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Le Nouveau bouc émissaire des algériens

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  • Le Nouveau bouc émissaire des algériens

    Vous fonctionnez quasiment tous avec la technique du bouc émissaire.
    vous pensez que le mal absolu se personnifie chez une personne.

    si on fait un bref retour en arrière, on vous a désigné sans cesse vos moutons noirs :


    -kaid ahmed
    -mohamed ben ahmed abdelghani

    -Chadli
    -Messadia

    -nezzar
    -belkhir

    -mediene
    -bouteflika
    -said bouteflika
    -haddad
    -rebrab


    dans la réalité le mal absolu n'existe pas et si vous remarquez bien, à chaque fois il y a les belligérants au pouvoir qui sont désignés. ce qui veut dire que chacun d'eux désigne l'autre, le calomnie sans cesse dans sa presse et à travers la rumeur de radio trottoir.

    c'était particulièrement le cas entre chadli et messadia.

  • #2
    C'est dans la logique même de ce système qui prévoit, en guise de soupape de sécurité, que des fusibles sautent au bon moment pour épargner la machine. Ce qui ne veut pas dire que les personnes éjectées soient forcément exemptes de tout reproche.
    Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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    • #3
      C'est dans la logique même de ce système qui prévoit, en guise de soupape de sécurité, que des fusibles sautent au bon moment pour épargner la machine. Ce qui ne veut pas dire que les personnes éjectées soient forcément exemptes de tout reproche.
      Ce que certains appellent des soupapes, sont en fait des klinex, chargés d'endosser toute la responsabilité, le pouvoir dans ce système étant ailleurs... Il est temps que le pouvoir politique soit au mains de gens responsables et comptable auprès du peuple et de leur famille politique...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Une meilleure solution, à mon sens, est de réformer ce système qui n'offre comme seule solution pour régler ses contradictions internes que la logique du fusible et advienne que pourra. Mais le système est-il seulement réformable ? Et à qui incombera cette tâche ?
        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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        • #5
          Joli dialogue

          L'un parle de changer le système et l'autre de le réformer.. et ça tombe d'accord

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          • #6
            Je ne vois pas qui parle de "changer le système". Le forumiste ott propose de remplacer le personnel qui détient le pouvoir politique par un autre plus responsable. Or, de mon point de vue, ceci ne changera strictement rien au fond du problème, les mêmes causes produisant les mêmes effets. On peut mettre les meilleurs managers du monde dans le système actuel, ils ne feront certainement pas mieux que ce qui a été fait jusqu'ici.
            Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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            • #7
              Réformer ou changer c'est kif kif .. de la parlotte !
              Le système s'est métamorphosé aux yeux de tous.. et malgré tous ;
              Et nous n'y pouvons rien oeilfermé

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              • #8
                Voici comment TSA participe au Bouchouareb bashing...

                1- mauvaise stratégie (parce qu'il veut réduire les imports)*
                2- comparaison avec le bouc émissaire (chakib Khelil)

                après l'esprit nihiliste des algériens fait le reste.

                * ouvrir plusieurs usines de ciment veut dire contraindre Lafarge algérie et ouvrir des usines d'automobile veut dire échapper à l'exclusivité que renault et peugeot ont tenté de négocier..

                Depuis plusieurs mois, Abdeslam Bouchouareb construit la future industrie algérienne. Sa « stratégie » commence à se dessiner à travers les projets annoncés : identifier les secteurs les plus concernés par les importations et lancer des projets d’usines pour réduire la facture des achats à l’étranger.
                C’est ainsi que l’Algérie est en train de construire plusieurs cimenteries qui viendront s’ajouter à celles existantes. But : atteindre l’autosuffisance pour ne plus importer les 3 millions de tonnes annuellement. À partir de 2017, l’Algérie sera excédentaire de plus de 10 millions de tonnes par an.


                Mais vu le rythme de ralentissement des travaux dans le BTP à cause de la crise mais aussi des capacités de réalisation – l’Algérie ne construira pas éternellement des logements – l’excédent sera sans doute beaucoup plus important. Se posera alors la question : que va-t-on faire de ces usines ? Exporter ? Peu probable. Le ciment est un produit très difficile à exporter et la concurrence internationale est rude.

                L’autre exemple concerne l’automobile. Là encore, la facture des importations est lourde, à près de 5 milliards de dollars par an. Que propose M. Bouchouareb ? Construire des usines de montage. Le premier projet avec Renault est entré en production. D’autres, notamment avec Peugeot, Fiat et Iveco devraient être lancées prochainement.


