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RÉVISION CONSTITUTIONNELLE Tamazight ne sera pas officialisé

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  • RÉVISION CONSTITUTIONNELLE Tamazight ne sera pas officialisé

    RÉVISION CONSTITUTIONNELLE
    Tamazight ne sera pas officialisé


    Le Soir - Samedi 5 septembre 2015

    La langue amazighe ne sera pas officialisée dans la future Constitution, nous révèle-t-on de source sûre. Abdelaziz Bouteflika a définitivement tranché la question, ce jeudi 27 août, lorsqu’il réunissait les plus hauts responsables du pays au sujet de la révision de la Constitution qu’il annoncera tout prochainement.
    Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Bouteflika aura signifié à ses interlocuteurs sa décision de laisser les choses en l’état s’agissant du statut de la langue amazighe dans la Constitution. A savoir, seulement au stade de «langue nationale» comme c’est le cas depuis l’amendement constitutionnel du 10 avril 2002. Ce dernier amendement, pour rappel, Bouteflika l’avait concédé, à l’époque, sous la pression des événements, c'est-à-dire le terrible printemps noir qui avait ébranlé la Kabylie en 2001. Depuis, l’article 3 de la Constitution algérienne stipule que «l’arabe est la langue nationale et officielle» suivi de l’article 3 bis (introduit le 10 avril 2002, ndlr), stipulant, lui, que «tamazight est également langue nationale. L’Etat œuvre à sa promotion et à son développement dans toutes ses variétés linguistiques en usage sur le territoire national».
    La question de la promotion de la langue amazighe au rang de langue nationale et officielle, au même titre que la langue arabe, avait pourtant fait, avec celle de la limitation des mandats présidentiels, l’objet d’une unanimité quasi-parfaite de la classe politique, de la société civile ainsi que de l’ensemble des personnalités nationales ayant pris part aux deux consultations sur la révision constitutionnelle conduites par Abdelkader Bensalah en 2011, puis par Ahmed Ouyahia en juin 2014. Une proposition que fera même le Front de libération nationale, ce qui constitue, en soi, tout un symbole ! Qu’est-ce qui motive alors cette surprenante rétraction de Bouteflika, lui qui, pourtant, avait poussé en sous-main dans le sens de l’officialisation, au point d’en faire l’un des thèmes phare de sa campagne électorale pour la présidentielle du 9 avril 2009 ? Systématiquement, et à chacun de ses meetings d’alors, il lançait : «Nous sommes tous des Amazighs.» Un slogan évidemment que reprendront en chœur tous les satellites du pouvoir. Pour notre source, cela est la résultante de calculs politiciens frisant le cynisme chez Bouteflika. «Si en 2002, il y avait encore les répliques du tragique printemps noir, avec pas moins de 126 victimes et des dégâts matériels considérables, sans oublier que la revendication amazighe était encore portée par un mouvement protestataire fort, structuré et ayant pignon sur rue, la conjoncture est radicalement différente en 2015. De nos jours, il n’y a que les islamistes qui font réellement du bruit, qui font donc peur au pouvoir.»
