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Issad Rebrab dénonce et accuse

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  • Issad Rebrab dénonce et accuse

    Est-ce que vous avez inondé le marché comme vous l’aviez annoncé pour faire face à la pénurie de sucre ?

    Bien sûr, nous sommes en train d’inonder le marché. Pour la seule journée du 17 septembre, nous avons livré 5 995 tonnes de sucre alors que les besoins du marché national sont évalués à 3 500 tonnes par jour. Nous avons constaté qu’il n’y a eu aucun problème d’approvisionnement à l’ouest et au centre du pays. À l’est, nous avons enregistré une demande plus importante que d’habitude dans les wilayas qui se trouvent sur les frontières avec la Tunisie et la Libye.

    Comment expliquez-vous cette pénurie ?

    Nous avons été confrontés à la même situation en 2013 avec le printemps arabe en Libye. Nous pensons qu’une partie du sucre livrée sur le marché a traversé les frontières et nous avons aujourd’hui réglé le problème en livrant d’avantage de sucre au niveau de ces régions.

    Donc, il ne s’agit pas d’une réédition du scénario de 2011 ?

    Beaucoup de gens croyaient qu’il y avait une pénurie de sucre et de l’huile alors que ça n’a jamais été le cas. En 2011, les services du (ministère) du Commerce, la gendarmerie et le fisc avaient créé une brigade. Celle-ci était partie contrôler les grossistes. Elle avait alors saisi toute marchandise dont les propriétaires ne disposaient pas de factures. Les grossistes s’étaient alors donnés le mot et avaient baissé rideaux. Un anneau de la chaîne de distribution a été rompu. Les épiceries et les superettes n’étaient donc pas alimentées alors que nos distributeurs n’arrivaient pas à vendre leurs marchandises.

    Cevital est régulièrement pointée du doigt. Pensez-vous qu’il y a une volonté de vous nuire ?

    Je ne sais pas. Mais il y a quelque chose que je ne comprends pas. J’ai lu récemment un article indiquant que j’étais déstabilisé par la chute du général Toufik et que j’étais en négociation avec les Chinois pour vendre 49% des parts de Cevital. Pourquoi je vais penser à vendre un fleuron comme Cevital à un étranger ou à des étrangers ? Dans tous les cas, il n’a jamais été question de vendre Cevital. Et si je voudrais le mettre en vente, je le ferais via la Bourse d’Alger car je considère que Cevital est, et restera, un patrimoine national !

    Étiez-vous proche du général Toufik ?

    Si j’étais proche du général Toufik, mes projets n’auraient pas été bloqués. Je vous signale que certains de nos projets sont bloqués depuis une dizaine d’années. Ils pensent que nous sommes proches de lui parce que nous avons réussi. Dans leur esprit, on ne peut pas réussir sans être proche du pouvoir.

    Abdelmalek Sellal a appelé les Algériens à travailler davantage. Pensez-vous qu’il sera écouté ?

    Je pense qu’il doit commencer par régler le problème des projets qui sont bloqués actuellement et dont il est au courant. La bureaucratie et les blocages ne sont pas au niveau des fonctionnaires mais au plus haut niveau de l’État ! En décembre 2012, Abdelmalek Sellal avait envoyé une commission interministérielle à Béjaïa pour notre projet de trituration de graines oléagineuses. Cette commission dirigée par l’actuel ministre des Travaux publics qui était secrétaire général du ministère de l’Intérieur à l’époque avait donné un avis favorable. Le rapport a été remis au Premier ministre. Pourquoi il n’a pas débloqué ce projet qui devait dégager trois milliards de dollars pour l’Algérie ?

    Le gouvernement se dit pourtant déterminé à encourager la production et les investisseurs dans un contexte marqué par la chute du prix des hydrocarbures…

    Parler, c’est simple ! Régler les problèmes des opérateurs, c’est une autre question. Comme vous le savez, un de nos plus grands ateliers -SAMHA à Sétif- a été ravagé par le feu en 2014 pendant le ramadan. Cela fait maintenant plus d’un an que nous prenons en charge 650 salariés, au chômage technique, en attendant la fin de la reconstruction de cette unité.

