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« une partie des voitures Peugeot sera destinée à l’exportation »

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  • « une partie des voitures Peugeot sera destinée à l’exportation »

    salam


    Abdeslam Bouchouareb est content de l’état actuel des relations économiques algéro-françaises. « Je suis content aujourd’hui. D’habitude on se réunissait pour régler des contentieux, et aujourd’hui les contentieux diminuent et sont devenus presque insignifiants parce qu’on est en train d’évaluer les projets retenus et inscrire de nouveaux projets », a déclaré ce lundi 14 septembre, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb, au cours d’une conférence de presse conjointe Jean Louis Bianco, représentant spécial pour les relations algéro- française.

    Usine Peugeot : « un projet qui avance bien »

    « Nous sommes en train d’aller à des segments à très forte intégration technologique. La France est un partenaire technologique important » a-t-il insisté. Questionné à propos de l’avancement du projet de l’usine Peugeot, il a estimé que « c’est un projet complexe, de par sa capacité d’intégration, de par la sous-traitance qu’il va ramener. Les associés pour lesquels nous avons donné des orientations sont en discussions. On attend ». « C’est un projet qui avance bien et sous peu, ils vont prendre des décisions »a-t-il expliqué.

    Le ministre a assuré qu’ « une partie des voitures Peugeot sera destinée à l’exportation ».

    Règle 49/51 et les PME françaises

    Aux déclarations faites vendredi dernier à Alger par le président du Sénat français Gérard Larcher sur la règle 49/51, Bouchouareb a répondu : « La règle 49/51, avec un partenaire comme la France, et tous les projets qu’on fait ensemble commence à être connue des deux côtés. On a pensé à cette problématique des PME. Avec le ministère des Finances, nous réfléchissons sur une banque de financement qui serait orientée vers les projets en partenariat avec des PME qui ne peuvent pas être prises en charge de la même manière que les grands groupes industriels » a-t-il indiqué avant de préciser : « Cette idée est en train de faire son chemin. Ça pourra donner de l’assurance et de la visibilité ».

    Jean Louis Bianco : « nous vivons avec la règle des 49/51 »

    De son côté, Jean Louis Bianco, représentant spécial pour les relations Algéro-française a voulu atténuer les propos de Larcher sur la règle 49/51 : « Nous vivons avec la règle 49/51 ; cette règle est la responsabilité du gouvernement algérien de l’appliquer ou de la changer. Elle pose parfois des difficultés, c’est vrai notamment pour les PME. Mais encore une fois, notre travail est de faciliter l’aboutissement des projets dans le cadre des règles que le gouvernement algérien se fixe lui-même ».

    Et de souligner » la volonté des entreprises françaises mais aussi du gouvernement français de s’inscrire pleinement dans la politique économique menée par l’Algérie ». Et d’ajouter : « Je peux affirmer sans risque d’être démenti que notre partenariat est confiant, dynamique et ambitieux. Nous parlons de plus en plus d’avenir, avec des projets nouveaux et de moins en moins du passé les difficultés liées aux contentieux se règlent et on avance »

    tsa

  • #2
    SALAM

    Commentaire


    • #3
      Je crois que ce Ministre devait garder un peu le secret des négociations pour éviter de se faire coincer par les négociateurs en étant obligé d'accorder beaucoup de concessions pour attendre les objectifs annoncés.

      Commentaire

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