Comme à l’accoutumée, à l’approche de chaque fête religieuse, les prix des produits de large consommation, enregistrent des augmentations vertigineuses. À quelques jours de la fête de l’Aïd qui sera célébrée le 24 septembre, les prix des fruits et légumes flambent.Au marché Clauzel, à Alger, le prix de la tomate oscille entre 100 et 120 dinars, selon les commerçants. Le poivron est proposé au même prix. La salade est cédée à 160 dinars le kilo. Le même prix est affiché pour les haricots verts, la betterave à 100 dinars le kilo. Le citron flambe à 450 dinars le kilo !
On retrouve les mêmes prix au marché de Meissonier. Du côté des fruits, les prix ne sont pas du tout cléments. Le raisin local atteint les 140 dinars, les poivres les 120 dinars, et le melon est affiché à 60 dinars le kilo.
Les prix de la viande ne dérogent pas à cette règle. Le poulet est affiché à 330 dinars le kilo, l’escalope à 700 dinars, la viande locale d’agneau cédée à 1400 dinars, alors que celle importée est affichée à 900 dinars le kilo.
Les clients, courroucés par ces augmentations vertigineuses, dénoncent l’attitude peu scrupuleuse de certains commerçants. « Les commerçants profitent de ces occasions pour s’enrichir au détriment du consommateur, qui est déjà épuisé par la rentrée sociale, et l’achat du mouton de l’Aïd. Je profite de cette occasion pour dénoncer l’absence totale des contrôleurs du ministère du Commerce qui n’assurent pas leur rôle de contrôler les prix » dénonce, Hamid, un septuagénaire rencontré au marché de Meissonier.
De leur côté, les commerçants justifient ces augmentations, par le manque de production locale, d’une part. Et d’autre part, par la spéculation qui règne dans les marchés de gros.
Par ailleurs, la déprécation du dinar- qui a perdu presque de 30 % en un an face au dollar – a engendré une hausse des prix des produits importés. C’est le cas notamment pour les détergents, les biscuits, lait en poudre pour bébé et pour les légumes secs tels que le haricot blanc et les lentilles. Ces derniers ont connu des augmentations oscillantes entre 30 et 80 dinars. Il est a souligné également que le prix du sucre a atteint les 85 dinars le kilo, alors qu’il était cédé, il y a un mois de cela à 70 dinars le kilo.
TSA
On retrouve les mêmes prix au marché de Meissonier. Du côté des fruits, les prix ne sont pas du tout cléments. Le raisin local atteint les 140 dinars, les poivres les 120 dinars, et le melon est affiché à 60 dinars le kilo.
Les prix de la viande ne dérogent pas à cette règle. Le poulet est affiché à 330 dinars le kilo, l’escalope à 700 dinars, la viande locale d’agneau cédée à 1400 dinars, alors que celle importée est affichée à 900 dinars le kilo.
Les clients, courroucés par ces augmentations vertigineuses, dénoncent l’attitude peu scrupuleuse de certains commerçants. « Les commerçants profitent de ces occasions pour s’enrichir au détriment du consommateur, qui est déjà épuisé par la rentrée sociale, et l’achat du mouton de l’Aïd. Je profite de cette occasion pour dénoncer l’absence totale des contrôleurs du ministère du Commerce qui n’assurent pas leur rôle de contrôler les prix » dénonce, Hamid, un septuagénaire rencontré au marché de Meissonier.
De leur côté, les commerçants justifient ces augmentations, par le manque de production locale, d’une part. Et d’autre part, par la spéculation qui règne dans les marchés de gros.
Par ailleurs, la déprécation du dinar- qui a perdu presque de 30 % en un an face au dollar – a engendré une hausse des prix des produits importés. C’est le cas notamment pour les détergents, les biscuits, lait en poudre pour bébé et pour les légumes secs tels que le haricot blanc et les lentilles. Ces derniers ont connu des augmentations oscillantes entre 30 et 80 dinars. Il est a souligné également que le prix du sucre a atteint les 85 dinars le kilo, alors qu’il était cédé, il y a un mois de cela à 70 dinars le kilo.
TSA
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