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Les jappements féroces d’un piètre général

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  • Les jappements féroces d’un piètre général

    Quand le secrétaire général du parti FLN a critiqué comme de juste les états de service du général Mohamed Médiène alias Toufik, à la tête des services de renseignements, la presse du DRS, d’ici et de là bas s’est déchainée contre lui, le traitant de tous les noms d’oiseaux. L’Empire DRS a sorti pour la circonstance l’artillerie lourde et a tiré à boulets rouges sur lui, Drabki, homosexuel, traitre, voleur et même d’espion…. on a même même dit que c’était un crime de lèse majesté de s’attaquer à une institution alors que le DRS n’est pas une institution, c’est l’armée nationale populaire qui est une institution et le DRS est une direction, un organe parmi tant d’autres, et en tant que service de renseignement a le droit d’être critiqué voire d’être contrôlé pour éviter les manquements et les dépassements dont il a été accusé.

    Un petit général

    Aujourd’hui un obscur général à la retraite, Hocine Benhadid pour ne pas le nommer, évincé du MDN par feu le général de corps d’armée, chef d’état major de l’ANP Mohamed Lamari, en 1996 pour incompétence et alcoolisme, rue dans les brancards mû par des obsessions maladives. Malgré la réputation de cadre compétent qui lui a été faite, Hocine Benhadid n’a réussi à être qu’un petit général à qui on a retiré son premier commandement pour essai non concluant. Narcissique, imbu de sa personne et surtout alcoolique invétéré, le piètre militaire qu’il a été se permettait d’apporter, à tort et à travers, la contradiction à ses supérieurs se prévalant d’être passé par de hautes institutions étrangères de formation.

    Il était déjà déchu de son commandement lorsque le Général Liamine Zeroual fut coopté ministre de la défense nationale. Ce dernier le racheta en le nommant conseiller auprès de lui.

    Plus cinglé que jamais, son delirium tremens n’a cessé de se manifester à travers une présomption démesurée qui lui faisait tout dénigrer publiquement des actes de gestion du commandement de l’armée. Rien n’avait grâce à ses yeux jusqu’au moment où les responsables de la défense nationale décidèrent unanimement de le radier des effectifs pour le mettre hors d’état de nuire.

    Depuis, il tient une bonne place parmi les officiers ratés qui sont loin de compter parmi les bons et loyaux officiers qui ont, en toutes circonstances, servi la patrie avec dévouement et abnégation. Rejeté comme un déchet, sa folie s’est aggravée; trouvant néanmoins grâce auprès de certains journalistes pour recueillir et faire publier ses délires, se permettant de descendre en flammes le président de la république, le vice ministre de la défense et chef d’état-major de l’ANP alors que « la presse en deuil » se délecte, se lèche les babines et en fait ses choux gras, dans une jouissance pathologique.

    Le retraité de l’armée avance que le président n’est rien sans Toufik, que Said dirige le pays, que Gaid Salah n’a aucune emprise sur l’armée et les inepties de ce grand adepte de Bacchus n’ont fait broncher personne. L’institution présidentielle et l’institution militaire sont attaquées par un général aigri, et ça ne gène personne, le camouflage est de mise, les fumigènes sont utilisés, la politique de l’autruche est manifestement l’apanage de cette « presse en deuil » alors que les partis politiques de la soi-disant opposition ont choisi d’enfouir bien profondément leurs têtes dans le sable. Le silence est devenu assourdissant, une chape de plomb s’est soudainement abattue, l’amnésie est générale. Les vierges effarouchées qui ont crié haro sur Saâdani et les pseudo défenseurs du droit, de la constitution, des institutions, la queue entre les jambes, se sont éclipsés, effacés, disparus, battus en retraite, se sont barrés esquivant toute discussion sur le sujet.

    Passible des tribunaux

    Les appels du soudard à la sédition de l’armée, à sa division, à la désobéissance (« l’armée ne lui obéit pas », « l’armée est divisée »), l’atteinte aux institutions républicaines, l’outrage au président de la république, chef des armées (article 77 de la constitution), sa propension à contester au chef de l’Etat d’exercer ses prérogatives constitutionnelles…. tous ces faits sont passibles des tribunaux et aucun homme politique de la dite opposition ni aucun journaliste digne de ce nom n’ont élevé la moindre objection alors que le pauvre Saâdani qui a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, a été voué aux gémonies, aux enfers et c’est un miracle qu’il soit toujours en vie.

