Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Comment Toufik a perdu l’ultime bataille

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Comment Toufik a perdu l’ultime bataille

    Comment Toufik a perdu l’ultime bataille

    Liberté - ar Lyas Hallas le 21-09-2015 10:00

    Une mise à la retraite rendue nécessaire par les impératifs de restructuration des services de renseignement ou résultat de règlements de comptes entre généraux rivaux qui se disputaient le pouvoir réel de décision ? Deux thèses s’opposent pour analyser le limogeage du général Toufik, jusque-là l’homme le plus influent du pays. Décryptage…

    Les hostilités entre le général de corps d’armée, Mohamed Mediène dit Toufik, désormais ex-chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), et le nouveau patron de la maison, qui n’est autre que l’ex-n°2, Athmane Tartag dit Bachir, ont commencé dès le limogeage de ce dernier dans la foulée de l’affaire Tiguentourine.
    Cette attaque terroriste de janvier 2013 qui s’est soldée par la plus grande prise d’otages de l’histoire, dénouée dans le sang avec la perte d’une quarantaine de ressortissants étrangers et l’arrêt du site gazier de Tiguentourine dont la production représente 15% des exportations algériennes, devait être punie et la responsabilité de Bachir était donc engagée au même titre que celle de son chef qui dirige le pays depuis un quart de siècle.
    Mais, au lieu d’assumer son échec et démissionner, Toufik, dont la position est ébranlée au sein de l’establishment militaire suite à cet attentat, a sacrifié son poulain Bachir qu’il a lui-même rappelé en 2011 pour gérer la situation sécuritaire que le chaos provoqué par la chute des régimes politiques dans plusieurs pays voisins risquait d’impacter.
    Toufik a fait alors valoir l’efficacité du Service de coordination opérationnelle et de renseignement antiterroriste (Scorat) du général Abdelkader Aït Ourabi dit Hassan, qui aurait alerté contre un imminent attentat ciblant des installations pétrolières deux semaines avant la prise d’otages.
    Un affront que Bachir n’a jamais digéré, lui qui s’est sacrifié dans la sale besogne qu’on lui avait confiée durant la décennie 1990, en usant de méthodes exécrables qui lui ont valu de prendre la tête des listes noires de la plupart des ONG de défense des droits de l’Homme. Sauf que Bachir, qui venait de sortir d’une longue traversée du désert imposée par la mise en œuvre de la politique de réconciliation, a bien ficelé ses alliances cette fois-ci.
    D’autant que l’argument de Toufik imputant en partie la responsabilité dans la prise d’otages de Tiguentourine aux responsables de l’état-major qui n’auraient pas exploité convenablement les renseignements, mêmes tronqués, obtenus par les éléments de Hassan sur le plan des assaillants. Il n’y avait donc pas mieux pour se mettre dans les bonnes grâces du chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah dont la rancœur vis-à-vis de Toufik est de notoriété publique depuis que ce dernier, en accord avec l’ancien chef d’état-major, feu Mohamed Lamari, avait suggéré au président de la République de le mettre à la retraite en 2004. Cette alliance Gaïd Salah-Tartag a scellé le sort de Toufik quelques mois avant l’élection présidentielle d’avril 2014.