    Au mois de novembre 2014, mes services avaient déposé une demande d’autorisation d’importation d’une ligne de production de machines à laver neuves et ultramodernes. Pour des raisons de gain de temps, nous l’avons complétée par une ligne de production d’occasion rénovée pour la fabrication de tambours. Nous devions démarrer la production au mois de mars dernier pour permettre le plein emploi aux 650 salariés au chômage technique et exporter la quasi-totalité de la production pour une valeur de 80 millions d’euros par an. Mes services n’ont obtenu aucune réponse du ministère de l’Industrie.

    Comment avez-vous réagi ?

    En février 2015, j’ai contacté le secrétaire général de l’UGTA. Je lui ai dit : « Vous voulez qu’on crée des emplois et qu’on les maintienne ? Appelez votre ami le ministre de l’Industrie pour qu’il débloque notre projet ». Il en a effectivement parlé avec M. Bouchouareb. Ce dernier lui avait promis de le faire dans les jours qui suivraient. En réalité, rien n’a été fait. Fin avril 2015, lors d’une réception, j’ai fait rappeler au ministre de l’Industrie, M. Bouchouareb, le déblocage de notre ligne de production de machines à laver. Il me réitéra sa promesse de le faire au mois de mai. Promesse non tenue. Vers le 10 juillet 2015, j’ai demandé à M. Ali Haddad, président du FCE, d’intercéder auprès de son ami Bouchouareb pour les mêmes raisons. Le 15 juillet 2015, Ali Haddad m’appelle pour m’informer qu’il avait fait part de mes doléances à Monsieur le ministre de l’Industrie et que ce dernier lui a répondu qu’il ne pouvait donner une suite favorable et qu’il ne permettrait pas à M. Rebrab ou Cevital d’introduire du matériel d’occasion obsolète.

    J’ai introduit maintes demandes d’audience auprès de M. Bouchouareb – restées lettres mortes – pour lui démontrer que Cevital a toujours investi dans des équipements de dernière génération ce qui a toujours fait sa force dans la compétition internationale d’autant plus que cette ligne de production est orientée à 99% à l’exportation.

    Ce problème d’équipements vous a été formulé par le ministère de l’Industrie ?

    Les services du ministère de l’Industrie n’ont évoqué ce problème ni en novembre, ni en décembre, ni janvier, ni en février, ni en mars, ni en mai, ni en juin. Si Monsieur le ministre de l’Industrie nous avait répondu au mois de novembre ou décembre 2014, nous aurions pris nos dispositions pour passer commande d’une ligne neuve pour les tambours. Je n’aurai pas perdu 80 millions d’euros d’exportation pour une affaire de 4,5 millions d’Euros. Je n’aurais pas continué à payer les 650 salariés une année de plus, alors qu’ils sont au chômage technique. Ce qui est regrettable, c’est la discrimination car plusieurs dossiers d’équipements d’occasion pour d’autres opérateurs ont été signés.

    Où en êtes-vous actuellement ?

    Monsieur le Premier ministre a également été informé. Il a promis lui aussi de débloquer la situation mais rien n’a été fait à ce jour. Notre chaîne de production ne sera malheureusement opérationnelle qu’au mois de mars 2016 au lieu de mars 2015. Quelle perte de temps et d’argent ! Un véritable gâchis ! Comment nos décideurs peuvent-ils aujourd’hui prétendre encourager la production nationale, la création d’emplois et les exportations ?

    Vous ne croyez pas en l’existence d’une réelle volonté pour régler les problèmes auxquels sont confrontés les producteurs ?

    Je ne crois pas du tout à leur discours tant que les projets industriels ne sont pas débloqués. Certains le sont depuis plus de dix ans. M. Sellal et M. Bouchouareb sont au courant. Il me semble que nos décideurs n’ont ni la volonté politique, ni la vision, ni l’ambition pour notre pays.

    Des dispositions ont pourtant été prises pour régler certains problèmes dont celui du foncier industriel par exemple…

    Il y a un très grand fossé entre le discours et la réalité. Je vais vous donner un cas concret. Plusieurs sociétés sidérurgiques internationales nous ont contactés pour délocaliser (leurs activités) en Algérie ou vers le Maroc. On les a convaincus de choisir l’Algérie. J’ai contacté un wali et lui ai présenté le projet qui devrait créer 5 000 postes d’emploi et faire passer notre pays du stade d’importateur à celui d’exportateur pour les produits sidérurgiques.