    Au service de Benflis

    Cet ancien militaire revanchard qui a appelé à voter pour Benflis en 2004 et en 2014, parle au nom d’une institution qui l’a jetée comme un mal propre et qui n’a pas avalé sa radiation d’où ses attaques incessantes contre l’institution présidentielle et l’institution militaire.

    Décidément prolifique, le félon s’attaque également au conseiller à la présidence, Said Bouteflika, traité de « malade mental » et de « fou », qu’il accuse d’avoir dégommé le général Médiène, sans la moindre preuve pour étayer ses propos. Les affabulations du pauvre bougre qu’il est devenu depuis son éviction de l’ANP, servent bien sûr les intérêts de Ali Benflis. car il est clair que les interventions médiatiques du gus ne sont que le reflet d’une peur panique chez son mentor, âgé de 71 ans et qui en aura 76 en 2019 lorsque le président de la république actuel terminera son mandat d’où cette course contre la montre pour destabiliser les institutions républicaines et accéder au plus vite au pouvoir. D’autant que, facteur aggravant, Said Bouteflika risque, selon leurs calculs chimériques, de se présenter au suffrage universel et de l’emporter et cette éventualité est tout simplement insupportable voire cruelle pour l’ancien militaire et son mentor.

    Le FIS, les harkis, le MAK et les frontières

    En effet, Benflis, on l’a vu durant les dernières élections présidentielles, ne reculait devant rien pour arriver à Al Mouradia. Il était sur le point de pactiser avec le diable en prenant le risque de remettre en cause les sacrifices des forces patriotiques pour la sauvegarde de la République. Utilisant les bons offices de Ahmed Merani, membre fondateur du FIS, Ali Benflis, qui était contre l’interruption du processus électoral en 1992 ce qui lui a valu d’être démis de ses fonctions, avait rencontré durant la campagne présidentielle Ali Djeddi, Abdelkader Boukhamkham, El Hachemi Sahnouni et Kamel Guemazi le bras droit de Ali Belhadj. Deux autres membres fondateurs du FIS qui ont discuté avec le candidat qu’il était, lui ont affirmé qu’ils avaient la bénédiction de Rabah Kebir et l’aval de Abassi Madani, c’est alors que Ali Benflis s’est engagé, s’il est élu à réhabiliter le FIS pour « approfondir la réconciliation nationale » dans le cadre d’une « Constitution consensuelle ».

    Autre époque autre traumatisme, celui causé par les harkis, ces algériens qui ont pris le parti de l’Occupant en devenant des supplétifs de l’armée coloniale. Ceux là aussi ont été une redoutable machine à broyer leurs compatriotes. Benflis, là aussi a voulu faire main basse sur le passé alors que les blessures sont toujours béantes. Des contacts ont été pris avec les milieux harkis en vue d’un soutien à la candidature de Benflis qui voulait les intégrer dans sa « nouvelle Constitution consensuelle au terme d’un large dialogue sans exclusive et sans marginalisation ».

    Dans sa démarche désespérée consistant à faire feu de tout bois, Benflis a voulu s’emparer d’une autre fibre aussi sensible : la réouverture des frontières avec le Maroc, pour, selon ses arguments, faire aboutir le rêve maghrébin. Dans sa vaine tentative de ratisser large, quitte à vouloir marier la carpe avec le lapin, le candidat Benflis avait fait également les yeux doux aux séparatistes du MAK, en leur proposant dans le cadre de son projet politique, la régionalisation, qui signifie dans l’esprit du MAK séparation.

    Mais qu’à Dieu ne plaise, il n’a recueilli enfin de compte que 12,18 % de suffrages, autrement les portes de l’enfer se seraient ouvertes une nouvelle fois en Algérie où les citoyens, marqués par vingt ans d’extrême violence ponctuée par 200.000 morts, des centaines de milliards de dinars de préjudice et un traumatisme collectif inexpiable, ne rêvent que de deux choses : paix et stabilité.

    algerie1

  • #2
    De cette longue diatribe, des aboiements du défenseur de SAID Bey , nous pouvons conclure que les services de la Présidence ont largement repris en mains les services de propagande du Colonel FAWZI .

    L'armée toujours maitresse du jeu est partagée.

    Entre celle qui suit le Général BENHADID et pour laquelle le SAID Bey est un "détraqué" qui ne mérite pas de présider l'Algérie qui a déjà eu son César et une autre qui soutient les très francophiles frères BOUTEFLIKA.

    Face au candidat de Bariz, les dinosaures préfèrent BEN FLIS dans un combat qui oppose les Tlemcani aux Chaouia , l'Ouest tolérant à la rejoulya de l'Est.