    Gaïd Salah-Tartag : le duo qui a scellé le sort de Toufik
    L’hospitalisation du président de la République au Val-de-Grâce en avril 2013 et l’opposition de Toufik au 4e mandat ont fait le reste. La panique qui s’est emparée du clan présidentiel face à la réticence du faiseur attitré de présidents l’a contraint à se mettre sous le parapluie du duo Gaïd Salah-Tartag qui a profité de la situation pour la redistribution des cartes au sein de l’institution militaire, colonne vertébrale du régime et source du pouvoir en Algérie.
    Un Bouteflika diminué, qui n’est plus maître de ses actes et à qui on attribue symboliquement les décisions, est l’instrument adéquat pour faire le nécessaire en vue de torpiller Toufik jusque-là l’homme le plus puissant du pays. Et, il n’en fallait pas plus pour que le duo Gaïd Salah-Tartag mette la machine en branle. En s’appuyant sur Tartag qui connaît bien le DRS et ses méthodes, Gaïd Salah a bloqué toutes les velléités d’opposition de Toufik au 4e mandat. Ainsi, la bravade signée par le SG du FLN Amar Saâdani, deux mois avant le scrutin, contre Toufik, un entretien accordé au journal électronique TSA et qui ressemble à un audit de l’activité du DRS sous le commandement du général Mohamed Mediène, est venue démystifier le département le plus redouté en Algérie.
    C’était pour baliser le terrain à la restructuration du DRS qui participe de la stratégie de Gaïd Salah et Tartag visant à affaiblir Toufik. Si Tartag, même sans poste après son limogeage, peut se prévaloir de réseaux aux ramifications tentaculaires, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, son rappel à la Présidence comme conseiller, quelques mois après la bravade de Saâdani, l’a encore légitimé dans son action.
    Ce faisant, toutes les structures qui ne relèvent pas des métiers de base du renseignement ont été enlevées à Toufik, soit en les rattachant à l’état-major, soit, carrément, en les dissolvant. Il a fallu aussi neutraliser les concurrents potentiels aspirant au poste qu’occupe Mohamed Mediène.
    L’arrestation du général Hassan dans des conditions qui restent encore à élucider et le limogeage du général Kehal Medjdoub dit Djamel, chef de la Direction générale de sécurité et de la protection présidentielle (DGSPP), après “l’incident de Zéralda”, au demeurant deux hommes de confiance de Toufik, ont ouvert la voie à Tartag pour imposer son autorité au sein du DRS. De la sorte, Gaïd Salah et Tartag ont poussé Toufik vers la sortie, lui laissant suffisamment de temps pour démissionner et préserver son honneur.
    Mais, lui n’a pas su quitter la table. Ce qui s’est passé n’augure en tout cas ni d’un changement dans l’attitude du régime ni n’intègre une démarche de modernisation des services de renseignement en les recentrant sur leur métier. Cela a juste recentré la décision autour d’un autre noyau du régime et d’un nouveau marionnettiste.
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Belle théorie qui nous n'explique pas dans quelles conditions ont été faites les nominations des nouveaux patrons de la gendarmerie et de la garde républicaine. Ils seraient donc l'émanation du duo Tertag Gaid Salah!!!

    PS: Intéressant de voir le positionnement de ce journal qui ne veut même pas développer l'autre thèse...oeilfermé
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      Et quelle est donc l'autre thèse, car actuellement il y en a une dizaine. Et je compte pas les contradictions. A l'image de la soit disant gestion catastrophique de Tiguentourine, si c'est le cas comment expliquer la promotion de Tertag celui qui a géré les opérations sur le terrain. De plus comment le DRS aurait pu savoir que le site de Tiguentourine était visé alors qu'on sait aujourd'hui que le plan initiale était de détourner le bus des expat qui faisait la navette à heure fixe et à jour fixe entre la base et l'aéroport, et c'est l'échec de cette attaque du fait du renforcement de l'escorte de gendarme, l'escorte avait été doublé certainement suite à une alerte du DRS, que le groupe terroriste prend le site comme lieu de replis.
      Dernière modification par éliamine, 21 septembre 2015, 20h43.

      Commentaire


      • #4
        ah, si je suis président, Je vais changer le monde et livrer le bon combat si seulement l'algérien accepte de relever le défi.

        Si je suis président ma cher Algérie,

        - je ferai régner la justice est-ce seulement (faire) appliquer le droit et condamner les voleurs à commencer par les 2 frères Bouteflika? et les voir souffrir et donner son droit au faible, au pauvre et à l'orphelin
        - je ferai connaitre ce beau visage vierge d'Algérie au monde, que ce pays mérite et peut être fort , puissant et un modèle aux autres pays
        - je ferai taire les canons et désarmer l’impérialisme dans le monde
        - je ferai régner la paix , l'humanité là réclame et la violence ne saurait avoir le dernier mot

        Mais je ne suis pas un Omar Ibn Khetab, 2 eme Kalif de l'islam, si non je marcherai sur Damas comme soldat de paix et arrivé à Jérusalem, je ferai ma 1 er prière à la mosquée El Qods pour cause d'une mission peut être bien accomplis et ce jour là je pourrai mourir en paix, pas comme un grand homme bien sur, mais comme un <<simple être humain juste>>.
        voila ce que L'Algérie et l'islam attend de vous depuis 15 ans ya Bouteflika, que dira tu demain à Allah et qu'el histoire lissera tu derrière toi ya Bouteflika! hormis celui d'un SARAK, KADHAB, avide de pouvoir et haineux
        Oui je retiens en toi que tu es le plus mouvais des présidents et même la malédiction que l'Algérie n'a jamais connu.

