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Le wali d’Alger Abdelkader Zoukh nous dit tout

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  • Le wali d’Alger Abdelkader Zoukh nous dit tout

    Combien de bidonvilles restent-t-il à Alger ?

    Il reste encore plusieurs bidonvilles à éradiquer. Ils sont situés notamment à Ain Benian, Beni Messous, (Djebel Coucou) à Bab El Oued, Gué de Constantine et El Harrach. Mais ils ne sont pas aussi importants (en termes de superficie et de nombre d’habitants, NDLR) par rapport à ceux qui ont déjà été éradiqués. La wilaya d’Alger a recensé 72 000 familles occupant des bâtiments menaçant ruine, des bidonvilles, des chalets, des caves, des terrasses… Un programme de 84 000 unités a été mis à notre disposition pour reloger ces personnes qui sont dans la précarité. Avec l’opération de relogement des habitants de Haï Ramli, de Bateau cassé à Bordj El Kiffan, on aura relogé environ 27 000 familles.

    Pourquoi les opérations de relogements suscitent régulièrement des protestations et parfois des émeutes ?

    Sachez que toute personne ayant le droit de bénéficier d’un logement (social, NDLR) sera relogée. Sauf que certains veulent tricher. Après avoir obtenu un logement, ils demandent un deuxième et un troisième. À Haï Ramli, des gens ont construit des baraques où ils n’habitaient pas et ont déposé des dossiers. À Barraki, on m’avait présenté le dossier d’une famille qui avait pris neuf logements ! J’étais outré. Pour l’opération de relogement des habitants du bidonville de Ramli, nous avons reçu 4 500 dossiers. Nous les avons étudiés et nous nous sommes retrouvés avec environ 3 000 familles qui ont le droit de bénéficier de logements à Meftah (Blida). On tiendra évidemment compte des recours.

    Comment une seule famille a-t-elle pu obtenir neuf logements ? Y-a-t-il eu des complicités ?

    Il n’y avait pas de contrôle et il y avait des complicités. Aujourd’hui, nous sommes à cheval. Nous avons été clairs sur un certain nombre de choses : toute famille d’une à sept personnes (occupant un habitat précaire, NDLR) peut bénéficier d’un F3 (un appartement de trois pièces) et chaque couple marié a droit à un logement parce qu’il doit être indépendant. Mais on dit non et basta ! À ceux qui veulent nous imposer leur diktat. Un État doit être fort et juste. Une fois que tout le monde sera relogé, on pourrait voir si des familles ont besoin d’autres logements ou pas.

    Comment faites-vous le tri entre les vrais et les faux nécessiteux ?

    Des agents des communes travaillent sur le terrain pour recenser et vérifier. Les services de sécurité (police ou gendarmerie) font également des enquêtes. Ensuite, il y a une commission de validation et le fichier national où tous ceux qui ont déjà bénéficié de logements y sont inscrits.

    Pourquoi programmer les opérations de relogements quelques semaines après la rentrée scolaire ?

    J’ai discuté longuement avec Madame la ministre de l’Éducation concernant ce sujet et je sais qu’elle souhaitait que l’opération de relogement se déroule durant les grandes vacances. Sauf que cela est impossible vu le nombre de personnes qui attendent d’être relogées. Ce sont des opérations qu’on doit faire chaque mois et à chaque fois qu’il y a un quota de logements prêt. Cela dit, nous avons prévu un accompagnement pédagogique. Dans la cité de Meftah (où seront relogés les habitants de Ramli), nous avons trois écoles primaires. Nous sommes contre les cités dortoirs ! Le président de la République a été strict concernant ce sujet.

    Vous avez été critiqué sur une déclaration au sujet des habitants de Ramli où vous disiez : « Qu’ils remercient Dieu, on les a fait sortir des ‘’koukh’’ (huttes) qu’ils occupaient ! »

    On m’a fait dire des choses que je n’ai pas dites. J’avais dit qu’il y avait un changement radical entre les bidonvilles et les cités de relogement. J’avais ajouté que nous étions prêts à faire mieux et plus et qu’on le fera. Sachez que durant les intempéries, on ne dort pas. Des commissions de crise peuvent être installées à minuit et parfois à une heure du matin.