    L'arbitre sera la CIA . Son service Américanoafricain, pendant de la Françafrique , qui ne roule que pour les intérêts de l'Oncle Sam a besoin de redorer le blason des USA . Il serait prêt à remettre en cause ses alliances africaines . Pour lui SAID Bey n'est pas le candidat idéal. Le père de famille BEN FLIS , fils de chahid respecté pour ses convictions est un meilleur choix. A imposer , au besoin en piétinant les platebandes des Gouer .

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    • #3
      Un petit général
      Je n'aime pas le "petit général" mais j'aime encore moins les petits lâches qui se lâchent sur un adversaire à terre!!! C'est pas Algérien!:22:
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Il est dit que le general Benhadid a été mis à la retraite avant l'arrivé de Zeroual comme ministre de la défense, alors qu'on sait que Zeroual a remplacé Nezzar en 93, que Benhadid est nommée chef de la 3ème RM en 94 jusqu'en 96. Et on se rend pas compte de l'incompétence d'un general 2 ans après sa nomination et sa promotion. Certain lui avait promis de créé la fonction d'adjoint au chef d'état major et de l'y nommer. Mais cette création et nomination ne sera jamais décider. Benhadid se retrouve comme general sans affectation puis mis à la retraite. Personellement, j'ai jamais trop aimé la manière de ses interventions, il est trop nerveux et mal à l'aise et tiré d'une façon anarchique perdant toute crédibilité au contraire du general Medjahed dont les analyses et propos sont plus aboutit et argumenté.

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        • #5
          au contraire du general Medjahed dont les analyses et propos sont plus aboutit et argumenté.
          medjahed a qd même expliqué :

          1- lamari a été admis à la retraite parce que 12 années c bcp
          2- mediene est resté 25 ans parce qu'il est compétent..

          c une contradiction d'un niveau de 3ème..

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          • #6
            Perspectives réjouissantes à l'horizon de l’Algérie :"Game of thrones" à la tchktchouka de nos compradors de l'import ou remake de la guéguerre,le duo Zeroual-Betchine contre Nezzar et sa pègre !
            Garçon,euh, ya kho un thé à la menthe, pas dans un gobelet,stp!Merci!

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            • #7
              jamais trop aimé la manière de ses interventions, il est trop nerveux et mal à l'aise et tiré d'une façon anarchique perdant toute crédibilité au contraire du general Medjahed dont les analyses et propos sont plus aboutit et argumenté.
              Pour les apparences, c'est tout à fait vrai.

              MEDJAHED carriériste jouit de tous les avantages du système. Voiture et logement au club des pins, cuisinière pour vous mijoter des petits plats et jardinier pour cultiver votre menthe. Il a l'assurance du général de l'ANP des DAF.

              Le pestiféré vit l'enfer depuis des années. Il a bien encore sa retraite mais doit sans cesse affronter les tracasseries du DRS et toutes les bassesses dont sont capables les services de MEDIENE. Devant le système qui a brisé bien de personnalités , notre homme a encore la hargne du vieux combattant . Courageux il n'a pas renoncé à lutter contre ses mafieux. Son louk est celui de l'homme du militaire habitué à ne porter que son uniforme. Ses tics sont ceux du persécuté qui malgré tout affronte l'adversité. Le reste, EL LAH hasan el 3aoun.
              Dernière modification par KHORE, 26 septembre 2015, 20h16.

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              • #8
                Tu accuses le general Medjahed de carriériste alors qu'il a l'air de bien vivre sa retraite, il n'ya pas d'amertume dans ses propos comme le sont cel de Benhadid, de plus pour un carriériste c'est un peu décevant de mettre fin à une carrière militaire après seulement 30 ans de carrière alors qu'une grande partie des generaux au hautes fonctions de commandement et de direction sont entre les mains de generaux de plus de 65 ans jusqu'à récemment et les nouveaux changements depuis quelque mois ni change rien. Il dit seulement que le poids des années se fait sentire et il donne comme exemple Toufik, Bousteila, Lamari, et que réduire la longévité de certaines responsabilités serait une bonne chose pour le bon fonctionnement hiérarchique de l'armée. De plus comment peux tu apparenter le general Medjahed au DAF, alors que c'est un officier post-indépendance, il a 65 ans et à rejoint l'armée après être passé les écoles des cadets et c'est Zeroual qui a commencé à promouvoir cette génération à l'image de Bousteila, Medjahed, Benhadid ...
                Tu n'as aucune preuve de ce que tu avances sur ses supposés privileges, même chose pour l'alcoolisme supposé de Benhadid c'est petit journaliste.
                Dernière modification par éliamine, 26 septembre 2015, 21h35.

