Le torchon brûle entre Khaled Nezzar et Khaled Ziari, un ex-haut cadre de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN). Ce lundi le général à la retraite a gravement mis en cause l’ancien responsable de la lutte antiterroriste pour la région centre-est. Khaled Ziari réagit.
« D’abord je n’ai pas été révoqué comme le prétend le sinistre Khaled Nezzar », affirme-t-il dans une déclaration à TSA. « Je n’ai pas accepté la vision criminelle de Ali Tounsi (ancien DGSN) quant à la lutte antiterroriste. Ali Tounsi m’avait alors mis à la retraite anticipée malgré mon refus. Ali Benflis qui était chef du gouvernement était au courant mon refus », souligne-t-il. « (Ali Tounsi) m’avait chargé de certaines affaires (dans le cadre de la lutte antiterroriste) que je ne pouvais pas exécuter car elles avaient un caractère criminel.», assure l’ancien cadre de la DGSN.
Pour lui, Khaled Nezzar et Ali Tounsi avaient beaucoup de points en commun. Lesquels ? « Des points que je préfère taire par rapport à nos martyrs, à notre institution militaire et à la morale publique », dit-il.
L’ancien cadre de la DGSN estime qu’il n’a pas à justifier « quoi que ce soit ». « Je confirme ce que j’ai dit sur ma page Facebook. C’est l’armée qui a tiré sur la foule. Je n’ai pas dit quelque chose qui n’existe pas », lâche-t-il. « Certes, la faute incombe au président de la République de l’époque, Chadli Bendjdid, qui avait confié la responsabilité de la sécurité de la capitale à un ancien soldat de l’armée française », poursuit notre interlocuteur. Mais la responsabilité du général à la retraite reste « totalement engagée même s’il n’avait fait qu’exécuter », selon lui.
Sur l’ex-patron du DRS et le fait que Khaled Nezzar prenne sa défense, M. Ziari affirme : « ça ne le regarde pas ! Il (le général Toufik, NDLR) est majeur et vacciné ! S’il était en activité et que j’avais dit ça (dans mes messages sur Facebook) il m’aurait liquidé moi et ma famille sans état d’âme. Je les connais ces gens. J’ai travaillé avec eux ! ».
Sur le passage de Khaled Nezzar dans l’armée française, l’ancien officier de la police persiste : « Nezzar a intégré l’armée française après le déclenchement de la Révolution ! ».
tsa
« D’abord je n’ai pas été révoqué comme le prétend le sinistre Khaled Nezzar », affirme-t-il dans une déclaration à TSA. « Je n’ai pas accepté la vision criminelle de Ali Tounsi (ancien DGSN) quant à la lutte antiterroriste. Ali Tounsi m’avait alors mis à la retraite anticipée malgré mon refus. Ali Benflis qui était chef du gouvernement était au courant mon refus », souligne-t-il. « (Ali Tounsi) m’avait chargé de certaines affaires (dans le cadre de la lutte antiterroriste) que je ne pouvais pas exécuter car elles avaient un caractère criminel.», assure l’ancien cadre de la DGSN.
Pour lui, Khaled Nezzar et Ali Tounsi avaient beaucoup de points en commun. Lesquels ? « Des points que je préfère taire par rapport à nos martyrs, à notre institution militaire et à la morale publique », dit-il.
L’ancien cadre de la DGSN estime qu’il n’a pas à justifier « quoi que ce soit ». « Je confirme ce que j’ai dit sur ma page Facebook. C’est l’armée qui a tiré sur la foule. Je n’ai pas dit quelque chose qui n’existe pas », lâche-t-il. « Certes, la faute incombe au président de la République de l’époque, Chadli Bendjdid, qui avait confié la responsabilité de la sécurité de la capitale à un ancien soldat de l’armée française », poursuit notre interlocuteur. Mais la responsabilité du général à la retraite reste « totalement engagée même s’il n’avait fait qu’exécuter », selon lui.
Sur l’ex-patron du DRS et le fait que Khaled Nezzar prenne sa défense, M. Ziari affirme : « ça ne le regarde pas ! Il (le général Toufik, NDLR) est majeur et vacciné ! S’il était en activité et que j’avais dit ça (dans mes messages sur Facebook) il m’aurait liquidé moi et ma famille sans état d’âme. Je les connais ces gens. J’ai travaillé avec eux ! ».
Sur le passage de Khaled Nezzar dans l’armée française, l’ancien officier de la police persiste : « Nezzar a intégré l’armée française après le déclenchement de la Révolution ! ».
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