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rumeur d’un mandat d’arrêt lancé contre Rabrab

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  • rumeur d’un mandat d’arrêt lancé contre Rabrab

    Issad Rebrab : « Ils veulent m’arrêter pour me faire taire »


    Une rumeur parle d’un mandat d’arrêt lancé contre vous…

    La rumeur est fondée. On cherche à me faire taire. Mais je ne vais pas me taire. Au lieu de prendre conscience de la gravité des choses, ils agissent ainsi. Au lieu de m’appeler pour dialoguer, parler des blocages et de l’avenir de notre pays, ces gens veulent m’arrêter pour me faire taire. Ils essayent de faire taire tous ceux qui critiquent, qui parlent et posent des questions légitimes sur l’avenir de notre pays.



    Que vous reprochent-ils ?

    D’avoir parlé. D’avoir dénoncé les blocages inadmissibles dont je fais l’objet. Les gouvernants actuels sont les plus grands dangers pour notre pays. Ils m’accusent d’avoir importé des équipements d’occasion pour l’usine Brandt de Sétif. C’est faux. Les journalistes peuvent se rendre sur place pour vérifier et constater le mensonge. Ils peuvent aussi venir dans nos usines en France pour voir qu’aucun équipement n’a été renouvelé pour envoyer les anciens équipements en Algérie.
    Pourquoi selon vous ils vous reprochent de telles choses ?

    Ce sont des excuses pour justifier les blocages de tous nos projets et pas seulement celui de Brandt. Déjà en 2014, quand nous avons acquis Brandt, on avait demandé la possibilité de transférer nos propres devises pour faire cette acquisition. Le Premier ministre avait renvoyé la balle dans le camp du gouverneur de la Banque centrale. Nous n’avons pas été autorisés à transférer. Finalement, c’est grâce à l’aide du gouvernement français et des banques françaises que nous avons financé cette acquisition importante pour nous et pour l’Algérie. Nous n’avons pas sorti un seul dollar d’Algérie pour ce projet. Malgré cela, M. Sellal avait envoyé une lettre à Tracfin pour lui demander d’enquêter sur nous. Depuis, ils ont dû lui répondre que tout a été transparent. Parce que nous sommes transparents. Tout ce que nous faisons est transparent. Ce n’est pas le cas du gouvernement algérien et de ses amis qui travaillent dans l’opacité.

    Comptez-vous rentrer bientôt en Algérie ?

    Je suis actuellement au Brésil pour une mission, au moins jusqu’au 16 octobre. Une fois que j’aurais terminé mon travail, je verrai. Il est évident que si je n’ai pas d’assurances, je vais retarder mon retour. Je n’ai pas peur d’eux. Ce que j’ai dit je l’assume. Je me suis toujours assumé.

    De toutes les manières, j’ai encore d’autres révélations à faire. Le peuple algérien connaîtra la vérité. Ils sont dans leur tort. Ils ne veulent pas entendre parler des choses vraies. Ils veulent que tout le monde les caresse dans le sens du poil. Ils sont le mal de notre pays. On ne peut pas les laisser le détruire davantage.

    Ils ne veulent pas dialoguer avec les gens qui proposent des choses différentes. Encore une fois, je ne vais pas me taire. Je n’ai pas de patrie de rechange. « Il faut que la peur change de camp », pour paraphraser Monsieur Réda Malek.

    source: TSA
    Dernière modification par wiwla, 06 octobre 2015, 21h32.
    انحبكم

  • #2
    Encore un fake.

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    • #3
      Qu il rejoigne khalifa en prison cet oligarque voyou

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      • #4
        Au Brésil:C'est comme les décideurs ne le savaient pasExile volontaire

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        • #5
          Depuis 1962, le peuple algérien tout entier est sous contrôle judicaire ! C'est pour servir d'exemple que certains, toutes tendances confondues, sont poursuivis en "justice" et sévèrement condamnés, parfois sans chefs d'inculpations express !!!
          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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          • #6
            Pas croyable !

            Sellal qui envoie une lettre à tracfin, ce n'est pas le genre, il a du passer une soirée avec quelques joints dans la bouche.

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            • #7
              Si on ne savait pas que c'est un homme d'affaire qui s'exprime, on dirait que c'est un homme politique qui s'exprime et qui fait des déclarations politiques d'opposant!!! Son passage par El Maghrebia est carrément choquant pour le patron (financier) du RCD... Il commente par des déclarations hasardeuses une information tout aussi hasardeuse... il est bien parti pour se faire pulvériser, s'il n'apprend pas la mesure... Le mélange des genre lui a toujours été positif, quand il était au service de ses généraux, là, il aurait du éviter d'abonder dans une pente aussi glissante, sauf s'il est acculé ou sous les ordres de ses anciens mentors répondant à une stratégie décidée dans ces conclaves...
              Dernière modification par ott, 06 octobre 2015, 22h12.
              Othmane BENZAGHOU

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              • #8
                salam

                tout ce bon monde fait partie de la hachiya de toufik
                انحبكم

                Commentaire


                • #9
                  La possibilité d'une attestation est sérieusement évoqué par des journalistes sur twitter
                  En même temps après avoir accusés gaid Salah de pedophilie et de viol sur soldat dans une chaîne de télé .....les conséquences étaient prévisible

