PARCE QUE ces services n’existaient pas dans les hopitaux concernés ou que les patients pour certaines pathologies se comptaient sur le bout des doigts ne nécessitant donc pas la création d’un service dédié dans l’hopital en question. Le meme procédé est adopté en europe aujourd’hui, dans les petites agglomérations ou petits hopitaix où le BESOIN d’avoir un service lambda n’est pas avéré (nombre de patients trop bas) ces patients sont traité par un service qui peut assurer cette charge (entre autre la medecine interne)

          « …..et tout les internistes sont bien formées à la diabetologie mieux que quiconques , …. »
          Tu les as examiné un à un pour te porter garant pour touuuuuuus (avec un s et pas un T) les internistes ? ils ont été formé par qui ? qui de mieux calé et de mieux placé qu’un diabétologue pour former au diabete ? le pape peut etre !

          « ……et les internistes en Algérie sont des centaines à travers l'Algerie…… »
          En quoi est ce important qu’ils soient des centaines ? c’est le nombre de praticien de la santé qui est important ?? bonjour la gestion avec toi, en terme médical ce qui est important est le RATIO medecin/malade (combien de medecin pour combien de malade) et non pas le nombre de medecin dans l’absolu qui ne veut rien dire. De plus comme tu l’as souligné, les internistes traites des centaines de pathologies différentes, en comptabilisant les centaines de MILLIERS de malades de toutes ces pathologies tu te rendras compte du déficit en praticiens !

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          • #6
            @ Mertaw :
            « …..et je ne parle pas des endpocrinologues qui sont des centaines à travers l'Algerie….. »
            Des privés surtout ! mais on y reviendra ….
            Ils soignent une centaine de défaillances hormonales dont le diabete, et c’est là que cela devient intéressant….. statistiquement ces endocrinologue soigne 8 patients sur 10 pour des problemes de diabétologie, ahaa cela ne te mets pas la puce à l’oreil sur le fait est que les Algériens de part ce BESOIN croissant de nombre de diabétiques ont besoin d’avoir plus de medecins diabétologue pour les prendre en charge plus efficacement que des endocrinologues ?
            Un endocrinologue = a etudié toutes les glandes les hormones les maladies homonales (thyroïde, surrénales,….)
            Un diabétologue = a fait le meme parcour en ne se focalisant que sur le pancreas et le diabete
            Toi diabetique, meme inculte, par qui veux tu te faire soigner ? ne veux tu pas avoir plein de diabetologues spécialisé dans LE DIABETE et non pas des endoctriniens specialises dans les maladies hormonales DONT le diabete (la nuance est claire je pense)

            « …Ce n'est pas parceque il ya une unite dite de diabétologie, qu'ils n'avait pas de diabetologue, qu'on soignait pas les diabetiques …. »

            Ta phrase en plus de ne rien vouloir dire car faussement formulée, est stérile….le pied diabetique tu le soignes ou quand tu n’as pas de SERVICE de diabéto, les amputations tu les fais RAPIDEMENT sous décision de QUI pour eviter de couper plus haut ? la QUALITE des soins se fait chez qui quand tu n as pas de SERVICE, la GRATUITE des soins se fait chez tes endocrino prive peut etre ??
            Et pourquoi parles tu au passé et dit « ….., qu'ils n'avait pas de diabetologue…. » je n ai pas parlé du passé moi !! et quand bien meme, on ne créé pas un service pour faire beau, on le fait pour répondre a un BESOIN qui est de plus en plus présent et imposant

            « …….dejà dans les années 80-90 , à constantine seule il y avait 4 professeurs , n'en parlant pas des assisants et des residents de specialités…. »
            Des professeurs de quoi ? fais des phrases completes pour que l’on te comprenne !
            Ils dirigeaient quel service ? 4 dans la meme ville ? mais c’est super ça, ….. ou sont ils ? retraités ? décédés ? ont-ils etaient remplacé ?
            ca ne t’echappe pas qu’il y a plus de malade aujourd’hui que dans les 80-90s !!
            ca ne t echappe pas que la populasse augmente !!
            Et avec tout cela tu trouve banal qu’il y ait eu 4 professeurs (info a verifier) il y a 30 ans et aucun aujourd’hui !! c’est « Normal » selon toi !!

            « ….il ya 3 ans , il avait congres de diabete gestationnel au Club des Pin , et beaucoups de medecins algeriens (profs, assistant, résidents) y ont assisté et ont échange avec leur homologue français … »


            Entre ton orthographe, tes formulations, et tes conclusions …. Je reste bouche B !
            J’en appelle au bon sens des participants au forum


            «…. Je ne vois pas l'interet de ces fausses données . »
            J’attends tjr que tu me prouves que mes données sont fausses

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            • #7
              BOnjour Stutt.

              On sent en toi le connaisseur en diabétologie et c'est une bonne chose que tu nous fasses bénéficier de ton érudition.

              Merci alors

              Mais parlant d'orthographe, pour un monsieur de ton niveau scientifique, à mon humble avis, il te reste beaucoup, beaucoup d'attention et d'efforts soutenus à faire pour que toi-même tu sois au top.

              Sans rancune hein!

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