    Un pouvoir qui, effectivement, a fait aux islamistes, en ces huit mois de l’année 2015, plus de concessions que depuis l’indépendance. L’on peut citer, entre autres, les lâchages de ministres ayant «déplu» aux islamistes et leurs relais médiatiques comme Benghebrit, Mohamed Aïssa, ou Amara Benyounès carrément limogé du gouvernement, le gel (en réalité, la suppression) de la loi portant criminalisation des violences contre la femme, la liquidation, pour d’autres considérations il est vrai, d’un autre ministre, Youcef Yousfi, qui, pourtant, n’a fait qu’appliquer une décision du gouvernement portant exploration du gaz de schiste.
    «Pour bien comprendre la situation, il faut savoir que la révision de la Constitution est, pour Bouteflika, la priorité absolue, la seule chose à laquelle il accorde bien de l’importance. Il veut la réussir avec un consensus le plus large possible.» Aux dernières réunions de jeudi dernier, il avait clairement signifié, aux hauts responsables qu’il recevait, qu’il voulait, sur cette question, «un grand débat national tapageur qui inclura y compris les plus extrémistes». C’est ce qui explique les agitations tolérées de Madani Mezrag, entre autres.
    Pour le reste, le projet que soumettra Abdelaziz Bouteflika à l’approbation des deux Chambres du Parlement réunie en session extraordinaire, a définitivement tranché le retour à la fameuse disposition de l’article 74 de la Constitution de 1996 et qui limite le nombre de mandats présidentiels à seulement deux, au maximum bien sûr. Il s’agit là d’une revendication unanime à l’ensemble des partenaires politiques et sociaux consultés par Bensalah en 2011 puis par Ouyahia en 2014.
    De même que la mouture que proposera Bouteflika ne prévoit pas de poste de vice-président. De par son tempérament, Bouteflika n’aurait d’ailleurs jamais admis une fonction pareille, lui qui avait même réduit la fonction de Premier ministre qu’il substituera à celle de chef de gouvernement en 2008, à une sorte de super fonctionnaire ! Depuis 2008, en effet, Bouteflika a interdit au Premier ministre de sanctionner les réunions du gouvernement par un communiqué.
    Ce «privilège» est l’apanage du seul Conseil des ministres, présidé, pour cause, par le président de la République. Il ne s’agit d’ailleurs même plus de «Conseil du gouvernement», mais de simple «réunion du gouvernement», que l’exécutif tient tous les mercredis de manière quasi-clandestine.
    Dans le projet de la nouvelle Constitution, Bouteflika maintient toujours la fonction de Premier ministre et exclut, dès lors, la réhabilitation de l’ancienne fonction de chef de gouvernement comme réclamé par l’écrasante majorité de la classe politique. Seule «concession» selon nos sources, «désormais, le Premier ministre devrait être issu du parti majoritaire, et avec quelques prérogatives supplémentaires».
    Des prérogatives qui doivent surtout permettre au titulaire de la fonction de combler le vide occasionné par la maladie de Bouteflika. Aussi, le président du Conseil de la nation, quant à lui, verra ses prérogatives renforcées, notamment en prévision de «cas de force majeure», à savoir la vacance du pouvoir en cas de décès ou de démission du président de la République.
    S’agissant de l’Assemblée populaire nationale, elle aura désormais, en vertu du projet de la nouvelle Constitution, le privilège de pouvoir «retirer la confiance à des membres du gouvernement», mais de manière individuelle, seulement.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Les méthodes habituelles des gorges profondes, qui demandent en filigrane à la Kabylie de se soulever pour demander l'officialisation de la langue Amazigh!!!