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                • #9
                  MEDJAHED carriériste jouit de tous les avantages du système. Voiture et logement au club des pins, cuisinière pour vous mijoter des petits plats et jardinier pour cultiver votre menthe. Il a l'assurance du général de l'ANP des DAF.

                  Le pestiféré vit l'enfer depuis des années. Il a bien encore sa retraite mais doit sans cesse affronter les tracasseries du DRS et toutes les bassesses dont sont capables les services de MEDIENE. Devant le système qui a brisé bien de personnalités , notre homme a encore la hargne du vieux combattant . Courageux il n'a pas renoncé à lutter contre ses mafieux. Son louk est celui de l'homme du militaire habitué à ne porter que son uniforme. Ses tics sont ceux du persécuté qui malgré tout affronte l'adversité. Le reste, EL LAH hasan el 3aoun.
                  je partage bcp de chose sauf DAF...
                  arrête tes tics paranos... tu soutiens benhadid qui est francophile contre medjahed qui a l'air de partager à peine l'arabe du collège... et tu tapes sur les daf qui ne sont plus là !!!

                  pour moi medjahed est un khobziste avec un discours du comité central du FLN.. il parle 2 heurs et tu n'apprends rien de nouveau..


                  surtout, il précise que mediene est plus haut que lui !!! toz..

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                  • #10
                    Un sujet ... , pour les magouilleurs formatés de diférentes tendances , mais sans importance pour les foromistes comme moi qui ne sont pas tenus en lesse ...
                    Dernière modification par euclid, 26 septembre 2015, 22h42.

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                    • #11
                      Article amateur ... Said réplique à partir de la France... comme toujours

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                      • #12

                        e partage bcp de chose sauf DAF...
                        arrête tes tics paranos... tu soutiens benhadid qui est francophile contre medjahed qui a l'air de partager à peine l'arabe du collège... et tu tapes sur les daf qui ne sont plus là !!!

                        pour moi medjahed est un khobziste avec un discours du comité central du FLN.. il parle 2 heurs et tu n'apprends rien de nouveau..


                        surtout, il précise que mediene est plus haut que lui !!! toz..
                        Par DAF , je sais comme toi que depuis le départ du Constantnois GUENAIZIA , il n'y en a plus au pouvoir. L' esprit de l'ANP actuelle est cependant celui des DAF. Les militaires qui en disciples de BELKHEIR ont vu Gaid SALAH aller tenir un conseil de gouvernement à Paris aux Invalides , avant d'envoyer des soldats défiler sur les Champs Elysées alors qu'un Ministre de la Guerre gaouri lui avait fait à la télé un bras d'honneur.

                        Traitant MEDJAHED de carriériste mon qualificatif n'est pas péjoratif. Notre homme est bien un khobziste qui contrairement à ce que tu penses a été élevé dans une culture arabophone de bon niveau et parle une darija très riche.

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                        • #13
                          Les militaires qui en disciples de BELKHEIR ont vu Gaid SALAH aller tenir un conseil de gouvernement à Paris aux Invalides , avant d'envoyer des soldats défiler sur les Champs Elysées alors qu'un Ministre de la Guerre gaouri lui avait fait à la télé un bras d'honneur.

                          Traitant MEDJAHED de carriériste mon qualificatif n'est pas péjoratif. Notre homme est bien un khobziste qui contrairement à ce que tu penses a été élevé dans une culture arabophone de bon niveau et parle une darija très riche.
                          conseil du gouv c une dangereuse hyperbole.. le gars est aux ordres. il a été sifflé et n'a pas hésité à y aller.. d'ailleurs habillé en civil.

                          sur longuet, c de l'extrême droite (un ancien du sac). il a justement fait ce geste pour phagocyter le rapprochement.. et c bien qu'il n'ait pas réussi.

                          enfin medjahed, a du mal à distinguer el nasb de rafe3.. il est vraiment laborieux.

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                          • #14
                            Dès que j'ai lu le titre, j'ai su que c'était Algerie1

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                            • #15
                              conseil du gouv c une dangereuse hyperbole.. le gars est aux ordres. il a été sifflé et n'a pas hésité à y aller.. d'ailleurs habillé en civil.
                              Il ne pouvait pas en être autrement. Ne circulent en uniforme en France que les militaires français . Ne sont autorisés à porter leur uniforme que ceux qui sont invités à parader ou à participer à des exercices conjoints. Les premiers peuvent arborer leur emblème national , les seconds pas.

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