La France serait intervenue très activement dans la crise diplomatico-économique s’éclatant, sur fond de l’affaire du Sahara, entre le Maroc et la Suède.
En effet, pour tenter de désamorcer la crise de ces derniers jours, entre Rabat et Stockholm, éclatée après la décision de cette dernière d’étudier un projet de reconnaissance de la ‘république’ du Polisario et la réponse, plus que véhémente du Maroc, de considérer un possible boycott économique de la Suède, Paris se serait intervenue sur plusieurs fronts.
Selon des sources diplomatiques françaises, citées par l’hebdomadaire arabophone, Al Ousboue, l’action française pour juguler cette crise, aurait été dirigée sur deux axes :
1- Etouffer le projet de reconnaissance du Polisario par la Suède, pour qu'il ne serve pas de modèle pour les autres gauches et verts européens.
2- Et annuler la réaction économique du Maroc, que Paris (et Madrid aussi) jugerait extrêmement excessive et dangereuse pour l'avenir.
DES CONNEXIONS TERRORISTES DU POLISARIO EN LIBYE
Ainsi, avancent ces même sources, Paris aurait transmis à Stockholm, un rapport de ses services de renseignements en Libye, portant sur une implication de membres dirigeants du Polisario, dans des affaires de terrorisme.
Suite de quoi, Stockholm aurait demandé une réévaluation de sa politique intérieure vis-à-vis de l’affaire du Sahara et aurait chargé ses agents en poste à son ambassade à Tunis, de vérifier la véracité des renseignements français sur ces connexions terroristes du Polisario en Libye.
HOLLANDE TÉLÉPHONE AU PRINCE HÉRITIER SAOUDIEN
D’autre part, Paris, voulant dissuader le Maroc, à l’avenir, d’avoir recours à l’arme économique ou toucher aux IDE implantés chez lui, aurait pris contacts avec les pays du Golfe, pour leur demander de ne pas soutenir le Maroc contre la Suède.
Selon le journal Al Ousboue, se serait le président français, François Hollande, qui s’en est chargé personnellement, en téléphonant au prince héritier de l’Arabie Saoudite, pour obtenir de lui, un non-soutien de l’Arabie et des pays du CCG, au Maroc dans cette crise avec la Suède.
Le Maroc engagé militairement au côté des pays du Golfe au Yémen et avant cela en Syrie, a dû en effet, constater le silence des khalijis, durant sa crise avec la Suède.
Adam Sfali
En effet, pour tenter de désamorcer la crise de ces derniers jours, entre Rabat et Stockholm, éclatée après la décision de cette dernière d’étudier un projet de reconnaissance de la ‘république’ du Polisario et la réponse, plus que véhémente du Maroc, de considérer un possible boycott économique de la Suède, Paris se serait intervenue sur plusieurs fronts.
Selon des sources diplomatiques françaises, citées par l’hebdomadaire arabophone, Al Ousboue, l’action française pour juguler cette crise, aurait été dirigée sur deux axes :
1- Etouffer le projet de reconnaissance du Polisario par la Suède, pour qu'il ne serve pas de modèle pour les autres gauches et verts européens.
2- Et annuler la réaction économique du Maroc, que Paris (et Madrid aussi) jugerait extrêmement excessive et dangereuse pour l'avenir.
DES CONNEXIONS TERRORISTES DU POLISARIO EN LIBYE
Ainsi, avancent ces même sources, Paris aurait transmis à Stockholm, un rapport de ses services de renseignements en Libye, portant sur une implication de membres dirigeants du Polisario, dans des affaires de terrorisme.
Suite de quoi, Stockholm aurait demandé une réévaluation de sa politique intérieure vis-à-vis de l’affaire du Sahara et aurait chargé ses agents en poste à son ambassade à Tunis, de vérifier la véracité des renseignements français sur ces connexions terroristes du Polisario en Libye.
HOLLANDE TÉLÉPHONE AU PRINCE HÉRITIER SAOUDIEN
D’autre part, Paris, voulant dissuader le Maroc, à l’avenir, d’avoir recours à l’arme économique ou toucher aux IDE implantés chez lui, aurait pris contacts avec les pays du Golfe, pour leur demander de ne pas soutenir le Maroc contre la Suède.
Selon le journal Al Ousboue, se serait le président français, François Hollande, qui s’en est chargé personnellement, en téléphonant au prince héritier de l’Arabie Saoudite, pour obtenir de lui, un non-soutien de l’Arabie et des pays du CCG, au Maroc dans cette crise avec la Suède.
Le Maroc engagé militairement au côté des pays du Golfe au Yémen et avant cela en Syrie, a dû en effet, constater le silence des khalijis, durant sa crise avec la Suède.
Adam Sfali
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