    Pourquoi Alger est-elle une ville sale ?

    Il faut se rappeler l’état d’Alger, il y a deux ans, quand il y avait 500 points noirs (décharges sauvages) et qui n’existent plus aujourd’hui. Il est vrai qu’il y avait un manque en matière d’ouvriers et de matériels. Nous sommes en train de recruter et d’acquérir de nouveaux matériels dont les bennes tasseuses.

    Comme les bacs métalliques d’ordures que les agents de nettoyage renversaient parce que leurs camions n’étaient pas adaptés ?

    On a ramené du matériel sophistiqué qu’on retrouve également en Europe. Nous voulons doter la capitale des meilleures technologies. Il est vrai que l’ancien matériel n’est pas adapté (aux bacs métalliques). Nous sommes en train de ramener progressivement du matériel de qualité et d’introduire ce qu’on appelle la géolocalisation (pour contrôler les chauffeurs). Auparavant, nos ouvriers faisaient un voyage et revenaient se plaindre des embouteillages. Maintenant, on peut surveiller. On appliquera ce système même pour les chauffeurs de bus (publics). Nous sommes également en train de soumettre les agents de propreté à un cycle de formation, notamment pour le recyclage.

    À proximité de la place Maurice Audin dans le centre-ville par exemple et donc non loin de la wilaya, vous pouvez constater de visu une décharge sauvage…

    Nous avons un problème d’incivisme. On doit faire un effort pour sensibiliser les citoyens. Ce qui me tracasse le plus est le fait qu’on mélange le pain avec les ordures. Nous avons chargé les agents de la propreté de trier les ordures et de mettre le pain de côté pour le revendre ensuite aux éleveurs.

    Quelle est la solution face à l’incivisme ?

    Je pense qu’il faut éduquer les citoyens.

    Qu’est-ce que vous comptez faire en tant que wali d’Alger ?

    Je pense que l’incivisme est l’affaire de tout le monde. C’est avec l’éducation, l’école, la famille et les médias qu’on peut y faire face.

    À part l’éducation et la sensibilisation, avez-vous les moyens d’empêcher les citoyens de jeter des ordures dans la rue ?

    Le citoyen est libre. Vous ne pouvez pas l’empêcher de jeter puisqu’aucun texte de loi ne l’interdit.

    Doit-on instaurer de nouvelles taxes et amendes ?

    Non, il faut que les citoyens décident de s’y mettre. Ce n’est pas l’argent qui va régler ce problème.

    Alger est également confrontée au problème des embouteillages qui prend de plus en plus d’ampleur. Avez-vous des solutions ?

    Nous avons lancé plusieurs projets de dédoublement de routes. Dimanche, une commission a étudié les offres proposées pour l’acquisition de 500 feux tricolores. Cependant, je veux encore insister sur une chose : évidemment, il faut continuer à soutenir le prix du lait, de la semoule, du sucre. Par contre, il faut augmenter le prix du carburant ! En Algérie, il est moins cher que l’eau. Alors nous avons des gens qui font le plein et roulent avec leur voiture pour passer le temps. Ils nous polluent et nous bloquent les routes. D’autant plus qu’il y a le métro et le tramway pour certaines régions. Nous avons également les bus. Nous avons acquis 300 bus pour l’Etusa et nous allons en acquérir 400 autres.

    Pourquoi l’acquisition de feux tricolores a-t-elle accusé du retard ?

    La commission est en train de travailler sur les offres. Nous avons lancé trois appels d’offres auparavant qui étaient à chaque fois infructueux. Les entreprises ne remplissaient pas les conditions mentionnées dans le cahier des charges. Mais nous n’avons pas le choix. C’est la loi. Il ne faut pas oublier que ce sont des deniers publics. Je ne peux pas dépenser comme je veux. Ce n’est pas mon argent.
    Dernière modification par Paleem, 08 octobre 2015, 12h01.

  • #2
    Les nombreux barrages des services de sécurité étouffent également Alger. Ne faut-il pas les réduire ?

    Je pense qu’on pourrait réduire ces barrages avec les feux tricolores et la vidéosurveillance dont le projet a été réalisé à 50%. Mais en attendant, on a besoin de la présence physique des policiers.