        HONTE A VOUS, YA KADHAB, ya AKAL MAL EL YATIME
        Dernière modification par wilams, 21 septembre 2015, 20h57.
        Éclairer les nations encore obscures.

        Commentaire


        • #5
          La vérité zappée avec classe

          Un peu de vrai dans un article de faux ... reste à comprendre l'affaire de zeralda.

          Commentaire


          • #6
            Et quelle est donc l'autre thèse, car actuellement il y en a une dizaine. Et je compte pas les contradictions. A l'image de la soit disant gestion catastrophique de Tiguentourine, si c'est le cas comment expliquer la promotion de Tertag celui qui a géré les opérations sur le terrain. De plus comment le DRS aurait pu savoir que le site de Tiguentourine était visé alors qu'on sait aujourd'hui que le plan initiale était de détourner le bus des expat qui faisait la navette à heure fixe et à jour fixe entre la base et l'aéroport, et c'est l'échec de cette attaque du fait du renforcement de l'escorte de gendarme, l'escorte avait été doublé certainement suite à une alerte du DRS, que le groupe terroriste prend le site comme lieu de replis.
            Il suffit de lire l'introduction de l'article pour connaitre quelle est l'autre thèse de ce journaliste...

            Une mise à la retraite rendue nécessaire par les impératifs de restructuration des services de renseignement ou résultat de règlements de comptes entre généraux rivaux qui se disputaient le pouvoir réel de décision ? Deux thèses s’opposent pour analyser le limogeage du général Toufik, jusque-là l’homme le plus influent du pays. Décryptage…
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              le meilleur article une analyse enfin à la hauteur de l'événement

              Toufik Mediène, l'homme et le système

              par Abed Charef
              L'année 2014 a été celle du quatrième mandat. 2015 sera celle du départ de Toufik Mediène.

              Avec ses larges lunettes et son costume soigné, Toufik Mediène a l'air d'un paisible père de famille. A voir les images et les premières vidéos diffusées après son départ de la tête du DRS, il est difficile d'imaginer que cet homme de taille à peine moyenne, à l'air serein, pouvait être le redoutable patron d'un appareil qui a tenu le pays pendant deux décennies. Encore plus difficile d'imaginer que cet homme a réussi à devenir, de son vivant, un véritable mythe, en entretenant le mystère autour de sa personne.

              A t-il délibérément créé et entretenu, autour de sa personne, ce mystère né, à la fois du poids omniprésent attribué aux services, d'une absence de photos, et d'une vie politique très spécifique? Ou bien a-t-il, simplement, surfé sur la vague, laissant s'épaissir un mystère entretenu dans les rédactions et les milieux politiques et associatifs, avant que la contagion n'atteigne les chancelleries? Toujours est-il que l'intrigue s'est transformée en un véritable roman d'espionnage, quand le prénom « Toufik » est devenu familier à tous les Algériens, alors qu'en dehors d'un cercle très restreint, personne ne savait, réellement, de qui il s'agissait.

              Aujourd'hui encore, personne n'est en mesure de dire son âge exact, ni où il est né, et où il a grandi. Seules certitudes, il a rejoint le MALG très jeune, il a subi très tôt une formation à l'école du KGB, et il a fait toute sa carrière dans les fameux « services », à l'exception d'un court séjour en Libye comme attaché militaire, au milieu des années 1980. Très proche de Chadli Bendjedid, qui a favorisé son ascension, il a réussi une prouesse unique à partir du début des années 1990 : plus il était puissant, et moins on le connaissait.

              FEDERATEUR PLUTOT QUE CHEF

              Sa puissance, il l'a tirée de sa capacité à fédérer des forces et des courants disparates. Face à la prise du pouvoir imminente par le FIS, en 1991, il est déjà un élément clé du cercle des généraux « janviéristes », auxquels il survivra tous. Avec la montée du terrorisme et la dislocation de la vie politique, le DRS se retrouve, progressivement, au cœur du pouvoir et du jeu politique. C'est, donc, un nouveau retour de balancier : en période de crise et de tension, les « services » prennent du service ; en période de calme et de détente, ils perdent leur préséance, face à leur éternel allié-rival, l'état-major de l'Armée.

