Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Un historien marocain « recherché pour atteinte à la sûreté de l’Etat »

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Un historien marocain « recherché pour atteinte à la sûreté de l’Etat »

    Le professeur Maâti Monjib, un éminent historien de la vie politique marocaine à l’université Mohammed V de Rabat, a découvert récemment lors d’un contrôle policier à l’aéroport Mohamed V qu’il était « recherché par la police pour atteinte à la sûreté de l’Etat ».

    Le policier qui l’a contrôlé, ainsi qu’un responsable policier présent, lui ont confirmé qu’il était bien recherché par la police.

    Le professeur Monjib, auteur de plusieurs ouvrages sur la monarchie marocaine, Mehdi Ben Barka et les islamistes, a été laissé en liberté mais il ne sait toujours pas les raisons qui ont poussé la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) à émettre cet avis de recherche qui concerne généralement les terroristes islamistes.

    En fait, Maati Monjib est le président de Freedom Now, une association de défense de la liberté d’expression que le ministère de l’intérieur refuse obstinément, comme c’est son habitude, et sans fournir d’explications, de légaliser.

    Etre journaliste ou défendre la liberté d’expression sont devenus des « hobbys » dangereux au Maroc.

    Selon des sources dignes de foi, le professeur Monjib vient d’être convoqué par téléphone à la Brigade nationale de police judiciaire (BNPJ), mais le prétendu agent qui l’a appelé sur son portable n’a pas voulu lui en préciser les raisons.

    Après consultation avec ses avocats, Monjib a décidé de ne pas donner suite à cette étrange convocation verbale.

    Rédaction Demain 15 septembre 2015

    Communiqué du Comité de Protection de la Liberté de Presse et d'Expression au Maroc :

    http://www.demainonline.com/wp-conte...44989028_n.jpg

  • #2
    Le régime pro-sioniste marocain est effrayé par le écrits de l'historien marocain sur les vérités de l'Histoire du Maroc et par ses activités pour la liberté de la presse ??

    Commentaire


    • #3
      Le policier qui l’a contrôlé, ainsi qu’un responsable policier présent, lui ont confirmé qu’il était bien recherché par la police
      La police ne laisse pas qlq un qu'elle recherche rentrer chez lui
      mais il est embarqué illico presto et ramené au poste

      C'est peu bizare cette affirmation
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

      Commentaire


      • #4
        Maroc: la société civile se dit de plus en plus victime de répression

        Par RFI Publié le 13-09-2015 Modifié le 13-09-2015 à 14:21


        La société civile marocaine dénonce un climat de répression de plus en plus fort au Maroc. L'universitaire marocain Maâti Monjib, président de l'association Freedom Now, se dit aujourd'hui lui-même recherché par la police de son pays pour « atteinte à la sécurité de l'Etat », une nouvelle forme de pression suite aux menaces de mort déjà reçues par l'universitaire ces dernières semaines.

        « La police m’a appelé au téléphone pour que je me présente dans leurs locaux pour interrogatoire et mes avocats m’ont donc conseillé de ne pas y aller sans qu’il y ait de convocation écrite qui respecte les formes de la loi, raconte Maâti Monjib au micro de RFI. Donc je suis, si vous voulez, recherché. »

        Très actifs dans le domaine de la société civile, Freedom Now organise des formations pour journalistes, « pour faire une investigation via les portables par exemple. Tout ça, eux, ils croient que c’est dangereux pour l’Etat. Donc toutes nos activités depuis le mois de septembre, qui visaient à former des journalistes dans le multimédia, ont été interdites. Aussi, j’ai subi des pressions parce que je venais de publier un article démasquant les méthodes de la police. C’est une politique répressive, on ne peut pas contrôler la classe politique marocaine et les opposants de cette façon-là. »

        Ainsi, dans le rapport de Freedom Now, ces méthodes ont été condamnées. Et Maâti Monjib de conclure : « Ils se vengent donc de Freedom Now, en me poursuivant pour atteinte à la sécurité de l’Etat. »

        Commentaire


        • #5
          La police l'a appelée au téléphone pour se présenté au commissariat,s'il était recherché,La police aurait dû se présenté chez lui.Mais avant la police des frontières l'a empêchée de quitter le territoire sans l'arrêter.La police est devenue respectueuse de la loi pas de mandat pas d'arrestation.

          Commentaire


          • #6
            Beaucoup de verbal dans cette histoire, ça vaut ce que ça vaut

            Commentaire


            • #7
              Elle est un peu tirée par les cheveux cette histoire.

              Commentaire


              • #8
                hakim
                je le crois aussi.

                Commentaire

                Chargement...
                X