11:52 samedi 19 septembre 2015 | Par Hadjer Guenanfa | Actualité | TSA
La crise actuelle que traverse l’Algérie n’est pas « la conséquence exclusive de la chute des revenus pétroliers », estime le FFS dans un communiqué publié ce samedi 19 septembre à l’issue du Conseil national du parti.
« En panne d’une vision et d’un projet d’avenir, le pouvoir est en train d’exploiter l’aspect économique d’une crise multidimensionnelle pour faire peur à la population et neutraliser toute aspiration politique au changement pacifique et démocratique du système », ajoute le FFS. « Le FFS tient le pouvoir pour responsable de tout ce qui pourrait provoquer l’irréparable », prévient-il.
Le FFS accuse le pouvoir d’agir comme un « pompier pyromane » qui « impose des mesures d’austérité qui menacent les acquis sociaux des Algériennes et des Algériens ».
Dans ce contexte, le plus vieux parti d’opposition qui a longtemps dénoncé les méthodes de la police politique ne commente pas le limogeage du général Toufik. Il se contente d’une interrogation : « Les restructurations menées dans l’administration civile et militaire avec la désignation de nouveaux responsables dans les entreprises publiques, les wilayas, le gouvernement et l’Armée ne visent-elles pas à pérenniser le système ? ».
La crise actuelle que traverse l’Algérie n’est pas « la conséquence exclusive de la chute des revenus pétroliers », estime le FFS dans un communiqué publié ce samedi 19 septembre à l’issue du Conseil national du parti.
« En panne d’une vision et d’un projet d’avenir, le pouvoir est en train d’exploiter l’aspect économique d’une crise multidimensionnelle pour faire peur à la population et neutraliser toute aspiration politique au changement pacifique et démocratique du système », ajoute le FFS. « Le FFS tient le pouvoir pour responsable de tout ce qui pourrait provoquer l’irréparable », prévient-il.
Le FFS accuse le pouvoir d’agir comme un « pompier pyromane » qui « impose des mesures d’austérité qui menacent les acquis sociaux des Algériennes et des Algériens ».
Dans ce contexte, le plus vieux parti d’opposition qui a longtemps dénoncé les méthodes de la police politique ne commente pas le limogeage du général Toufik. Il se contente d’une interrogation : « Les restructurations menées dans l’administration civile et militaire avec la désignation de nouveaux responsables dans les entreprises publiques, les wilayas, le gouvernement et l’Armée ne visent-elles pas à pérenniser le système ? ».
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