    J’ai demandé un site de 150 hectares pour loger tout le projet. Au départ, il m’avait donné son accord. Il m’avait demandé d’envoyer mes collaborateurs. Ces derniers se sont déplacés. On leur a dit que le terrain n’était pas encore déclassé, que le dossier doit être envoyé au Premier ministère et qu’on ne peut pas leur donner 150 hectares mais 25, 30 ou à la limite 50 hectares. Je recontacte le wali qui m’a affirmé : « Je n’y peux rien. Si vous voulez débloquer la situation, vous voyez avec le Premier ministre ».

    Il m’a dit qu’il ne pouvait s’occuper que des PME/PMI. Les grands projets ne sont pas de son ressort mais de celui du ministère de l’Industrie. Je suis extrêmement surpris que les décideurs gèrent la pénurie du foncier industriel au lieu de gérer l’abondance. Comment peut-on développer l’industrie nationale, créer des emplois, diversifier l’économie, quand on fait de la rétention du foncier industriel dans le plus grand pays d’Afrique. Comment peut-on demander à un investisseur qui doit orienter une partie de sa production à l’exportation d’aller investir dans le Sud du pays ? Est-ce qu’ils comprennent réellement ce qu’est la compétitivité ? Quel est le coût de la logistique ? Est-ce qu’ils pensent qu’on peut exporter si on n’est pas compétitifs par rapport à la concurrence internationale ?

    D’un côté, ils (décideurs) réunissent les walis pour leur dire, selon ce que j’ai lu dans la presse : on vous donne les pleins pouvoirs, développez vos régions, vous serez notés sur le nombre d’emplois crées et l’attractivité de votre région pour les investisseurs. D’un autre côté, il n’y a aucune prise de décision possible.

    Est-ce que vous comptez réintégrer le FCE ?

    À quoi cela pourrait me servir ? Aujourd’hui, le FCE appelle le pouvoir à libérer l’initiative. Il n’est pas écouté.

    Quel impact aura la dévaluation du dinar sur les entreprises ?

    D’abord, je voudrais préciser quelque chose. Certains journaux ont évoqué la baisse des prix des matières premières sur les marchés internationaux en se demandant pourquoi elle n’a pas été répercutée sur les prix des produits en Algérie. Ils ont oublié que le dinar a été dévalué de 20 à 25%. S’il n’y avait pas eu cette baisse des prix des matières premières, on aurait augmenté nos prix à cause de la dévaluation du dinar. Ensuite, il faut savoir qu’il y a une baisse de la consommation dans le monde entier et les prix des matières premières ont chuté à tous les niveaux. Ce qui fait qu’il y a une offre qui est bien supérieure à la demande. Dans l’immédiat, il n’y aura pas d’augmentation des prix en Algérie.

  • #2
    Est-ce que cette dévaluation du dinar est bénéfique pour Cevital puisqu’il s’agit d’un groupe qui exporte ?

    Pour les exportateurs, c’est une excellente chose. Certes, nos nouveaux investissements vont nous coûter 20% à 25% plus cher, mais la dévaluation ne pose pas de problèmes pour Cevital. Le groupe a besoin qu’on libère l’économie pour qu’il puisse produire et exporter. Vous savez bien que dans cinq ans (2020), on aura 10 millions de nouveaux demandeurs d’emplois. Dans moins de dix ans, la population algérienne atteindra 50 millions d’habitants. Nous allons consommer plus de gaz, d’électricité et de carburant qui vont venir en déduction des quantités exportées aujourd’hui. Dites-moi, avec quoi vous allez faire face à cette situation ?

    Pensez-vous que ce soit les projets d’Issad Rebrab qui posent problème ?

    Moi, je pose une question aux décideurs de ce pays : est ce qu’ils ont réellement une volonté politique pour débloquer la situation ? Je suis écœuré et en colère devant l’inertie et les blocages du ministre de l’Industrie qui bloque le secteur industriel et le Premier ministre qui ne fait rien pour débloquer la situation. Ils (décideurs) vont mener le pays à la catastrophe. Ils sont incapables de convaincre le Président pour libérer les initiatives, libérer l’entreprise pour la création de richesse et d’emplois. Pourtant le FCE et son président qui font partie de leurs amis ont insisté à plusieurs reprises pour libérer les initiatives.