                Là encore, la « stratégie » de Bouchouareb devrait rapidement montrer ses limites : dans deux ou trois ans, l’Algérie se trouvera avec une production de quelques centaines de milliers de voitures low cost (sur la base des estimations avancées, chaque usine produirait 75 000 véhicules/an). Que va-t-on faire de toute cette production ? Sachant que dans l’automobile, la situation est plus compliquée : les modèles produits en Algérie ne sont pas éligibles à l’export. Et ces usines de montage vont anéantir tout espoir de doter l’Algérie d’une vraie industrie automobile.


                Ces deux exemples illustrent bien les incohérences de la politique du ministre Abdeslam Bouchouareb. Une politique qui rappelle celle menée par Chakib Khelil dans le secteur des hydrocarbures au milieu des années 2000. L’ancien ministre de l’Énergie avait fait des choix contestables : une surexploitation des puits et une absence d’investissements dans l’aval pétrolier (pétrochimie, raffinage, etc.). Des choix qui coûtent aujourd’hui cher à l’Algérie dans un contexte de crise pétrolière.


                Chakib Khelil avait tracé sa stratégie sans consulter personne. Il avait du mépris pour les parlementaires et une préférence pour les étrangers et quelques hommes d’affaires de son cercle restreint. Abdeslam Bouchouareb applique la même recette, sans légitimité populaire, ni résultats. Au risque de mener l’industrie algérienne vers un nouveau désastre. Ce jour-là, il est vrai, le ministre sera loin d’Alger. Comme Chakib Khelil aujourd’hui.

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                • #9
                  Je ne vois pas qui parle de "changer le système". Le forumiste ott propose de remplacer le personnel qui détient le pouvoir politique par un autre plus responsable. Or, de mon point de vue, ceci ne changera strictement rien au fond du problème, les mêmes causes produisant les mêmes effets. On peut mettre les meilleurs managers du monde dans le système actuel, ils ne feront certainement pas mieux que ce qui a été fait jusqu'ici.
                  __________________
                  tu parles de changer le système pas les hommes et tu utilises le terme "réformer" le système...

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                  • #10
                    tu parles de changer le système pas les hommes et tu utilises le terme "réformer" le système...
                    Mais oui, c'est ce que j'essaie d'expliquer au forumiste Capo. Il n'y a que moi qui parle de réforme/changement du système dans ce topic, et non ott qui a une autre approche.

                    Je réagissais en fait à cette réflexion :
                    L'un parle de changer le système et l'autre de le réformer.. et ça tombe d'accord
                    Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                    • #11
                      Je suis dac avec fortuna.
                      c'est tout le système qu'il faudra changer mais ceci prendra des décennies et encore.
                      Voilà certains changements positifs
                      - Moins de pouvoir au président, plus au parlement.
                      - un chef de gvt choisi par le parti majoritaire au parlement ou par une coalition.
                      - des élections propres

                      A plus long terme
                      -décentralisation et autonomie des régions.

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                      • #12
                        Peut-être serions nous mieux de créer un ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations en replacement à ceux de l'industrie et du commerce.
                        Aussi avec l’existence d'un ministère du travail des hommes d'Affaires tel Rebrab (créateurs d'emplois) seront plus avantagés et respectés.
                        وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                        • #13
                          @Fortuna

                          Désolé de décevoir tes interprétations. Quand je parle d'homme responsables et comptables auprès du peuple et de leur famille politique, il s'agit d'un changement du système de gouvernance qui fait qu'on passe d'un système où le personnel politique est à la merci de cercles qui nomme et dégomme au grès des besoins et des priorités du moments, à un système où les homme politiques représentent leur formations politiques, sont chargés d'en appliquer les programmes et sont sanctionnables par ses mêmes formations et le peuple à des périodes régulières... Ton interprétation est très erronés me concernant, si je peux me permettre.
                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #14
                            Peut-être serions nous mieux de créer un ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations en replacement à ceux de l'industrie et du commerce.
                            Aussi avec l’existence d'un ministère du travail des hommes d'Affaires tel Rebrab (créateurs d'emplois) seront plus avantagés et respectés.
                            Etonnant de voir les mêmes pester contre ce qu'ils nomment l'oligarchie, applaudir un des membres imminent de cette oligarchie. Enfin, on en n'est plus à une contradiction prêt dans ce pays.
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              y a plein de paranoïa chez les gens...

                              on leur dit de détester haddad et d'aimer rebrab..

                              et hop.. comme les moutons de panurge.

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