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Le processus de privatisation de la première cimenterie publique touche à sa fin

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  • Le processus de privatisation de la première cimenterie publique touche à sa fin

    Le processus d’introduction en Bourse de la Société des ciments de Aïn Kbira s’accélère. Selon nos informations, la phase d’évaluation financière de l’entreprise vient d’être achevée. Une assemblée générale extraordinaire de l’entreprise devrait se tenir dans les tous prochains jours pour entériner la décision d’introduction de 35 % du capital de l’entreprise publique en Bourse.

    La mise en vente des 35 % de l’entreprise se fera via une augmentation de capital. Les fonds levés serviront au financement de la deuxième ligne de production et à la réduction de la dette. La ligne de production a en effet été lancée grâce à un emprunt contracté auprès du FNI (Fonds national d’investissements).


    « Le processus sera achevé au plus tard en novembre prochain », a indiqué à TSA une source proche du dossier. Le dossier sera alors envoyé à la Cosob (Commission d’organisation et de surveillance des opérations de bourse). Cette dernière devrait donner son visa à l’introduction en Bourse dans un délai maximum de deux mois. Le processus devrait s’achever avant la fin de l’année.

    La Société des ciments de Aïn Kbira est la première des trois cimenteries publiques qui seront introduites en Bourse. Celles de Chlef et de Tébessa poursuivent leur processus d’évaluation. Leur introduction devrait intervenir en 2016, selon les mêmes conditions : une cession de 35 % via une augmentation de capital.

    TSA
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