    Et pourtant ce même journal avait déjà fait part de cette réunion, en affirmant le contraire. Ce journalisme devient abjecte...


    BOUTEFLIKA A RÉUNI LES PRINCIPAUX RESPONSABLES DU PAYS JEUDI DERNIER
    Révision de la Constitution en septembre


    Le soir - Dimanche 30 août 2015

    Abdelaziz Bouteflika a réuni, jeudi dernier dans ses bureaux de Zeralda, les principaux hauts responsables du pays avons-nous appris de source sûre. «Le Président les a reçus séparément, par petits groupes. Il y a eu en fait deux réunions», précise notre source. A l’ordre du jour de ces réunions secrètes, un seul point : la révision de la Constitution.

    Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Ont pris part à ces réunions le ministre d’Etat, directeur de cabinet de la Présidence, Ahmed Ouyahia, le Premier ministre Abdelmalek Sellal, le vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd-Salah, le chef du département renseignement et sécurité, le général de corps d’armée Mohamed Médiene dit Toufik, les présidents respectifs du Sénat et de l’Assemblée populaire nationale, Abdelkader Bensalah et Larbi Ould Khelifa, le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci, «et de proches conseillers», probablement Boualem Bessaïeh et Tayeb Belaïz. «Le ministre de la Justice» y aurait également pris part.
    Quoi qu’il en soit, Bouteflika a informé ses collaborateurs, au cours de ces conclaves, de sa décision de procéder à la convocation d’une session extraordinaire des deux Chambres du Parlement, pour adopter son projet de la révision de la Constitution et ce, le mois de septembre prochain. «Le président a décidé de libérer le projet de la nouvelle Constitution après avoir consulté tous ses interlocuteurs», nous confie notre source. «Ce projet de loi portant révision de la Constitution sera soumis à la réunion des membres des deux chambres du Parlement qui se réunira au Palais des nations du Club-des-Pins après son adoption en conseil des ministres. Il s’agira bien entendu d’un vote en bloc, sans débats, et sans aller à l’autre étape, le référendum» ajoute notre source. Soit exactement la même procédure prévue il y a de cela quelques mois, la révision devant initialement intervenir fin avril dernier. Quant au contenu de cette même révision, «tout est également prêt depuis des mois. Rien n’a été changé dans le contenu de la copie soumise pour information aux principaux responsables des institutions en avril dernier», nous révèle notre source. La mouture en question prévoit, en substance, le retour à la limitation des mandats présidentiels à un seul, renouvelable une seule fois, quelques prérogatives de plus pour le Parlement, le retour à l’ancienne fonction de chef du gouvernement avec un peu plus de prérogatives, hisser la langue amazighe au rang de langue nationale et officielle etc. Par contre, il n’y aura pas de poste de vice-président. Il est toutefois prévu de «revoir» l’article 88 de la Constitution, celui-là même qui avait empoisonné la vie à Bouteflika depuis le 27 avril 2013 !
    Selon notre source, et comme décidé en avril dernier déjà, la maladie ne ferait plus partie des cas de force majeure pour lancer la procédure de l’empêchement s’agissant du poste de président de la République. Rappelons que ce projet de la révision de la Constitution remonte à novembre 2008.
    A l’époque, Bouteflika convoquait également les deux Chambres du Parlement, essentiellement pour modifier l’article 74 de la Constitution de 1996, qui limitait le nombre des mandats présidentiels à seulement deux. Evidemment, dans l’objectif unique de se représenter pour la présidentielle d’avril 2009. Ce faisant, il s’engageait à procéder, pour après la présidentielle de 2009, à une autre révision «en profondeur» de la Constitution. Un engagement qu’il «oubliera» dès sa réélection le 9 avril 2009. Il ne se «rappellera» de cet engagement que sous la contrainte : surpris, comme tout le monde, par la tempête dévastatrice du «printemps arabe», l’homme lancera, le 15 avril 2011, dans un discours à la nation, son «projet de réformes politiques».
    Il s’agissait de la révision de six lois fondamentales comme la loi sur les partis, le code de l’information, l’audiovisuel etc. et qui seront couronnées, s’engageait-t-il, par la révision de la Constitution après consultation de la classe politique, de la société civile et des personnalités nationales. Le président du Sénat, Abdelkader Bensalah sera chargé de mener ses consultations en juin 2011. La révision devait intervenir en automne 2011. Puis, de report en report, tout a été mis en place, avec même une commission d’experts installée par Sellal, pour procéder à la révision en mai 2013. Le report, cette fois, n’était dû qu’à l’accident de santé qui frappera Bouteflika le 27 avril 2013.
    Après l’épisode du Val-de-Grâce, le feuilleton précédant le quatrième mandat, Bouteflika revient à la charge, via Sellal, en s’engageant publiquement à réviser la Constitution. Dès sa réélection, son directeur de cabinet, Ahmed Ouyahia est désigné pour mener des… consultations avec la classe politique, la société civile et les personnalités nationales. Ce sera chose faite en juin 2014.
    Pratiquement avec les mêmes acteurs qu’en 2011 lorsque Bensalah était chargé du même travail. «A quoi bon lancer un autre round de consultations, les positions des uns et des autres étant connues», disait d’ailleurs Ahmed Ouyahia, il y a quelques semaines…
    K. A.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      ott : je croyais que le soirdalgerie raconter des conneries?