    La capitale n’est plus menacée par le terrorisme ?

    Pas du tout. On n’a peur de rien. Ce qui rendait la tâche compliquée en ce qui concerne le terrorisme, c’est le recrutement. Maintenant, il n’y en a plus.

    Pourquoi l’opération de réhabilitation du vieux bâti accuse encore du retard ?

    D’abord, un diagnostic a été fait : 2 200 immeubles privés (55 302 logements) doivent être réhabilités. 1 550 immeubles privés (24 434 logements) sont actuellement pris en charge. Ensuite, nous n’avons commencé à travailler qu’en janvier 2014. Il ne faut pas oublier que ce sont des opérations chirurgicales, délicates et très spéciales. Nous ne pouvons pas imposer des délais puisque les habitants restent chez eux au moment de la réhabilitation.

    Quelle est la solution ?

    La solution est de continuer à travailler comme on le fait actuellement. Ce sont des opérations qui prennent du temps.

    Quel est le montant consacré à ce projet de réhabilitation ?

    Nous avons environ 500 milliards de centimes qui proviennent de la taxe d’habitation, 300 milliards de centimes de la wilaya et 200 milliards de centimes des communes qui ont une certaine aisance financière comme celle d’Alger- centre. (Le montant global de 988 milliards de centimes).

    Jusqu’à quand l’État pourrait-il continuer à réhabiliter les immeubles privés à la place des habitants ?

    La taxe d’habitation a été généralisée dans le cadre de la Loi de finances complémentaire 2015. Celle-ci ne concernait pas certaines communes auparavant (1 200 DA pour les commerçants par an, 300 DA pour les ménages par an).

    Donc le citoyen ne paie que 300 dinars par an pour la réhabilitation. Est-ce normal selon vous ?

    Bien sûr qu’il n’est pas normal que l’État prenne en charge tout. Il faudrait dire certaines vérités. Le problème est que l’État algérien est trop tendre. Le problème, c’est le pétrole aussi. Notre souhait est qu’on sorte de cette crise rapidement. Il faudrait que la fiscalité pétrolière serve à créer les conditions qui nous permettent de vivre toujours à l’aise même quand il n’y aura plus de pétrole.

    Pourquoi le projet de la réfection des trottoirs a été suspendu ?

    Le projet n’a pas été suspendu. Nous sommes en train de travailler sur l’enfouissement des câbles notamment ceux de la Sonelgaz. Une fois ces travaux terminés, on reprendra (la réfection des trottoirs). Est-ce que vous avez constaté que beaucoup de câbles ont été éliminés ? Par ailleurs, je vous rappelle aussi que le plan de modernisation d’Alger a commencé en 2010-2011 et s’étale jusqu’en 2029.

    Vous n’avez toujours pas trouvé de solutions aux nombreux magasins et appartements privés qui restent jusqu’à maintenant fermés ?

    Ce sont des propriétés privées. Quelle est la loi qui me permet de les récupérer ? Il n’y en a pas.

    Pourquoi avoir effectué ce recensement ?

    Pour avoir une idée et voir ce qui se passe. Pour lancer des actions, il faut un texte et il n’y en a pas pour le moment. Pour les constructions illicites par exemple, j’ai un texte qui me permet de détruire. Entre 2014 et 2015, plus de 1 400 constructions illicites ont été démolies. Chaque jour que Dieu fait, il y a une démolition. C’est la guerre ! Mais pour rouvrir les magasins, non. On doit être légalistes.

    Il n’y a toujours pas de vie nocturne à Alger ?

    Il faut rappeler qu’il y a eu des améliorations en ce qui concerne l’éclairage public par exemple et la sécurité. Mais les citoyens sont des couches-tôt !

    Les Algérois n’ont pas le choix puisque rien ne leur est offert…

    Celui qui a un magasin, un café, un restaurant doit créer une ambiance. L’État lui assure la sécurité.

    Alger était à la 135e place sur 140 dans le classement 2014 de l’index de viabilité de The Economist. Qu’en pensez-vous ?