                  Commentaire


                  • #10
                    La possibilité d'une attestation est sérieusement évoqué par des journalistes sur twitter
                    En même temps après avoir accusés gaid Salah de pedophilie et de viol sur soldat dans une chaîne de télé .....les conséquences étaient prévisible
                    C'est en effet tellement prévisible que ça participe à une stratégie de montée au créneau de Rabrab, le meilleur ambassadeur du clientélisme des années 90, pour défendre ses mentors et leur système...
                    Othmane BENZAGHOU

                    Commentaire


                    • #11
                      @ ott

                      La collusion entre pouvoir économique et politique n'est pas une spécificité algérienne
                      Ce que je comprend pas c'est pourquoi rebrab n'a pas fait tout simplement allégeance au "nouveau" pouvoir plutôt que d'aller à l'affrontement avec tout les risques que cela suppose . normalement les acteurs économiques fonctionnent comme ça !

                      Commentaire


                      • #12
                        « Il n’y a aucun mandat d’arrêt contre Monsieur Rebrab » (source gouvernementale)


                        TSA- 20:49 mardi 6 octobre 2015 | Par Samir Allam | Actualité

                        Le gouvernement réagit à l’entretien accordé, ce mardi 6 octobre, par Issad Rebrab à TSA. « Il n’y a aucun mandat d’arrêt contre M. Rebrab et tout ce qu’il raconte n’est que pure affabulation. S’il y a un mandat d’arrêt contre lui qu’il le montre », a déclaré à TSA une source autorisée au sein du gouvernement de Abdelmalek Sellal. « Dans les prochains jours, un communiqué du ministère de la Justice devrait être publié dans ce sens», a ajouté cette source.

                        Issad Rebrab a dénoncé le gouvernement qui chercherait le faire taire, selon lui. « On cherche à me faire taire. Mais je ne vais pas me taire », a-t-il notamment dit.
                        Rabrab continue à jouer à la victime avec un mandat d'arrêt fictif. Drôle de stratégie de défense...

                        Il cherche réellement l'affrontement depuis ses premières déclarations sur TSA...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #13
                          je me demande parfois si vous ne défendez pas Said bey, si non pourquoi il n'ya jamais eu de mandat contre son ministre Chakib et a présent couvert parc cette oligarchie afin de masquer d'autre affaires dont il sont complicent
                          Rappelons qu'Issad Rebrab n'en est pas à ses premières déboires avec ce que l'on appelle abusivement l'Etat algérien. Plusieurs projets industriels (pétrochimie, construction et gestion portuaire etc..) ont été bloqués par ce système d'une oligarchie sans aucune raison valable, excepté celle de favoriser les fabuleux contrats étrangers et leurs pots-de-vin.
                          Dire aussi que ce grand homme Issad Rebrab, dont son nom est grand en Kabylie, n'a jamais accepté de soutenir publiquement Bouteflika et qu'à cette occasion, un autre homme d'affaire "kabyle" a été mis en selle, en l'occurrence Ali Heddad dont les accointances avec la mafia algérienne et les liens étroits avec Said Bouteflika ne sont un secret pour personne.
                          Oui tout simplement parce que il est Kabyle, si non votre Bouchouareb a gardé un silence sur les nombreux scandales financiers qui ont touché la nomenclature algérienne le mettant lui-même en cause, tout comme les Saadani le dDrabki, Rahmani, Khalifa, Chakib Khelil etc...Et voilà que le bougre sort de son mutisme pour aller s'attaquer à l'homme d'affaire kabyle et l'accuser d'intelligence économique avec la France !
                          Pauvre Algérie, maintenant c'est la Kabylie qui va lui faire la peau à ce nouveau dey Said Bouteflika
                          Dernière modification par wilams, 06 octobre 2015, 22h37.
                          Éclairer les nations encore obscures.

                          Commentaire


                          • #14
                            La collusion entre pouvoir économique et politique n'est pas une spécificité algérienne
                            Ce que je comprend pas c'est pourquoi rebrab n'a pas fait tout simplement allégeance au "nouveau" pouvoir plutôt que d'aller à l'affrontement avec tout les risques que cela suppose . normalement les acteurs économiques fonctionnent comme ça !
                            En effet, Benjelloun est un bel exemple marocain...

                            Ou il est aux abois financièrement, avec les difficultés réelles sur son implantation italienne, ou il est télécommandé politiquement par ses mentors écartés les uns après les autres...

                            J'avais dit dimanche qu'il y a 2 voies de sorti pour Rabrab, sauver son groupe en actant la passation à son fils, ou engager son groupe sur de grandes difficultés avenirs, au vu de la voie à sens unique qu'il semble avoir pris et sa stratégie de confrontation. Il a grillé la possibilité d'une troisième voie...
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              JE soutiens cet homme et lui transmet toute ma sympathie..., nous avons besoin des hommes comme vous monsieur RABRAB
                              Éclairer les nations encore obscures.

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