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Maroc sera le premier dans sa région à bénéficier des financements de la BEI en monnaie locale grâce notamment à l’efficience de son système bancaire et ses mécanismes de changes
La Banque européenne d’investissement (BEI) annonce vouloir faire bénéficier le Maroc des financements en dirham. Une première puisque le royaume sera le premier dans sa région à se faire financer en monnaie locale. Dans un entretien publié, ce mercredi dans les colonnes de l’Economiste, le vice-président de la BEI, Roman Escolano précise que » c’est un programme très important dans la mesure où il mettrait le Maroc en position privilégiée par rapport à d’autres partenaires non européens de la BEI ». Pour Escolano, en poste depuis le début du mois, c’est la maturité du marché marocain des capitaux, de son système bancaire ainsi que sa maîtrise des mécanismes de changes qui rendent cette approche désormais faisable.
Financer les projets en monnaie locale, permettra à la BEI de diversifier ses interventions. « En clair, c’est davantage d’opérations, mais aussi plus de clients qui pourraient accéder à de nouvelles lignes d’activités de la banque ( ) Nous sommes déjà en train de travailler sur ce projet avec les autorités marocaines et nous sommes bien avancés », explique le responsable en charge des activités maghrébines de la banque.
Placée parmi les principaux bailleurs de fonds du Maroc, la BEI a consacré près de 6,7 milliards d’euros, soit 72,9 milliards de dirhams à l’appui des projets dans des secteurs clés de l’économie marocaine, tels que l’énergie, les transports, l’eau et l’assainissement, l’éducation, la santé, le logement social, l’industrie, les PME, ou encore l’innovation. « La politique du gouvernement marocain de développer les investissements dans les infrastructures, nous offre des possibilités dans plusieurs domaine. C’est le cas par exemple de nos financements dans le secteur autoroutier, des énergies renouvelables et des infrastructures stratégiques qui ont un effet concret sur l’évolution de l’économie marocaine », déclare Escolano.
medias
La Banque européenne d’investissement (BEI) annonce vouloir faire bénéficier le Maroc des financements en dirham. Une première puisque le royaume sera le premier dans sa région à se faire financer en monnaie locale. Dans un entretien publié, ce mercredi dans les colonnes de l’Economiste, le vice-président de la BEI, Roman Escolano précise que » c’est un programme très important dans la mesure où il mettrait le Maroc en position privilégiée par rapport à d’autres partenaires non européens de la BEI ». Pour Escolano, en poste depuis le début du mois, c’est la maturité du marché marocain des capitaux, de son système bancaire ainsi que sa maîtrise des mécanismes de changes qui rendent cette approche désormais faisable.
Financer les projets en monnaie locale, permettra à la BEI de diversifier ses interventions. « En clair, c’est davantage d’opérations, mais aussi plus de clients qui pourraient accéder à de nouvelles lignes d’activités de la banque ( ) Nous sommes déjà en train de travailler sur ce projet avec les autorités marocaines et nous sommes bien avancés », explique le responsable en charge des activités maghrébines de la banque.
Placée parmi les principaux bailleurs de fonds du Maroc, la BEI a consacré près de 6,7 milliards d’euros, soit 72,9 milliards de dirhams à l’appui des projets dans des secteurs clés de l’économie marocaine, tels que l’énergie, les transports, l’eau et l’assainissement, l’éducation, la santé, le logement social, l’industrie, les PME, ou encore l’innovation. « La politique du gouvernement marocain de développer les investissements dans les infrastructures, nous offre des possibilités dans plusieurs domaine. C’est le cas par exemple de nos financements dans le secteur autoroutier, des énergies renouvelables et des infrastructures stratégiques qui ont un effet concret sur l’évolution de l’économie marocaine », déclare Escolano.
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