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      • #4
        ott : je croyais que le soirdalgerie raconter des conneries?
        La démonstration en est faite plus haut par A+B...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5
          il y'aura pas de révision de constitution car y'a une grave crise au sommet.... à moins d'un accord
          En tout pour lesoirdalgerie j'suis d'accord bouteflika ne donnera jamais son accord pour l'officialisation

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          • #6
            il y'aura pas de révision de constitution car y'a une grave crise au sommet.... à moins d'un accord
            Amusant de lire certaines affirmations...
            Othmane BENZAGHOU

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            • #7
              salam Ott !

              revoilà les hommes qui ont vu les hommes qui ont vu les ours ! et la chaine n'en fini pas...
              révision ou pas révision, il y en aura toujours une, mais qui emploiera son ardeur à ménager les vieux mots d'ordre à panache, pour que tout ne soit en fin de compte, que phrases creuses et vaines gesticulations...
              Les intérêts dominants n'accepteront jamais d'introduire dans la constitution des verges qui les fouetteront plus tard...comme le droit positif... ils préfèrent le "droit possessif" issu du droit coutumier des clans où les chiens ne mangent pas les chiens...

              Jamais un oignon n'a donné naissance à une fleur mon cher ami...

              cordialement....
              ___________________________________TEO
              Dernière modification par tayeb el Ouatani, 05 septembre 2015, 16h26.
              "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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              • #8
                j’espère que tu vas bien si Ohtmane...et que les aléas de l'actualité ne t'abiment pas trop....
                Dernière modification par tayeb el Ouatani, 05 septembre 2015, 16h37.
                "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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                • #9
                  et oui
                  Dernière modification par SamyBey, 05 septembre 2015, 17h35.

                  Commentaire


                  • #10
                    Saha TAO,

                    Dans chaque corps social, il y a du bon et du mauvais. La constitution des différentes institutions nationales ne déroge pas à cette réalité. La réalité est très loin de l'idéal, j'avais appelé en 2006 à une révision constitutionnelle, comme tant d'autres, et force de constater qu'elle est toujours attendue :

                    Constitution, pierre angulaire d'un régime politique
                    Othmane Benzaghou

                    Publié dans El Watan le 10 - 07 - 2006


                    Une nouvelle Constitution est annoncée par les plus hautes autorités du pays. Le projet n'est pas nouveau, puisqu'on annonçait cette Constitution depuis l'arrivée de l'actuel locataire d'El Mouradia. Cette fois-ci, il semble que les équilibres stratosphériques sont tels que le projet voulu par le président puisse passer au suffrage universel.

                    La classe politique est comme à son habitude totalement absente des grandes étapes de ce pays, tétanisée par une représentativité quasi-nulle et neutralisée par une nature malsaine qui fait de la majorité des partis d'opposition, non des organes où se construisent des idées, des démarches, mais seulement des appareils politiciens au service d'ambition, de groupements d'intérêt, de tribalisme, de corporatisme… A quoi sert une Constitution, si ce n'est à définir les règles de fonctionnement des institutions du pays. A quoi servent ces règles si ne sont pas définis les rôles de ces institutions, dans un environnement politique en pleine mutation, à la réalité des structures sociopolitique prédominantes dans le monde actuel et aux réalités sociopolitiques d'une Algérie qui n'a que 44 ans d'indépendance.

