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LE STADE DU 5-JUILLET PRÊT À 100%? Le grand bluff!
Un énorme vacarme médiatique et une longue attente ont précédé la réouverture du stade olympique, sans pour autant être satisfait du résultat malgré les assurances des responsables du football national.
La réouverture du stade du 5-Juillet, pour le compte du match avancé de la 4e journée du championnat de la Ligue 1 Mobilis entre l'USM El Harrach et le NA Hussein-Dey et (2-0), était l'occasion pour tous les observateurs et supporters de retrouver de nouveau le temple du football national, après deux ans de fermeture pour travaux. Les supporters des deux galeries harrachie et nahdiste s'attendaient à voir un stade complètement rénové, confortable, flambant neuf aux normes internationales, mais ont finalement vite déchanté en se retrouvant face à une enceinte redorée de l'extérieur et tout juste bricolée de l'intérieur. Un énorme vacarme médiatique et une longue attente sans pour autant être satisfait du résultat malgré les assurances des responsables du football national. Une polémique longue et agitée a précédé la réouverture du stade de la capitale, notamment l'état de cette enceinte qui, à la fin, n'a pas répondu aux attentes du public sportif. En effet, mis à part la rénovation des tribunes supérieures suite au décès des deux supporters usmistes en 2013, lors de la finale de la coupe d'Algérie entre l'USMA et le MCA, et la pose d'une pelouse à la hauteur, du moins pour le moment, pour le reste, rien n'est vraiment fait aux normes internationales, ou plus au moins à celles du Maghreb. Pourtant, en deux ans de travaux, les responsables des différentes instances concernées n'arrêtaient pas de promettre un «bijou» et une réouverture révolutionnaire alors qu'ils avaient largement le temps de faire peaufiner le travail pour que le 5-Juillet soit un stade digne des grandes enceintes internationales, capable d'abriter les grands matchs nationaux et ceux des Verts. Seulement, il reste un long chemin pour parvenir à ce résultat tant souhaité et qui témoigne de l'incapacité de certaines instances de remplir convenablement leur contrat. Des défaillances dans la gestion des infrastructures démontrent encore une fois si besoin est l'amateurisme du «professionnalisme» algérien à tous les niveaux, y compris les compétences sans parler des méthodes de gestion et de la transparence de celle-ci. Pour mettre les gens dans le contexte réel de cette situation, on ne manquera pas de relever certaines lacunes qui ont été constatées lors de ce derby USMH-NAHD, qui confirment ainsi ce constat déplorable. À titre d'exemple, les sanitaires situés au niveau des tribunes sont toujours dans un état lamentable et loin d'offrir un certain confort aux fans, puisque malgré tous ces milliards dépensés, l'eau sale sous les pieds et une odeur nauséabonde le premier jour de sa réouverture étaient bien là. Une autre surprise désagréable attendait les supporters de l'USMH qui suivaient tranquillement la rencontre, une conduite d'eau a explosé au niveau de leur tribune et au lieu de profiter du derby, les Jaune et Noir ont été obligés de quitter cette tribune. L'absence des sièges au niveau des tribunes inférieures (virages et flambeau) qui n'ont eu droit qu'à des dallettes, confirme au besoin le fait que les travaux au niveau du stade olympique sont loin d'être terminés. Aussi, même l'éclairage n'était pas tout à fait prêt à 100% puisque la moitié des projecteurs ont lâché en pleine rencontre.
Heureusement que ce n'était pas un match international officiel, sinon l'équipe algérienne aurait perdu sur tapis vert, comme le stipule le règlement. Ainsi, selon toute vraisemblance, la réouverture accélérée du stade de la capitale s'est faite dans la précipitation, afin de répondre à la pression des hautes autorités et celle des clubs qui n'ont pas trouvé un stade capable encore d'abriter les grandes affiches algéroises, alors que l'EN et l'USMA comptent disputer leurs rendez-vous continentaux dans cette même enceinte.
