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HRW désapprouve un appel de Rabat lui demandant de suspendre ses activités

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  • HRW désapprouve un appel de Rabat lui demandant de suspendre ses activités

    New York, 3 oct 2015 (SPS) L’Organisation non gouvernementale de surveillance du respect des Droits de l’homme, Human Rights Watch (HRW), a désapprouvé une correspondance envoyée par les autorités marocaines lui demandant de suspendre ses activités sur le territoire marocain et au Sahara Occidental occupé, dans un communiqué rendu samedi.

    "Human Rights Watch déplore la lettre envoyée par le porte-parole du gouvernement marocain, le 23 septembre 2015, réclamant que l’organisation suspende ses activités au Maroc et l’accusant de subjectivité et de parti-pris sans, toutefois, spécifier ces accusations", a écrit l’ONG dans son communiqué.

    "Durant les 25 dernières années, Human Rights Watch a travaillé à promouvoir le respect des droits de l’homme au Maroc et au Sahara Occidental…", lit-on dans le même texte, qui rappelle que les rapports de l’Ong sur la situation des droits de l’homme incluaient aussi des "informations officielles, recueillies notamment lors d’entretiens avec des représentants du gouvernement (marocain)".

    La suspension d’activité de HRW réclamée par le gouvernement marocain intervient après l’expulsion, en juin 2015, de deux cadres d’Amnesty International.

    "Elle (la suspension réclamée) intervient aussi dans le contexte de restrictions croissantes imposées aux organisations locales des droits de l’Homme, dont l’Association Marocaine des Droits de l’Homme", a ajouté HRW.

    Dans tous les cas, Human Rights Watch a affirmé qu’elle continuera à "surveiller et à documenter le niveau de respect, par les autorités marocaines, des normes et traités internationaux des droits de l’homme".

    En juin 2015, deux experts d'Amnesty International ayant dénoncé la torture "endémique" au Maroc, avaient été expulsés par le gouvernement marocain.

    Arrivées le 8 juin sur le sol marocain, la ressortissante belge, Irem Arf, et le Britannique, John Dalhuisen, avaient été renvoyés trois jours plus tard, alors qu'ils menaient une enquête dans le cadre de la compagne internationale d'Amnesty "Stop Torture", a rappelé HRW.

  • #2
    Evidemment qu'ils désapprouvent puisqu'ils ne sont plus acceptés au Maroc...

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    • #3
      c un gouvernement elu par le peuple marocain de tanger a lagouira qui prend des decisions

      une organisatiin quu est financer par un milliardaire american n'a pas la legimite d'un gouvernement elu.

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