                    De par le monde, le modèle prédominant, aujourd'hui, est celui qui consacre la démocratie, cette démocratie qui permet l'émergence de consensus, d'équilibres salvateurs. Qu'en est-il des consensus et des équilibres en Algérie. Ils ne sont quasi jamais issus de la volonté populaire, même pas issus de modèles de développement qui s'affrontent pour produire un consensus nécessaire à la bonne marche du pays. Les équilibres chez nous sont plutôt constitués sur des bases médiévales, de clans, de tribus, de lutte de pouvoir. Ils sont reconstitués et en constante mutation dans les stratosphères, loin des peuples, loin des élites intellectuelles, loin des idées et des modèles de développement. L'Algérie des années 1970 est celle qui a consacré un régime et des institutions taillées sur mesure pour des « dictatures éclairées », ayant fait pour le développement de l'Algérie d'énormes progrès, mais ayant engendré des erreurs fatales pour le fonctionnement de l'« après-dictature éclairée ». Il est impératif d'éviter les même travers aujourd'hui et de redessiner sur des bases modernes le rôle des institutions, leur place et leurs règles de fonctionnement. Le régime présidentiel est une quasi-exception américaine, mu par une histoire politique spécifique, de fédéralisme, de bipolarisme, de post-monarchisme… Le fonctionnement politique des institutions dans ce modèle est celui qui permet de faire tendre les décisions vers le centre, le consensus, l'équilibre, entre forces politiques bipolaires qui ne semblent pas fondamentalement différentes. Les Etats-Unis d'Amérique ont cette particularité de pouvoir recentrer les décisions. Seuls de grands chocs ont déstabilisé ce recentrage systématique, mais c'est le fonctionnement propre du système politique américain. L'Algérie doit trouver son propre modèle, adapté à son histoire, à sa réalité sociopolitique, d'aujourd'hui, mais surtout de demain. Une Constitution est censée être pérenne et survivre au-delà des personnes qui la consacrent. Des vicissitudes d'une vie politique à la recherche d'équilibres perpétuels dans l'intérêt collectif. Elle a comme devoir de fonder les équilibres salvateurs d'aujourd'hui mais surtout de demain, des équilibres permettant des choix éclairés et partagés consacrant le développement du pays. Elle doit être garante d'un paysage politique réaliste, permettant de produire ces équilibres et ce consensus, qui survivent au degré de convictions, de force et l'abnégation des personnes censées l'incarner par le temps, garantissant un recentrage vers les voies jugées les plus adaptées aux défis du moment. Les institutions, produit de la Constitution, doivent consacrer ces principes salvateurs et pérennes, que cela soit la basse ou la haute chambre, elle doit permettre une représentativité des aspirations d'une nation, capable de recentrer les décisions. Qu'une chambre consacre le modèle majoritaire, l'autre proportionnelle, qu'une chambre consacre le suffrage direct, l'autre indirect, il est impératif de réfléchir à un fonctionnement qui garantisse la stabilité des institutions, au-delà des personnalités qui pourront l'incarner, dans l'intérêt général. La classe politique actuelle n'est pas celle qui garantit la stabilité future de ce pays. Il est impératif que la Constitution soit calquée sur un dosage politique visionnaire, permettant d'asseoir ce pays dans une ère de stabilité et de progrès.

                    Pour une Algérie meilleure.
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      Concernant l'actualité, je dirais qu'une phase historique comme en ce moment, exige un engagement à la hauteur des enjeux...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #12
                        mais quels enjeux mon cher Ott...j’espère que ton optimisme est contagieux ...parce que chez nous , les enjeux politique ont toujours été une source de mécontentement et de rage...
                        Maintenant si tu penses qu'il serait déraisonnable de vouloir s'en passer...mais a condition de pouvoir parfois aussi devenir Cannibale...non pas pour seulement dévorer tout ces larbins qui nous gouvernent mais pour le plaisir de les vomir...

                        soit !
                        "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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                        • #13
                          Concernant l'actualité, je dirais qu'une phase historique comme en ce moment, exige un engagement à la hauteur des enjeux...
                          Encore faut-il , qu'il y ai des hommes ou des femmes qui puissent assumer ces enjeux ...

                          Cette catégorie en Algérie , on la suprime , ou on la pousse à l'éxile !!!

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