    C’est ce qu’ils disent, mais je ne suis pas d’accord. Je regrette ! Ce n’est pas objectif. Vous avez parlé de la propreté. Je suis parti en Tunisie et j’ai constaté qu’Alger est plus propre que Tunis et la capitale du Maroc ! Mais on doit continuer. On doit arriver à la norme internationale.

    Quel bilan faites-vous plus d’une année après le mini-conseil interministériel organisé autour du développement d’Alger ?

    Beaucoup de choses ont été faites ! Les bâtiments sont en train d’être réhabilités. L’éclairage est en train de s’améliorer. Nous sommes en train d’acquérir le matériel de nettoyage. Pour ce qui est de la vie nocturne, il faut d’abord que les citoyens acceptent de sortir et d’ouvrir les magasins. L’activité culturelle peut venir par la suite. (Pour le port), nous avons loué trois restaurants à la chaîne El Djazaïr. Ils sont en train de faire des études pour les aménager. Nous avons mis à la disposition du (centre commercial) de Bab Ezzouar 45 voûtes pour qu’ils puissent en faire une annexe. On a planté des palmiers et il faudrait maintenant semer le gazon.

    Cette « opération palmiers » a suscité de nombreuses critiques. Quelle est votre réponse ?

    Le projet est intéressant. Dommage qu’on les a ramenés un peu grands. J’aurais préféré qu’on les ramène plus petits.

    Quel est le montant de ce projet ?

    Ça dépend. En fait, ce sont plusieurs projets. Chaque année, il y a un projet. Parfois, c’est 50 milliards (de centimes) et parfois c’est 30 milliards de centimes par an.

    Est-ce un projet utile pour Alger ?


    Une décision a été prise et les palmiers sont là. On doit les irriguer et les entretenir. Nous avons un réseau d’irrigation. Actuellement, on utilise les anciennes sources et les anciens puits mais ce n’est pas suffisant. Nous avons besoin d’autres apports complémentaires. Nous sommes en train de nous organiser pour que les palmiers soient irrigués à partir de la station d’épuration de Barraki.

    La décision a été prise par qui ?

    Il y a longtemps par la Wilaya du temps de M. Rahmani.

    Le DRS a demandé à ses colonels et lieutenants de se retirer des wilayas et daïras. Est-ce une bonne décision ?

    Bien sûr. En tant que commis de l’État, je ne ferai qu’exécuter et applaudir toutes les décisions prises par les hautes instances du pays.

    Mais est-ce que leur retrait constitue une bonne chose ?

    Je pense que c’est une bonne chose. À quoi bon (avoir des agents du DRS dans les wilayas) ? Aujourd’hui, il y a d’autres méthodes pour veiller sur la sécurité. Je ne vais pas mettre par exemple un policier pour chaque chauffeur de bus ou de camion. On va le surveiller grâce à la géolocalisation. L’État doit toujours veiller et contrôler. Mais il faut être moderne.

    Vous avez côtoyé beaucoup de colonels du DRS durant votre carrière. Avez-vous rencontré des blocages ?

    Non, jamais ! C’était des collaborateurs et d’ailleurs on doit rendre hommage à ces hommes et au travail qu’ils ont fourni. Les États-Unis sont forts parce qu’ils ont une sécurité forte. Sans la sécurité, il n’y a pas d’État.

    Pourquoi le château de Bologhine a été transformé en résidence d’hôtes de la Wilaya ?

    Ce château a toujours été une résidence de la Wilaya. Je ne sais pas pour quelle raison il a été transformé en jardin d’enfants à un moment donné. Mais la bâtisse menaçait ruine et il y avait des indus occupants. La Wilaya a alors décidé, cela fait trois ou quatre ans, de mettre les enfants dans un autre bâtiment et de réhabiliter la bâtisse.

    Ce n’est pas la résidence du wali ?

    Non, c’est la résidence de la Wilaya. Évidemment, je peux m’y rendre mais elle reste une résidence de la Wilaya. Elle n’est pas en mon nom personnel !
    Dernière modification par Paleem, 08 octobre 2015, 12h03.

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    • #3
      Nous travaillons .. nous sommes en train de travailler ... et Anne ma sœur Anne ne vois tu rien venir?
      'Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l'herbe qui verdoie'
      Roh ya l'Algérie Roh avec des zigomars de ce genre qui se succèdent depuis 1962.

