salam
Du nouveau dans le dossier du chantage visant le roi Mohammed VI. Un média français a affirmé hier après-midi, sur la base des conclusions de l’enquête, que l’un des enregistrements des discussions entre le représentant du Palais et Eric Laurent a été retravaillé.
L’analyse de la police technique et scientifique du fichier remis par l’avocat du royaume sur une clé USB confirme que la preuve « a subi un traitement », désormais « impossible à préciser ». Cependant, elle ajoute qu’« il n’y a pas de traces évidentes de montage ».
Une aubaine pour la défense des deux suspects
Me. Naciri a reconnu devant les enquêteurs qu’il n’a pas conservé l’original de la bande sonore des entretiens du 11 août avec Laurent, précisant qu’il l’a transféré de son smarthphone sur un ordinateur « pour améliorer le son ». « Le problème c'est qu'avec la copie (on) ne peut plus savoir avec certitude ce qui a été fait », explique un expert.
Quelles incidences pourraient avoir ces nouvelles révélations sur le cours de l’enquête ? Il est encore prématuré d’apporter une réponse à la question. Néanmoins elles devraient apporter médiatiquement de l'eau au moulin de la défense d’Eric Laurent et Catherine Graciet. « C’est une pièce maîtresse de l'accusation qui est fragilisée », estime les avocats des deux suspects.
Il reste encore un autre enregistrement à analyser par les experts de la police technique et scientifique française. C’est celui des discussions du 27 août tenues dans un palace parisien entre le représentant du Palais et les deux journalistes mises en cause. Il devrait y avoir moins de problème avec ce fichier puisqu’il n’a pas subi de « traitement » ou de « falsification » parce qu’il était effectué sous la supervision de la police.
bladi
Du nouveau dans le dossier du chantage visant le roi Mohammed VI. Un média français a affirmé hier après-midi, sur la base des conclusions de l’enquête, que l’un des enregistrements des discussions entre le représentant du Palais et Eric Laurent a été retravaillé.
L’analyse de la police technique et scientifique du fichier remis par l’avocat du royaume sur une clé USB confirme que la preuve « a subi un traitement », désormais « impossible à préciser ». Cependant, elle ajoute qu’« il n’y a pas de traces évidentes de montage ».
Une aubaine pour la défense des deux suspects
Me. Naciri a reconnu devant les enquêteurs qu’il n’a pas conservé l’original de la bande sonore des entretiens du 11 août avec Laurent, précisant qu’il l’a transféré de son smarthphone sur un ordinateur « pour améliorer le son ». « Le problème c'est qu'avec la copie (on) ne peut plus savoir avec certitude ce qui a été fait », explique un expert.
Quelles incidences pourraient avoir ces nouvelles révélations sur le cours de l’enquête ? Il est encore prématuré d’apporter une réponse à la question. Néanmoins elles devraient apporter médiatiquement de l'eau au moulin de la défense d’Eric Laurent et Catherine Graciet. « C’est une pièce maîtresse de l'accusation qui est fragilisée », estime les avocats des deux suspects.
Il reste encore un autre enregistrement à analyser par les experts de la police technique et scientifique française. C’est celui des discussions du 27 août tenues dans un palace parisien entre le représentant du Palais et les deux journalistes mises en cause. Il devrait y avoir moins de problème avec ce fichier puisqu’il n’a pas subi de « traitement » ou de « falsification » parce qu’il était effectué sous la supervision de la police.
bladi
Commentaire