              Cette règle est en vigueur, depuis la montée en puissance du MALG et de son fondateur, Abdelhafidh Boussouf, à la fin des années cinquante. Boussouf a réussi à placer ses hommes dans les rouages essentiels de l'Etat algérien en construction, qu'il a réussi à contrôler. Alors qu'il paraissait sur le point de prendre le pouvoir, il a été balayé, à l'indépendance, par l'état-major, dirigé par Houari Boumediene. Celui-ci s'est de nouveau appuyé sur l'état-major pour éliminer Ahmed Ben Bella : c'est le chef d'état-major lui-même, Tahar Z'Biri, qui a procédé à l'arrestation de M. Ben Bella, le 19 juin 1965, avant de tenter un coup d'Etat contre Boumediene.

              Cette relation services-état-major a marqué l'histoire de l'Etat algérien naissant. Boumediene a dissous l'état-major pour s'appuyer sur les « services ». C'est d'ailleurs à cette époque que la Sécurité militaire est devenue célèbre, en Algérie comme à l'étranger.

              DRS - ETAT-MAJOR : UN DUO TRES ANCIEN

              Chadli Bendjedid, de son côté, a clairement tenté de réduire le pouvoir des « services », et a réhabilité l'état-major de l'Armée. Ses choix furent malheureux : à l'état-major, il a nommé un général qui finira en prison et un autre qui participera à sa destitution, alors qu'à la tête des services, il a choisi des hommes qui lui ont causé de sérieux ennuis : Lakehal-Ayat n'a pas su éviter les violations des Droits de l'Homme, en octobre 1988, et Toufik Mediène a joué la survie du système en 1992. Sans oublier Mohamed Betchine, désigné pour remplacer Lakehal-Ayat, et qui se révèle comme un homme totalement décalé par rapport à cette période d'ouverture démocratique.

              Toufik Mediène a compris cette évidence : la solidité du régime réside dans une alliance sans faille entre l'état-major et le DRS. Mohamed Lamari, en disgrâce peu après l'arrêt du processus électoral, a été repêché, pour finir chef d'état-major. L'Armée et le « cœur atomique » du pouvoir, le DRS, ont mené, ensemble, la lutte antiterroriste. Ils en ont assumé, ensemble, les dérives, et le système a tenu le choc. Le déclin de Khaled Nezzar et la conjoncture sécuritaire ont, naturellement, débouché sur la prééminence de Toufik Mediène et du DRS, qui avait l'ingénierie nécessaire. Le DRS est devenu le ciment et le garant de cette alliance, qui a duré plus d'une décennie.

              LA SURVIE DU REGIME N'EST PLUS MENACEE

              Une fois la tempête passée, il fallait faire le bilan. Il y avait le butin, certes, mais aussi les dégâts.La survie du régime et de ses hommes n'est plus menacée. Les alliés d'hier peuvent se retirer, en mettant, toutefois, en place quelques verrous. A l'ère de l'Internet, de Wikileaks et de Snowden, un système basé sur le DRS était devenu une absurdité. Il est ingérable.

              Aujourd'hui, le Président Bouteflika n'a aucun intérêt à prendre des décisions qui menaceraient le système. Bien au contraire, il sait que sa propre survie dépend de celle du système. Mais comment donner l'illusion que le système est fini, alors que les pouvoirs, formels et informels, exercés jusque-là, par le DRS sont simplement transférés ailleurs ?

              Le Président Bouteflika et les siens pensent qu'ils vont gagner du temps et dribbler les Algériens en entretenant la confusion entre le départ de Toufik Mediène et la fin du système DRS. Khaled Nezzar, Mohamed Lamarai, Smaïn Lamari, Mohamed Touati, Larbi Belkheir et Liamine Zeroual, Betchine sont tous des généraux de pouvoir, ils sont tous partis, mais le système est toujours là. Les Algériens le savent. Et, quitte à ce que cela apparaisse comme une provocation, ils finiront, peut-être, par se demander si le départ de Toufik Mediène n'est pas un ultime acte de fidélité au système.

