L'observatoire de la déontologie de l'information condamne les pratiques d'Eric Laurent et Catherine Graciet
L’observatoire de la déontologie de l’information (ODI) a condamné dans un communiqué sans toutefois les nommer, les pratiques d’Eric Laurent et Catherine Graciet.
L’organisme qui regroupe en France journalistes, entreprises de médias et représentants des publics a tenu à rappeler le principe de la « non-monnayabilité » de l’information. L’ODI précise dans le communiqué qu’ « un journaliste digne de ce nom ne saurait payer une information ou un informateur » ; « un journaliste digne de ce nom ne saurait se faire payer par une source ou un tiers intéressé pour publier, retenir ou supprimer une information » ; « La valeur d’une information est déterminée par l’intérêt du public à la connaître, non par l’intérêt d’un journaliste ou d’une source à en tirer profit. ».
Au regard de ces basiques principes rappelés, l’ODI conclut toujours dans le même communiqué : « parce que la qualité de l’information et la confiance dans les médias sont essentielles pour les acteurs de la vie publique comme pour les citoyens, que ceux qui se livrent à de telles manœuvres pour étouffer ou discréditer une enquête desservent la cause qu’ils défendent et affaiblissent la démocratie, en France comme à l’étranger ».
Pour rappel, Eric Laurent et Catherine Graciet, placés sous contrôle judiciaire ont été arrêtés le 27 août dernier. Ils sont accusés d’avoir tenté de faire chanter le roi Mohammed VI en réclamant la somme de 3 millions d’euros en échange de non publication d’un livre à charge sur la famille royale.
Ibrahim Bayo
L’observatoire de la déontologie de l’information (ODI) a condamné dans un communiqué sans toutefois les nommer, les pratiques d’Eric Laurent et Catherine Graciet.
L’organisme qui regroupe en France journalistes, entreprises de médias et représentants des publics a tenu à rappeler le principe de la « non-monnayabilité » de l’information. L’ODI précise dans le communiqué qu’ « un journaliste digne de ce nom ne saurait payer une information ou un informateur » ; « un journaliste digne de ce nom ne saurait se faire payer par une source ou un tiers intéressé pour publier, retenir ou supprimer une information » ; « La valeur d’une information est déterminée par l’intérêt du public à la connaître, non par l’intérêt d’un journaliste ou d’une source à en tirer profit. ».
Au regard de ces basiques principes rappelés, l’ODI conclut toujours dans le même communiqué : « parce que la qualité de l’information et la confiance dans les médias sont essentielles pour les acteurs de la vie publique comme pour les citoyens, que ceux qui se livrent à de telles manœuvres pour étouffer ou discréditer une enquête desservent la cause qu’ils défendent et affaiblissent la démocratie, en France comme à l’étranger ».
Pour rappel, Eric Laurent et Catherine Graciet, placés sous contrôle judiciaire ont été arrêtés le 27 août dernier. Ils sont accusés d’avoir tenté de faire chanter le roi Mohammed VI en réclamant la somme de 3 millions d’euros en échange de non publication d’un livre à charge sur la famille royale.
Ibrahim Bayo
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