    Pourquoi ils sont sourds ? Pourquoi ils sont autistes ? Pourquoi ils reçoivent les entrepreneurs étrangers et ne répondent même pas au courrier et au téléphone pour certains entrepreneurs algériens en dehors de leurs amis ?

    Pourtant ils savent bien que seule l’entreprise productive diversifiée est la seule garante d’un développement durable, de la création d’emplois et de richesses durables. Pourquoi nous empêchent-ils de participer à la construction de notre pays ? Est-ce qu’ils considèrent que ce pays est leur patrimoine ? Qu’ils sachent que l’Algérie n’est le patrimoine de personne, elle appartient à tous les Algériens !


    tsa

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    • #3
      Issad Rebrab dénonce les manœuvre de régionalisme de certain clan qui veut profiter du départ de l'ex patron de la DRS
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        Vers le 10 juillet 2015, j’ai demandé à M. Ali Haddad, président du FCE, d’intercéder auprès de son ami Bouchouareb pour les mêmes raisons. Le 15 juillet 2015, Ali Haddad m’appelle pour m’informer qu’il avait fait part de mes doléances à Monsieur le ministre de l’Industrie et que ce dernier lui a répondu qu’il ne pouvait donner une suite favorable
        C'est à ne rien comprendre !.. Haddad intercédant pour Rebrab

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        • #5
          C'est à ne rien comprendre !.. Haddad intercédant pour Rebrab
          Au contraire, certains ont bâti des montagnes de théories fumeuses. Le protecteur de Rabrab fut feu Smail, et le retraité Touati (tiens, ami commun avec Haddad), et depuis qu'il est mort, ses projets sont bloqués par les rivaux de Smail , cherchez qui....

          Rabrab développe un discours économique cohérent. Mais à force d'avoir pompé les subventions publiques pour s'enrichir, il a tendance à prendre son monde pour les vaches à lait qui ont fait sa fortune!!! Quand on a bâti sa fortune dans les jardins du pouvoir, et ses privilèges, il ne faut pas s'étonner qu'ils cessent du jour au lendemain, quand il prend son monde pour des imbéciles, et qu'on ramène une chaîne de production Brandt-Fagor d'occasion pour remplacer les équipements Samsung volatilisés avec l'incendie qui a ENCORE frappé Rabrab au bon moment!!!

          Cependant, l'Algérie a besoin de toutes ses énergies, et il est regrettable que la bureaucratie bloque les investissements...
          Dernière modification par ott, 23 septembre 2015, 12h07.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            Cependant, l'Algérie a besoin de toutes ses énergies, et il est regrettable que la bureaucratie bloque les investissements...
            Tiens tiens, on change de discours!!! Apparemment, le vent tourne et on s'adapte comme on peut!oeilfermé
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              Tiens tiens, on change de discours!!! Apparemment, le vent tourne et on s'adapte comme on peut!
              Il y a une différence entre changer de discours, et avoir des problèmes de lecture!!! Ce forum est publique est ouvert, prolixe en prises de positions sur une panoplie de sujets, pour savoir si c'est le discours ou la lecture qui est faussée...
              Othmane BENZAGHOU

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              • #8
                ott

                quand il prend son monde pour des imbéciles, et qu'on ramène une chaîne de production Brandt-Fagor d'occasion pour remplacer les équipements Samsung volatilisés avec l'incendie qui a ENCORE frappé Rabrab au bon moment!!!
                Arnaque à l'assurance ?..

                ps: je reproche à Rebrab son appétit vorace.. et ses marges bénéficiaires demeurées !
                Dernier exemple en date.. la commercialisation d'une Fiat Punto (dépourvue de tout équipent de confort et sécurité) au prix de 145 millions centimes oeilfermé

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                • #9
                  je reproche à Rebrab son appétit vorace.. et ses marges bénéficiaires demeurées !
                  Dernier exemple en date.. la commercialisation d'une Fiat Punto (dépourvue de tout équipent de confort et sécurité) au prix de 145 millions centimes
                  On ne peut reprocher à une opérateur son abus de position dominante. C'est la règle du jeu. On peut reprocher à l'état et ses relais d'avoir favorisé les positions dominantes, et réduit à néant toute velléité de concurrence. Pratique classique de la Mafia qui se distribue les territoires. Les conflits ne sont visibles, que quand il y a un problème de redéfinition des territoires!!!