Un souhait qui est loin de pouvoir se réaliser sous peu, en attendant les réajustements et pourquoi pas de nouveaux travaux!!!
l'expression
La réouverture du stade du 5-Juillet, pour le compte du match avancé de la 4e journée du championnat de la Ligue 1 Mobilis entre l'USM El Harrach et le NA Hussein-Dey et (2-0), était l'occasion pour tous les observateurs et supporters de retrouver de nouveau le temple du football national, après deux ans de fermeture pour travaux. Les supporters des deux galeries harrachie et nahdiste s'attendaient à voir un stade complètement rénové, confortable, flambant neuf aux normes internationales, mais ont finalement vite déchanté en se retrouvant face à une enceinte redorée de l'extérieur et tout juste bricolée de l'intérieur. Un énorme vacarme médiatique et une longue attente sans pour autant être satisfait du résultat malgré les assurances des responsables du football national. Une polémique longue et agitée a précédé la réouverture du stade de la capitale, notamment l'état de cette enceinte qui, à la fin, n'a pas répondu aux attentes du public sportif. En effet, mis à part la rénovation des tribunes supérieures suite au décès des deux supporters usmistes en 2013, lors de la finale de la coupe d'Algérie entre l'USMA et le MCA, et la pose d'une pelouse à la hauteur, du moins pour le moment, pour le reste, rien n'est vraiment fait aux normes internationales, ou plus au moins à celles du Maghreb. Pourtant, en deux ans de travaux, les responsables des différentes instances concernées n'arrêtaient pas de promettre un «bijou» et une réouverture révolutionnaire alors qu'ils avaient largement le temps de faire peaufiner le travail pour que le 5-Juillet soit un stade digne des grandes enceintes internationales, capable d'abriter les grands matchs nationaux et ceux des Verts. Seulement, il reste un long chemin pour parvenir à ce résultat tant souhaité et qui témoigne de l'incapacité de certaines instances de remplir convenablement leur contrat. Des défaillances dans la gestion des infrastructures démontrent encore une fois si besoin est l'amateurisme du «professionnalisme» algérien à tous les niveaux, y compris les compétences sans parler des méthodes de gestion et de la transparence de celle-ci. Pour mettre les gens dans le contexte réel de cette situation, on ne manquera pas de relever certaines lacunes qui ont été constatées lors de ce derby USMH-NAHD, qui confirment ainsi ce constat déplorable. À titre d'exemple, les sanitaires situés au niveau des tribunes sont toujours dans un état lamentable et loin d'offrir un certain confort aux fans, puisque malgré tous ces milliards dépensés, l'eau sale sous les pieds et une odeur nauséabonde le premier jour de sa réouverture étaient bien là. Une autre surprise désagréable attendait les supporters de l'USMH qui suivaient tranquillement la rencontre, une conduite d'eau a explosé au niveau de leur tribune et au lieu de profiter du derby, les Jaune et Noir ont été obligés de quitter cette tribune. L'absence des sièges au niveau des tribunes inférieures (virages et flambeau) qui n'ont eu droit qu'à des dallettes, confirme au besoin le fait que les travaux au niveau du stade olympique sont loin d'être terminés. Aussi, même l'éclairage n'était pas tout à fait prêt à 100% puisque la moitié des projecteurs ont lâché en pleine rencontre.
Heureusement que ce n'était pas un match international officiel, sinon l'équipe algérienne aurait perdu sur tapis vert, comme le stipule le règlement. Ainsi, selon toute vraisemblance, la réouverture accélérée du stade de la capitale s'est faite dans la précipitation, afin de répondre à la pression des hautes autorités et celle des clubs qui n'ont pas trouvé un stade capable encore d'abriter les grandes affiches algéroises, alors que l'EN et l'USMA comptent disputer leurs rendez-vous continentaux dans cette même enceinte.
Un souhait qui est loin de pouvoir se réaliser sous peu, en attendant les réajustements et pourquoi pas de nouveaux travaux!!!
l'expression
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