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      • #4
        Bonjour Ali_Baba,

        Pourquoi penses-tu cela? Je trouve son discours et ces positions correctes, suis-je naïf?
        Imaginez vous un monde parfait? essayons juste de rendre celui ci meilleur...

        Affiner sa pensée, sa réflexion est nettement plus bénéfique que d'avoir raison.

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        • #5
          Pourquoi penses-tu cela? Je trouve son discours et ces positions correctes, suis-je naïf?
          Parce que ce gars la est un illettré sorti zaama de l'ENA à ....34ANS!!!!! né en 48 sorti de l'ENA en 1982 avec le certificat d'études, qui fait dans la parlotte le mépris du citoyen et l'abus de passe droit comme tous ses acolytes. Rien qu'à voir sa tronche en dit long sur le personnage.



          Une polémique a éclaté suite à une information faisant état de l’attribution, par l’AADL, d’un appartement F4, situé à Ouled Fayet dans la banlieue d’Alger, au fils de Abdelkader Zoukh. Cette attribution est une violation de la réglementation en vigueur car le bénéficiaire réside à Oran et non pas à Alger, la capitale. La Loi autorise en effet l’attribution de logements AADL dans seulement la wilaya de résidence.
          Autre polémique suscitée par le wali d’Alger : sa demande de carte de vote des souscripteurs aux logements sociaux. Pour le responsable, il ne s’agit ni plus ni moins d’une blague. Mais une blague qui a mal tourné. « Après avoir terminé une visite sur le terrain à Alger, je suis monté dans le bus avec des journalistes et je leur ai parlé de l’importance de sensibiliser les citoyens sur les élections pour assurer la sécurité du pays. Un journaliste m’a demandé : qu’en est-il des citoyens qui ne votent pas ?’ Et je lui ai répondu en plaisantant : celui qui ne vote pas n’aura pas de logement », raconte Abdelkader Zoukh qui regrette les tournures prises par cette déclaration fracassante.

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          • #6
            Alger est également confrontée au problème des embouteillages qui prend de plus en plus d’ampleur. Avez-vous des solutions ?

            Nous avons lancé plusieurs projets de dédoublement de routes.
            Le dédoublement des routes n'est pas la meilleure solution.

            Primo ça coute chère et deuxio ca pollue grave!

            On ne demande pas à ces wali de réinventer la roue, mais juste de s'inspirer des grandes capitales Européennes en terme de transport et de mobilité durables.

            Instaurer des péages à l'entrée des villes, multiplier les voies vertes et piétonnières, construire des réseaux de pistes cyclables, baisser les tarifs du transport en commun métro, train, bus...développer le transport maritime...

            C'est moderne, ca ne coute pas cher, ne pollue pas et c'est de santé publique!

            Sa demande d'augmenter le prix du gasoil est vraiment risible.

            Elle illustre bien l'incompétence et l'incurie qui règne au sommet de l'Etat.
            Dernière modification par Mounir2008, 10 octobre 2015, 13h05.
            Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

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            • #7
              Le rafistolage ne peut pas régler les problèmes d'une ville qui n'a jamais été prévue pour autant d'habitants et autant d'activités. Et en conséquence laisser libre court à ces brasseurs de vent de WALIS crasseux de s'imposer encore plus.
              La solution passe par l'imitation du modèle Coréen.
              Transfert de toutes les activités administratives gouvernementales de Seoul à Sejong!! Le reste suivra.

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              • #8
                Justement à propos de transfert des activités administratives du gouvernement, il y avait un projet d'une nouvelle capitale qui devrait voir le jour à Boughezoul (170 km d'Alger).

                Les travaux ont été lancés en 2008 et depuis on en entend plus parler.

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                • #9
                  Justement à propos de transfert des activités administratives du gouvernement, il y avait un projet d'une nouvelle capitale qui devrait voir le jour à Boughezoul (170 km d'Alger).
                  La mosquée à plus de 1millard$ a priorité.
                  Faut se dépêcher de la finir avant que la momie ne clapse pour lui assurer le ticket du paradis.

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