                  En ces périodes de crises financières, il va y avoir de nouveau modes de calculs des parts de marché savamment protégées...

                  Le rôle régulateur de l'état est un objectif bien lointain!!!oeilfermé
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    ott

                    On ne peut reprocher à une opérateur son abus de position dominante. C'est la règle du jeu.
                    Ce n'est pas une règle.. mais une façon d'être !
                    La Fiat Punto en question n'est vendue "dénudée" de la sorte qu'en Algerie oeilfermé

                    ps: je n'ose même pas imaginer ses autres combines dans les autres secteurs

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                    • #11
                      Ce n'est pas une règle.. mais une façon d'être !
                      La Fiat Punto en question n'est vendue "dénudée" de la sorte qu'en Algerie
                      Non, on ne peut reprocher à un opérateur un excès de marges. La concurrence est là pour justement modérer les marges. Comme elle est largement déficiente dans ce pays, les marges dans pleins de secteurs dans ce pays sont démesurées!!!

                      PS : Je te renvoie à ma contribution sur la LFC2010
                      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...30#post5428830
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #12
                        Issad Rebrab dénonce et accuse
                        Le gars dénonce un système qui a fait de lui un homme riche.
                        Les capitaux de Cevital sont pour la plus part à l’étranger avec en tête, la France.

                        Qu’ils sachent que l’Algérie n’est le patrimoine de personne, elle appartient à tous les Algériens !
                        Comme l'argent que l'on t'a donné. Ce type est un magouilleur, un Khalifa numéro 2. La Purge ne peut qu’être la solution.

                        Issad Rebrab dénonce les manœuvre de régionalisme de certain clan qui veut profiter du départ de l'ex patron de la DRS
                        Analyse a deux balle.

                        Rebrab est le fruit de l'ex patron du DRS et il a profité à fond des largesses et de l'argent du pays.

                        Ce n'est pas en remplissant des bouteilles d'huiles (d'ailleurs, elles mêmes importaient) que l'on devient milliardaire et surtout en Algérie.
                        Dernière modification par wouhou, 23 septembre 2015, 12h39.

                        Commentaire


                        • #13
                          ott

                          Je te renvoie à ma contribution sur la LFC2010
                          Des investissements étrangers avec une telle instabilité juridique.. tu rêves oeilfermé

                          Commentaire


                          • #14
                            Des investissements étrangers avec une telle instabilité juridique.. tu rêves
                            J'élude le problème de rapatriement des bénéfices, des marges trop importantes qui sont du à un problème de concurrence. Ce problème est présent quelque soit la nationalité de l'opérateur, qui a grosso modo les mêmes règles du jeu. Pour amener de la concurrence, ou tu es capable d'avoir un ou plusieurs autres acteurs nationaux, ou tu introduis d'une manière étudiée une concurrence étrangère pour émuler tes opérateurs, en faisant attention de le faire là où il n'y a pas que des mules!!!
                            Othmane BENZAGHOU

                            Commentaire


                            • #15
                              Les libéraux khorrotos algériens, pour militer pour la suppression de la règle 51 / 49 et permettre aux étrangers de bien se gaver en algérie , ils redoublent d'efforts et défendent tous les symboles du libéralisme mondial, le FMI est leur secte et le crie haut et fort !
                              Mais lorsque Rebrab un homme qui ne plus rien à prouver en génie et en patriotisme, crie au secours, crie au scandale , crie à l'absurde, ces chantres du capitalisme et de la libre entreprise nous pondent des théories farfelues incompréhensibles juste pour noyer le poisson pendant que d'autres champions de la mauvaise foi parlent de sa proximité avec Toufik ou avec le pouvoir.
                              Le gars dit qu'il est étouffé et que ses projets sont volontairement blocs et ses usines incendiés et on lui répond qu'il a gagné assez d'argent. Si ce n'est pas du tribalisme khorrotos teinté de rigueur de sabotage. Encore une fois c'est l'Anti kabylisme primaire qui l'emporte dans ce pays qui recule.

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