              Commentaire


              • #8
                Ce qui est sure, c'est que le DRS et ses hommes qui avaient dans des étapes de succession pesé pour le choix du successeur, risque de ne être la régle cette fois ci. Même si le sauvetage du soldat Rayan, le Poutine algérien est l'espoir de certains de voir perdurer le prééminence de l'état DRS, au point de lâcher d'autres affidés, il semble que cette fois ci la succession obéisse à d'autres enjeux et d'autres cercles d'influence.

                Il y a dans cette étape, une nouveauté de taille, celle de la disparition de la génération révolutionnaire, et de la prise en commande d'une nouvelle génération qui semble moins prisonnière des sillons politiques depuis 56.

                Il faut espérer que cette nouvelle génération puisse définitivement s'affranchir des dilemmes politiques construits par les anciennes générations au pouvoir. Tout en consolidant le rôle régalien de l'armée dans la sécurité nationale, cette génération a une occasion historique d'engager le pays vers de nouveaux paradigmes politiques, qui accepte l'alternance. Le duo FLN/RND, comme seule exercice d'alternance est d'une stérilité déconcertante!!!!
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #9
                  quelle alternance
                  alternance sur un cheval momifier sa ne mène pas plus loin que son point de départ
                  le problème est un peuple en décadence incapable de s auto suffire et produire un peuple réanimer a coup de 20 milliard de dollars en subventions tous genre confondu, 3.5 milliard de dollars d importation en carburant a plus 1 dollars le litre vendu a 10% de son prix d achat deuxieme importateur de lait dans le monde voila un peuple a electro choquer au 380 sa passe ou sa cassera une bonne fois pour toute
                  Dernière modification par kaarimdz, 22 septembre 2015, 09h56.

                  Commentaire


                  • #10
                    il a subi très tôt une formation à l'école du KGB, et il a fait toute sa carrière dans les fameux « services », à l'exception d'un court séjour en Libye comme attaché militaire, au milieu des années 1980.
                    Quelle ascension !.. de lieutenant du DRS en Libye à Reb Dzair


                    Ott

                    Ce qui est sure, c'est que le DRS et ses hommes qui avaient dans des étapes de succession pesé pour le choix du successeur, risque de ne être la régle cette fois ci. Même si le sauvetage du soldat Rayan, le Poutine algérien est l'espoir de certains de voir perdurer le prééminence de l'état DRS, au point de lâcher d'autres affidés, il semble que cette fois ci la succession obéisse à d'autres enjeux et d'autres cercles d'influence.
                    Dommage que les services n'aient plus leur mot à dire !
                    Entre le DRS et Said Bouteflika.. mon choix serait vite fait

                    Commentaire


                    • #11
                      alternance sur un cheval momifier sa ne mène pas plus loin que son point de départ
                      C'est le cas du royaume des milles et une merveilles qui aseptise toute velléité politique vers une monarchie constitutionnelle, c'est pas le cas d'une république qui s'est construite sur une définition solitaire de la colonne vertébrale, face à des agressions étrangères indignes, et qu'il est tout à fait possible d'en redéfinir les fonctions et les rôles fondés sur des institutions et des membres vitaux et actifs... Parmi ses membres vitaux, se trouve une jeune population instruite et ouverte sur le monde qui fera la force de l'avenir de l'Algérie, n'en déplaise aux oiseaux de mauvais augure...
                      Othmane BENZAGHOU

                      Commentaire


                      • #12
                        Dommage que les services n'aient plus leur mot à dire !
                        Entre le DRS et Said Bouteflika.. mon choix serait vite fait
                        Je vois que tu es autant intoxiqué par les affidés du DRS que tu es prêt à croire n'importe quelle fable... Said est l’épouvantail qu'on t'a vendu, pour justifier le statut quo du DRS, et dire, c'est nous ou Said. La réalité c'est que ce sera ni eux, ni Said, mais les choses se jouent ailleurs...
                        Othmane BENZAGHOU

                        Commentaire


                        • #13
                          @ wiliams poste 4

                          Tu n'as pas besoin d'être Président pour rester fidèle à ton pays et sa glorieuse et ancestrale Histoire.

                          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X